Traduction de la phrase en anglais placée sous la photo (gravure datée de 1851) : « À l'époque de la visite d'Hérodote, il y avait deux grandes pyramides érigées au centre du lac Moeris, chacune dotée d'un personnage colossal assis à leur sommet. »
Auteur : Philippe Jean Christian Pigot
Tentative de restitution de la véritable histoire du plateau de Gizeh : << Le plateau de Gizeh et le vieux Caire sont sillonnés par de nombreux passages souterrains, de vastes cavernes contenant des lacs, des arbres, et des chambres en lesquelles sont stockés des objets surprenants, mais les autorités égyptiennes ne sont pas prêtes à révéler ces choses au public.>>
Pour appréhender le contenu codé dans la Bible, il est important de prendre conscience de l'ampleur du système d'installations souterraines reliées entre-elles par de grands tunnels existants sous la surface du plateau de Gizeh, car c'est là que les principaux éléments de l'enseignement des anciennes Écoles des Mystères furent développés.
Les faits historiques qui se sont produits il y a des milliers d'années ont longtemps été enfouis sous le sable et ne trouvent aucun écho dans l'histoire académique officielle, les découvertes faites ces huit dernières décennies ne sortant pas d'un cercle restreint d'initiés.
Le quartier de l'Oasis du Fayoum, à quelques kilomètres en dehors de la limite de l'antique Memphis, présente un site d'intérêt très inhabituel : c'est dans cette luxuriante vallée fertile que les pharaons se faisaient appeler les "Maîtres de la chasse royale", pêchant et chassant au boomerang ! En effet, le lac Moéris bordaient alors l'Oasis du Fayoum, et sur ses rives avait été construit le fameux Labyrinthe décrit par Hérodote, sous l'emprise de l'ébahissement, comme son "questionnement sans fin" !
Car ce Labyrinthe qu'il pût voir de ses propres yeux contenait 1500 pièces, plus un nombre égal de chambres souterraines que l'historien grec ne fut pas autorisé à inspecter par les prêtres; << Les passages étaient déroutants et complexes >>, décrivit-il, << ... Visant à garantir la plus parfaite sécurité pour les nombreux manuscrits qui y étaient entreposés, cachés dans un souterrain desservant plusieurs appartements.>>
Ce gigantesque complexe impressionna si fortement Hérodote qu'il en décrivit avec crainte la structure : << Là, j'ai vu douze palais régulièrement disposés, qui communiquent les uns avec les autres, dotés de terrasses et disposés autour de douze salles. Il est difficile de croire qu'ils sont l'œuvre de l'homme, les murs sont couverts de figures sculptées, et chaque cour est superbement construite en marbre blanc et entourée de colonnades. Près d'un angle où se termine le labyrinthe, il ya une pyramide de deux cent quarante pieds de hauteur, avec de grandes figures sculptées d'animaux, et un passage souterrain menant à des chambres souterraines et d'autres passages reliés à cette pyramide avec les pyramides de Memphis.>>
Il faut savoir que lesdites "pyramides de Memphis" sont en fait les pyramides de Gizeh, puisque, initialement, Gizeh était appelé Memphis (voir en référence : "Gizeh anciennement Memphis" sur la carte de Nordan, dans Voyages en Égypte et en Nubie, page 152).
Hors, de nombreux anciens scribes, puis des écrivains érudits, ont tous rapporté que le plateau de Gizeh était truffé de passages souterrains reliant les pyramides, leur témoignage jetant le doute sur la fiabilité de l'histoire égyptienne traditionnellement présentée. En 300 avant notre ère, Crantor, déclara qu'en Égypte, certains piliers creux souterrains contenaient des tablettes de pierre gravées décrivant l'aube de la préhistoire, assurant en sus qu'il existait une double voie d'accès reliant les pyramides entre elles.
Au IVè siècle, en sa célèbre étude sur les Mystères mystiques et philosophiques Égyptiens, Chaldéens et Assyriens, Jamblique, représentant Syrien de l'école d'Alexandrie, a enregistré cette information sur la porte d'entrée découpée dans le corps du Sphinx donnant accès à une galerie souterraine menant à la Grande Pyramide : << Cette entrée, obstruée de nos jours par le sable et les ordures, peut encore être retracée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une porte de bronze que seuls les mages savaient ouvrir au moyen d'un ressort dissimulé. Elle était inaccessible au public, une sorte de crainte religieuse maintenant son inviolabilité mieux qu'une protection armée ne l'aurait fait. Dans le ventre du Sphinx avaient été découpées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ce réseau de galeries était si ingénieusement creusé qu'un quelconque quidam, sans l'aide d'un guide, se perdait inévitablement en les parcourant, revenant inévitablement au point de départ.>>
Mais où l'histoire conventionnelle de l'Ancienne Égypte prend définitivement du plomb dans l'aile, c'est à la lecture d'un sceau-cylindre typiquement mésopotamien qui évoque que le secret de l'Anunnaki - la Grande Assemblée des Anciens (sorte de Conseil des Sages) était : << un site souterrain auquel on accédait par un tunnel, son entrée dissimulée sous le sable et gardée par "HUWANA"... aux dents pareilles à celles d'un dragon, et au visage d'un Lion.>> Ce très vieux texte remarquable, malheureusement endommagé, et par conséquent incomplet, ajoute que : << Lui [Huwana] est incapable d'avancer, ni de reculer...>> et qu'il faut "glisser sur lui" par derrière pour que "l'accès à la demeure secrète de l'Anunnaki" soit débloquée !
Le texte de ce sceau-cylindre fournit donc la description d'un Sphinx à tête de Lion, possiblement celui à Gizeh, et si cette grande créature de pierre a été construite pour protéger ou dissimuler d'anciens escaliers et des passages menant aux parties secrètes souterraines, son symbolisme était ainsi approprié.
Un érudit arabe local du XIXè siècle a soutenu qu'il existait sous le Sphinx des chambres secrètes contenant des trésors et des objets "magiques", sa conviction étant fondée sur les écrits du premier siècle de l'historien romain Pline, qui a écrit que profondément sous le Sphinx se cache le "tombeau d'un dirigeant nommé Harmakhis contenant un grand trésor"; et, curieusement, le Sphinx lui-même était autrefois appelé "le Grand Harmakhi montant la garde depuis l'époque des Suivants d'Horus" (Shemsu Hor) !
Au IVè siècle, l'historien romain Ammien Marcellin fit, en son "Rerum Gestaruum Libri", des révélations supplémentaires sur l'existence de corridors voûtés souterrains conduisant à l'intérieur de la Grande Pyramide. Les parois murales de ces galeries étaient couvertes des inscriptions que les Anciens avaient gravées dans l'intention de préserver la sagesse antique, sinon condamné à être perdue pour les générations futures du fait du grand Déluge !
Sur ce point précis, il existe une série de photos - sévèrement occultées - qui montre un groupe d'hommes de grande taille semblant réfléchir au moyen de fabriquer une sorte de "Capsule Temporelle" = une cache disposant de "lampes éternelles" en laquelle les Anciens auraient entreposé leurs artefacts et machines en héritage pour les générations futures.
Hors, et je lève ici un TABOU ABSOLU, ne nous étonnons pas des avancées technologiques des 80 dernières années, dès l'instant où l'on sait que, depuis les Templiers jusqu'au Reich Hitlérien, quelques-uns de ces dépôts souterrains où les Anciens avaient engrangé leur précieuse technologie ont été retrouvés et exploités à bon compte par l'Élite Oligarchique de ce pauvre monde ! Ce qui ne serait probablement pas du goût des Anciens s'ils pouvaient encore s'exprimer !!!
Ainsi donc, des "capsules temporelles", joli mot masquant des caches ou dépôts de Connaissance Atlantéens se cachent encore ici et là sous le sol de notre jolie planète bleue : enfouis sous les sables d'Égypte, sous une pyramide en Amérique du Sud, en un certain endroit en Sibérie, et un autre, très convoité, sous les Pyrénées... Chacun de ces hauts-lieux a été marqué par le symbole du règne Atlante : un Sphinx. Hors, il est clair que les grandes statues de sphinx ne sont pas originaires de l'Égypte, sa forme en outre ne tenant pas du fait du hasard, puisqu'en un temps lointain, l'homme et les animaux parlaient et travaillaient ensemble... Le FÉLIN LÉONIN, associé à la Divinité Solaire aussi bien qu'à l'étoile Régulus de la constellation du Lion, était alors le parfait animal symbolisant le pouvoir et l'intelligence. L'homme lui-même étant de nature animale, les Anciens utilisèrent cette figure d'une grande Lionne, représentative de la Déesse As.Tara (Aten.A, Nîn.Ana, Belet Ili, etc...), alliant l'idée de force, de puissance, et d'endurance. Cette tête de Lionne indiquait l'intelligence doublée de la raison à ceux qui possédait le savoir ésotérique, tandis que le poitrail de la bête démontrait que l'homme et l'animal pouvaient se nourrir spirituellement l'un de l'autre. Cette symbolique perdura dans le temps; on la retrouce communément dans les statues de Bouddha...
<< Nous avons vu, les larmes aux yeux, les lames de fond des océans submerger nos glorieuses cités...>> Parole d'Atlante !
1) Image du monde des Égyptiens au XIIIè siècle avant notre ère : http://www.astrosurf.com/macombes/fig19-2me.htm
2) Trajectoire de la comète-astéroïde Sekhmet : http://www.astrosurf.com/macombes/fig19-1me.htm
3) Sekhmet : la déesse-lionne égyptienne (la Comète) : http://www.astrosurf.com/macombes/fig1-1me.htm
4) Descriptif détaillé du souvenir obsessionnel des grands cataclysmes; SEKHMET, PHAÉTON, SURT ET LES AUTRES,
par Michel-Alain Combes : http://www.astrosurf.com/macombes/Article_Sekhmet,_Phaeton,_Surt_et_les_autres.htm
5) Le monde des Anciens imaginé à l'époque d'Hérodote, soit quelques huit siècles après le grand cataclymse cométaire : http://www.astrosurf.com/macombes/fig1-4me.htm
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