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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 01:56
L'empreinte des Dieux (Graham Hancock) [PDF]

Présentation du livre

Du fond des âges, d'immenses empreintes sur terre, d'impressionnants vestiges archéologiques, des traces de bouleversements et de cataclysmes à l'échelle planétaire, de mystérieux signes et écrits de toutes origines, tentent de nous délivrer un très pressant message...

Graham Hancock, avec brio et maîtrise, assemble, pièce après pièce, un gigantesque puzzle regroupant les grands mystères du monde : les immenses dessins au sol de Nazca, les ruines mégalithiques de Tiahuanaco, les énigmatiques cartes médiévales de l'Antarctique libre des glaces, les pyramides d'Égypte et d'Amérique centrale et leurs corrélations mathématiques, les dieux blancs des Aztèques et des Incas, les troublantes et nombreuses versions du mythe du Déluge, l'âge multimillénaire du Sphinx pour n'en citer que quelques-uns.


Mais dans ce livre duquel on ne peut s'arracher, Hancock ne se limite pas à cette captivante démonstration. Il propose, ni plus ni moins, une nouvelle et très convaincante approche de l'histoire des hommes depuis les commencements. D'après les historiens et les archéologues, la civilisation aurait émergé au Proche-Orient, il y a cinq mille ans...

Battant en brèche ce dogme, Hancock se lance sur la trace des "Dieux", rescapés d'une civilisation originelle dont l'Antiquité, dans l'Ancien comme dans le Nouveau Monde, serait l'héritière ; une civilisation primordiale d'un niveau scientifique et culturel très élevé, anéantie des milliers d'années avant la construction des pyramides d'Égypte dans une catastrophe apocalyptique.


Biographie de l'auteur

Graham Hancock né en 1950 à Édimbourg, est un écrivain et un journaliste britannique.
Né à Édimbourg, Hancock passe une partie de son enfance en Inde, où son père exerce la profession de chirurgien. Revenu en Grande-Bretagne, il sort diplômé en sociologie de l'université de Durham en 1973.

Hancock collabore ensuite comme journaliste à des titres prestigieux : The Times, The Sunday Times, The Independent, The Guardian.

Il est le correspondant de The Economist en Afrique orientale entre 1981 et 1983.


Bibliographie non exhaustive de Graham Hancock

 

  • Les Nababs de la pauvreté (Lords of Poverty), 1991
     
  • Le Mystère de l'Arche perdue (The Sign and the Seal: The Quest for the Lost Ark of the Covenant), 1993
     
  • L'Empreinte des dieux (Fingerprints of the Gods), 1994
     
  • Le Mystère de Mars ( The Mars Mystery, 1998 ), avec Robert Bauval
     
  • Civilisations englouties (Underworld. Flooded Kingdoms of the Ice Age, 2002), trad., Pygmalion, 2002
     
  • Le Mystère du grand Sphinx (Keeper of Genesis, 1995), avec Robert Bauval, trad., Le livre du mois, 1999, Editions du Rocher, 2003
     
  • Talisman, avec Robert Bauval, 2004
     
  • Supranatural, 2005



Un mot sur l'éditeur "Pygmalion"

Les éditions Pygmalion sont une maison d'édition française fondée en 1975 par Gérard Watelet et située à Paris. Depuis 2003, elle est devenue un département des éditions Flammarion.

De nombreuses collections sont disponibles dans trois domaines principaux :

  • Domaine historique.
  • Romans.
  • Témoignages, enquêtes et documents.

 

 

L'empreinte des Dieux (PDF)

 

 

 

 

 

Ne loupez pas la page PDF du blog ;)

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 22:56
Des caves et réseaux souterrains de Gizeh aux avancées technologiques modernes (Article)

Traduction de la phrase en anglais placée sous la photo (gravure datée de 1851) : « À l'époque de la visite d'Hérodote, il y avait deux grandes pyramides érigées au centre du lac Moeris, chacune dotée d'un personnage colossal assis à leur sommet. »

 

Auteur : Philippe Jean Christian Pigot

 


Tentative de restitution de la véritable histoire du plateau de Gizeh : << Le plateau de Gizeh et le vieux Caire sont sillonnés par de nombreux passages souterrains, de vastes cavernes contenant des lacs, des arbres, et des chambres en lesquelles sont stockés des objets surprenants, mais les autorités égyptiennes ne sont pas prêtes à révéler ces choses au public.>>

Pour appréhender le contenu codé dans la Bible, il est important de prendre conscience de l'ampleur du système d'installations souterraines reliées entre-elles par de grands tunnels existants sous la surface du plateau de Gizeh, car c'est là que les principaux éléments de l'enseignement des anciennes Écoles des Mystères furent développés.

Les faits historiques qui se sont produits il y a des milliers d'années ont longtemps été enfouis sous le sable et ne trouvent aucun écho dans l'histoire académique officielle, les découvertes faites ces huit dernières décennies ne sortant pas d'un cercle restreint d'initiés.

Le quartier de l'Oasis du Fayoum, à quelques kilomètres en dehors de la limite de l'antique Memphis, présente un site d'intérêt très inhabituel : c'est dans cette luxuriante vallée fertile que les pharaons se faisaient appeler les "Maîtres de la chasse royale", pêchant et chassant au boomerang ! En effet, le lac Moéris bordaient alors l'Oasis du Fayoum, et sur ses rives avait été construit le fameux Labyrinthe décrit par Hérodote, sous l'emprise de l'ébahissement, comme son "questionnement sans fin" !

Car ce Labyrinthe qu'il pût voir de ses propres yeux contenait 1500 pièces, plus un nombre égal de chambres souterraines que l'historien grec ne fut pas autorisé à inspecter par les prêtres; << Les passages étaient déroutants et complexes >>, décrivit-il, << ... Visant à garantir la plus parfaite sécurité pour les nombreux manuscrits qui y étaient entreposés, cachés dans un souterrain desservant plusieurs appartements.>>

Ce gigantesque complexe impressionna si fortement Hérodote qu'il en décrivit avec crainte la structure : << Là, j'ai vu douze palais régulièrement disposés, qui communiquent les uns avec les autres, dotés de terrasses et disposés autour de douze salles. Il est difficile de croire qu'ils sont l'œuvre de l'homme, les murs sont couverts de figures sculptées, et chaque cour est superbement construite en marbre blanc et entourée de colonnades. Près d'un angle où se termine le labyrinthe, il ya une pyramide de deux cent quarante pieds de hauteur, avec de grandes figures sculptées d'animaux, et un passage souterrain menant à des chambres souterraines et d'autres passages reliés à cette pyramide avec les pyramides de Memphis.>>

Il faut savoir que lesdites "pyramides de Memphis" sont en fait les pyramides de Gizeh, puisque, initialement, Gizeh était appelé Memphis (voir en référence : "Gizeh anciennement Memphis" sur la carte de Nordan, dans Voyages en Égypte et en Nubie, page 152).

Hors, de nombreux anciens scribes, puis des écrivains érudits, ont tous rapporté que le plateau de Gizeh était truffé de passages souterrains reliant les pyramides, leur témoignage jetant le doute sur la fiabilité de l'histoire égyptienne traditionnellement présentée. En 300 avant notre ère, Crantor, déclara qu'en Égypte, certains piliers creux souterrains contenaient des tablettes de pierre gravées décrivant l'aube de la préhistoire, assurant en sus qu'il existait une double voie d'accès reliant les pyramides entre elles.

Au IVè siècle, en sa célèbre étude sur les Mystères mystiques et philosophiques Égyptiens, Chaldéens et Assyriens, Jamblique, représentant Syrien de l'école d'Alexandrie, a enregistré cette information sur la porte d'entrée découpée dans le corps du Sphinx donnant accès à une galerie souterraine menant à la Grande Pyramide : << Cette entrée, obstruée de nos jours par le sable et les ordures, peut encore être retracée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une porte de bronze que seuls les mages savaient ouvrir au moyen d'un ressort dissimulé. Elle était inaccessible au public, une sorte de crainte religieuse maintenant son inviolabilité mieux qu'une protection armée ne l'aurait fait. Dans le ventre du Sphinx avaient été découpées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ce réseau de galeries était si ingénieusement creusé qu'un quelconque quidam, sans l'aide d'un guide, se perdait inévitablement en les parcourant, revenant inévitablement au point de départ.>>

Mais où l'histoire conventionnelle de l'Ancienne Égypte prend définitivement du plomb dans l'aile, c'est à la lecture d'un sceau-cylindre typiquement mésopotamien qui évoque que le secret de l'Anunnaki - la Grande Assemblée des Anciens (sorte de Conseil des Sages) était : << un site souterrain auquel on accédait par un tunnel, son entrée dissimulée sous le sable et gardée par "HUWANA"... aux dents pareilles à celles d'un dragon, et au visage d'un Lion.>> Ce très vieux texte remarquable, malheureusement endommagé, et par conséquent incomplet, ajoute que : << Lui [Huwana] est incapable d'avancer, ni de reculer...>> et qu'il faut "glisser sur lui" par derrière pour que "l'accès à la demeure secrète de l'Anunnaki" soit débloquée !


Le texte de ce sceau-cylindre fournit donc la description d'un Sphinx à tête de Lion, possiblement celui à Gizeh, et si cette grande créature de pierre a été construite pour protéger ou dissimuler d'anciens escaliers et des passages menant aux parties secrètes souterraines, son symbolisme était ainsi approprié.

Un érudit arabe local du XIXè siècle a soutenu qu'il existait sous le Sphinx des chambres secrètes contenant des trésors et des objets "magiques", sa conviction étant fondée sur les écrits du premier siècle de l'historien romain Pline, qui a écrit que profondément sous le Sphinx se cache le "tombeau d'un dirigeant nommé Harmakhis contenant un grand trésor"; et, curieusement, le Sphinx lui-même était autrefois appelé "le Grand Harmakhi montant la garde depuis l'époque des Suivants d'Horus" (Shemsu Hor) !

Au IVè siècle, l'historien romain Ammien Marcellin fit, en son "Rerum Gestaruum Libri", des révélations supplémentaires sur l'existence de corridors voûtés souterrains conduisant à l'intérieur de la Grande Pyramide. Les parois murales de ces galeries étaient couvertes des inscriptions que les Anciens avaient gravées dans l'intention de préserver la sagesse antique, sinon condamné à être perdue pour les générations futures du fait du grand Déluge !

Sur ce point précis, il existe une série de photos - sévèrement occultées - qui montre un groupe d'hommes de grande taille semblant réfléchir au moyen de fabriquer une sorte de "Capsule Temporelle" = une cache disposant de "lampes éternelles" en laquelle les Anciens auraient entreposé leurs artefacts et machines en héritage pour les générations futures.

Hors, et je lève ici un TABOU ABSOLU, ne nous étonnons pas des avancées technologiques des 80 dernières années, dès l'instant où l'on sait que, depuis les Templiers jusqu'au Reich Hitlérien, quelques-uns de ces dépôts souterrains où les Anciens avaient engrangé leur précieuse technologie ont été retrouvés et exploités à bon compte par l'Élite Oligarchique de ce pauvre monde ! Ce qui ne serait probablement pas du goût des Anciens s'ils pouvaient encore s'exprimer !!!

Ainsi donc, des "capsules temporelles", joli mot masquant des caches ou dépôts de Connaissance Atlantéens se cachent encore ici et là sous le sol de notre jolie planète bleue : enfouis sous les sables d'Égypte, sous une pyramide en Amérique du Sud, en un certain endroit en Sibérie, et un autre, très convoité, sous les Pyrénées... Chacun de ces hauts-lieux a été marqué par le symbole du règne Atlante : un Sphinx. Hors, il est clair que les grandes statues de sphinx ne sont pas originaires de l'Égypte, sa forme en outre ne tenant pas du fait du hasard, puisqu'en un temps lointain, l'homme et les animaux parlaient et travaillaient ensemble... Le FÉLIN LÉONIN, associé à la Divinité Solaire aussi bien qu'à l'étoile Régulus de la constellation du Lion, était alors le parfait animal symbolisant le pouvoir et l'intelligence. L'homme lui-même étant de nature animale, les Anciens utilisèrent cette figure d'une grande Lionne, représentative de la Déesse As.Tara (Aten.A, Nîn.Ana, Belet Ili, etc...), alliant l'idée de force, de puissance, et d'endurance. Cette tête de Lionne indiquait l'intelligence doublée de la raison à ceux qui possédait le savoir ésotérique, tandis que le poitrail de la bête démontrait que l'homme et l'animal pouvaient se nourrir spirituellement l'un de l'autre. Cette symbolique perdura dans le temps; on la retrouce communément dans les statues de Bouddha...

<< Nous avons vu, les larmes aux yeux, les lames de fond des océans submerger nos glorieuses cités...>> Parole d'Atlante !

 


1) Image du monde des Égyptiens au XIIIè siècle avant notre ère : http://www.astrosurf.com/macombes/fig19-2me.htm

2) Trajectoire de la comète-astéroïde Sekhmet : http://www.astrosurf.com/macombes/fig19-1me.htm

3) Sekhmet : la déesse-lionne égyptienne (la Comète) : http://www.astrosurf.com/macombes/fig1-1me.htm

4) Descriptif détaillé du souvenir obsessionnel des grands cataclysmes; SEKHMET, PHAÉTON, SURT ET LES AUTRES,
par Michel-Alain Combes : http://www.astrosurf.com/macombes/Article_Sekhmet,_Phaeton,_Surt_et_les_autres.htm

5) Le monde des Anciens imaginé à l'époque d'Hérodote, soit quelques huit siècles après le grand cataclymse cométaire : http://www.astrosurf.com/macombes/fig1-4me.htm

 

 

 

Aller plus loin :

 

 

 

 

 

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 18:12
Le Mystère Fulcanelli (Docs + PDF) [VF]

Documentaire réalisé par Henri Loevenbruck au sujet de l'enquête qui a permis la rédaction du Mystère Fulcanelli.

 

De Fulcanelli ne restent que deux livres (Le mystère des cathédrales,1926 et Les demeures philosophales, 1930), quelques rares autographes, l'image d'un supposé bel homme (1900) à barbe blanche, la fidélité fascinée de quelques disciples et surtout, surtout, une aura de légende, un mythe qui hanta jusqu'aux surréalistes. FULCANELLI a légué dans son oeuvre, outre un enseignement inégalé en matière d'Alchimie et de Symbolisme Hermétique, de précieux éléments permettant de cerner sa véritable personnalité et d'établir ainsi avec certitude son identité patronymique.

 

Merci à Claude T. pour cette trouvaille.

 

Le Mystère Fulcanelli (Docs + PDF) [VF]
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29 mars 2014 6 29 /03 /mars /2014 19:39
Plonger dans le temps : Le Machu Picchu (Doc) [VF]

Perchée à 2600 m d'altitude sur une crète des Andes, Machu Picchu est une merveille archéologique. La cité se compose de plus de 200 constructions finement taillées dans le granit, certaines sont des maisons, d'autres, des temples. Tout les édifices sont approvisionés en eau par un savant réseau de rigoles et de fontaines. C'est une citée perdue dont les portes et les venelles laissent deviner les fantômes du passé.

 

 

Mystérieusement les murs et les parois ne laissent aucun indice écrit. Nule gravure suggérant une activité. Au point le plus élevé le mystère s'épaissit encore : une pierre finement tailée domine la cité. Comment les batisseurs ont-ils fait pour hisser à cette altitude des pierres massives ? Et comment ont-ils fait pour tailler ces pierres si précisément qu'elles ne necessitent ni ciment ni mortier pour tenir ensemble ? Qui à construit Machu Picchu ? Et pourquoi avoir choisit un endroit aussi difficile d'accès pour ensuite le laisser à l'abandon ?

 

 

Depuis quelques temps de nouveaux indices apparaissent, certains se dévoilent dans la cité même lors de nouvelles fouilles, d'autres gisent au pied de Machu Picchu. Des scientifiques explorent pour la première fois ces zones envahies par la végétation.

 

NB : Excellent reportage vis à vis de la construction de Machu Picchu, malheureusement entâché par quelques omissions sans doute volontaires et par les "théories" souvent risibles des ces gens qui se disent archéologues.. Néanmoins l'importance de certaines informations révélées ici laissent songeurs quand aux capacités des constructeurs de la cité qui "ne connaissaient ni la roue ni le fer", puisque le reportage confirme qu'ils ont commencé par "renforcer la montagne" en créant des terrasses, depuis la base de celle ci, avant même de construire une cité pouvant acceuillir 1000 personnes...

 

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 16:16
Hadès, la mécanique orange (Doc) [VostFr]

Source : le 4ème singe

 

 

« Hadès, la mécanique orange » aborde les conséquences d’un drame perpétré pendant la guerre du Vietnam entre 1961 et 1971: celui de l’épandage d’agent orange par l’armée américaine.  Notamment en raison de la présence de dioxine, ce défoliant chimique est responsable de nombreuses maladies chez les personnes exposées. La stabilité de la dioxine lui confère un effet durable sur l’environnement et les habitants des régions touchées, occasionnant ainsi des cas de cancers ou de malformations à la naissance, des années après la fin des combats.

 

Ce film documentaire de 26 minutes, tourné en 2009 nous plonge dans le quotidien des victimes d’une guerre qui prit fin en 1975. Enfants, adolescents, jeunes adultes, ils n’ont pas connu la guerre mais subissent de plein fouet ses conséquences tragiques. Ils sont nés bien plus tard, sont enfants, petits enfants d’anciens combattants ou de civils exposés aux épandages.  Ils auraient pu vivre normalement, en temps de paix. Mais ils portent en eux la marque de la guerre, de son atrocité et de sa sauvagerie.

 

Le handicap des victimes transforme l’organisation des familles, l’exclue socialement parfois… C’est donc aux conséquences sociales de la guerre du Vietnam que s’intéresse ce documentaire. Il nous montre à quel point l’agent orange est un problème d’actualité au Vietnam.  Une troisième génération de victimes voit en effet le jour presque quarante ans après la fin de la guerre.

 

Ce film donne un aperçu des drames familiaux que provoque encore de nos jours l’agent orange. Il donne la parole aux victimes, et aide à mieux comprendre leurs situations et les difficultés qu’elles rencontrent.

 

Il dresse le portrait, avec respect, sensibilité et dignité d’une génération qui n’a pas connu la guerre mais qui en subit encore les conséquences.

 

Réalisation / Image : Caroline Delerue et Maël Lê-Hurand
Montage : Mauro Bellanova
Post-production : Caroline Delerue
Son / Photo : Fabien Jouanique

 

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 15:13
Conférence de Marion Sigaut sur son livre «Russes errants sans Terre promise» [VF]

Trouvé sur : SOTT

 

Pour sa première conférence de l'année, le Cercle des patriotes optimistes (CPO) a invité l'historienne Marion Sigaut et le philosophe Jacques Philarcheïn.

Si le public du CPO connaît déjà ce premier, Marion Sigaut, dont c'est la première apparition en Auvergne, n'est plus à présenter. Sa contre-histoire des Lumières lui a fait gagner un public grandissant, captivé par son talent de conférencière et par la pertinence de son analyse, alliés à un remarquable sens de la pédagogie qui tranchent avec la narration courante, d'inspiration républicaine, répandue dans les manuels d'histoire.

Le thème de la conférence clermontoise tourne autour de la migration des juifs soviétiques en Israël (1980-1992), dont elle a observé, au cours des nombreux séjours effectués dans ce pays, les péripéties et la souffrance. Un livre a été consacré à ce phénomène peu connu : Russe errants sans Terre promise (L'Harmattan, 1994 ; KontreKulture, 2012). Un témoignage dont il ressort que cette migration fut orchestrée pour répondre à des considérations géopolitiques, mises en évidence grâce à l'éclairage apporté tout au long de la conférence.

Jacques Philarcheïn s'est plié de bonne grâce à la règle du jeu dans les conférences en tandem. Il a posé les questions qui ont permis à Marion Sigaut, par développements successifs, de nous faire comprendre les enjeux politiques et le cynisme qui ont présidé à un tel déplacement de population, devant lesquels les souffrances humaines ne sont que peccadilles.

Cependant, le mot de la fin lui est revenu, occasion de revenir à une thématique qui lui est chère, celle de l'homme-masse et de l'inversion des valeurs. Considérant enfin les frondes sociétales et autres du moment, il a prédit une rupture épistémologique dans la perception que la société française en ses diverses composantes a d'elle-même.

 

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 15:44
Illuminés de Bavière, Francs-Maçons et N.O.M. (Doc) [VF]

Doc trouvé sur : Presse Libre Internationale (NENKI)

 

L'histoire de la fondation des Illuminés de Bavière par Adam Weishaupt - qualifié comme "le plus profond conspirateur qui ait jamais existé" - et de leur infiltration dans les loges maçonniques.

 

Leur but, selon les propres termes de Weishaupt : "L'objectif final de notre société n'est rien moins que de conquérir le pouvoir mondial et les richesses, de saper les gouvernements civils et religieux et de devenir les maîtres du monde".

 

Un extrait du livre de l'auteur "Les sociétés secrètes" : " La franc-maçonnerie est une école de formation intellectuelle et religieuse dans laquelle les hautes sectes Rose-Croix, Loge Templière d'Allemagne, Illuminés, Rites de Memphis etc..., achèvent l'éducation à la haine du christianisme et de l'ordre social ...".

 

On verra dans cette étude, l'indéniable influence de la maçonnerie sur la révolution française, puisque les francs-maçons français se sont eux-même réclamés de la révolution comme étant leur oeuvre. Georges Sand, elle-même (maçonne au Grand Orient) en parle dans ses écrits, et dit qu'elle attribuait la formule "liberté, égalité, fraternité" à la franc-maçonnerie. Formule qui semble pacifique, et qui était déjà usuelle dans les loges du Grand Orient, avant d'être adoptée.

 

Weishaupt a été éduqué chez les Jésuites, endoctriné par des enseignements subversifs, par de l'occultisme égyptien, et des théories antichrétiennes.

 

Les juifs auraient créé les Sociétés occultes subversives à structure maçonnique en pays d'Islam, et les rituels maçonniques sont directement issus de la Kabbale Juive.

 

Les Illuminés n'ont eu de cesse d'enseigner ce qu'ils désapprouvent, afin que le plan de conquête du pouvoir mondial ne soit jamais révélé (leur réelle stratégie étant le secret et la dissimulation, ainsi que la tromperie). Ils ont même eu le vice de se servir faussement du christianisme, tout en le désapprouvant, les novices eux-mêmes n'en n'étant pas informés.

 

Le plan, selon Weishaupt :


1/ Abolition de monarchie et de tout gouvernement établi,
2/ Abolition de la propriété privée et du droit d'héritage,
3/ Abolition du patriotisme,
4/ Abolition de la famille - mariage, moralité, éducation des enfants,
5/ Abolition de la religion.

 

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 21:50
Pyramides énergétiques : Des secrets qui nous sont cachés (Vidzzz) [VF]

Source et plus sur : le meilleur de l'actualité

 

"Les pyramides, étaient considérées comme des tombeaux, il apparait qu'il s'agissent plutôt de centrale électrique captant l'électricité qui se dégage du champ magnétique créé par l'écoulement des eaux sous le plateau de Gizeh. Ce qui explique l'absence de symboles hiéroglyphes à l'intérieur même de la pyramide."

 

Source et plus sur  : Rusty James

 

LES ENERGIES DE LA PYRAMIDE


La radiesthésie (mais également la kinésiologie) peut prouver le rôle important joué par les pyramides au niveau énergétique. Dans ce cas, il ne s’agit pas d’énergies connues, mesurables par des instruments normaux, mais d’énergies subtiles que l’on ne peut déceler que par voie radiesthésiste ou par les effets qu’elles ont sur l’environnement ou les êtres vivants. Ces effets peuvent être étudiés en laboratoire avec des modèles de différents types (avec des matériaux qui en représentent uniquement la structure et avec des parois ouvertes, ou bien avec des structures et des parois pleines). En outre, les résultats obtenus sont répétables et à chaque fois identiques. La pyramide agit à l’égard de l’énergie comme un amplificateur, comme un’accumulateur ou comme un blindage puissant, selon la manière dont elle est positionnée dans l’environnement.

 

EMISSIONS PROPRES DE LA PYRAMIDE


La physique microvibratoire nous explique que la pyramide émet des ondes de forme qui lui sont propres (voir Thèmes : Ondes déforme) et qui sont substantiellement négatives pour la matière vivante. Or ce phénomène s’avère lorsque la pyra-mide est positionnée selon un certain schéma prenant comme référence les points cardinaux.


Cela constitue une preuve que les ondes de forme sont la résultante de l’interaction entre la structure géométrique d’un objet et le champ magnétique terrestre, qui est capturé par celle-ci, « informé » et émis à nouveau, avec des caractéristiques propres. La pyramide la plus connue, reproduite plus de soixante fois dans l’Egypte pharaonique après une période d’élaboration (voir la pyramide de Joser) est celle qui est dotée, dans sa partie supérieure, du pyramidion classique (appelé ben ben).


Si elle est positionnée avec les quatre faces tournées vers les quatre points cardinaux, elle n’émet pas d’ondes de forme et conserve toutes les émissions énergétiques à l’intérieur de sa structure.


Cela signifie que si elle est posée au-dessus d’un nœud géopathogène, l’influx négatif est bloqué et ne sort pas.


Des relevés radiesthésistes effectués à l’intérieur de la pyramide de Khéops (ainsi que dans d’autres pyramides du même type) ont révélé que les réseaux énergétiques qui entourent le globe, tels que le réseau de Curry et celui d’Hartmann, ne sont pas présents à l’intérieur de la pyramide. Une orientation différente de ce type de pyramide provoque toutefois des émissions d’un type différent.

 

Plusieurs cas peuvent se présenter :


1) outre le fait que les faces sont tournées vers les points cardinaux ;


2) la pyramide peut se trouver orientée avec les sommets du carré de la base vers les quatre points cardinaux : dans ce cas il n’y aura pas d’ondes de forme émises mais, quel que soit le type d’énergie présent à l’intérieur de la pyramide (positive ou négative) elle sera dégagée librement vers l’extérieur ;

 

3) la pyramide est désaxée par rapport aux deux solutions précédentes : non seulement elle libérera l’énergie qu’elle (ou le lieu où elle se trouve) émet normalement mais elle irradiera également des ondes de forme négatives qui lui sont propres.

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 20:01
Les &quot;héritiers&quot; du docteur Mengele [VF]

Le médecin tortionnaire Joseph Mengele, sévissait dans le camp d'Auschwitz, il possédait un laboratoire géant où il utilisait des humains comme cobayes pour toutes les expériences qu'il désirait.


Il était fasciné par les jumeaux mais dans son laboratoire, il y 'avait aussi des nains, des gitans, des juifs, des enfants, des handicapés.
 
Il n'est pas le seul monstre de son époque certes, c'est un personnage à connaître, il était appelé l'Ange de la Mort.

 


Exemples de ses expériences
 

http://nazismbyjordan.files.wordpress.com/2010/06/nazis2.jpg

 

- Il mélangeait, unissait les veines de frères jumeaux et mélangeait leur sang, même de rhésus différents, pour voir leurs réactions.

- Il a essayé de « coller » deux frères jumeaux, en essayant de créer des frères siamois
- Il disséquait des nains vivants
- Il amputait des enfants de leurs pieds et mains afin de pouvoir les faire régénérer, sans succès
- Il jetait des hommes dans de l'eau bouillante pour savoir combien de temps ils resteraient en vie
- Il injectait de la peinture dans les yeux de prisonniers en espérant qu'ils changent de couleur
- Il injectait du ciment dans l'utérus des femmes ce qui a mené certaines d'entre elles vers la mort.

 

Après la Seconde Guerre, il s'est réfugié au Brésil.

 

 

http://skymaster21.free.fr/glandeur/tpe3/Image120.jpgD'autres lui ont emboîté le pas, sous différents régimes. Certains criminels de guerre, comme le général japonais Ishii Shiro, qui a étudié les effets des armes bactériologiques sur des soldats US prisonniers pendant qu'il oeuvrait dans l'unité 731, ont sauvé leur peau en échange de renseignements sur les expériences subies par les détenus.

 

En effet, les Américains comme les Russes se servaient des données recueillies pour prendre la tête dans la course aux armements qui les opposait. Les américains se serviront des données de Ishii Shiro pour développer des armes chimiques qu'ils utiliseront pendant la guerre du Vietnam, entre autre..

 

La Tchécoslovaquie et la Russie, toujours pendant la 2nd guerre mondiale, ont étudié les effets des poisons, virus, produits chimiques, amputations à vif, drogues, anti-drogues, etc sur leurs prisonniers.

 

L'empire US, par la suite, se servira de Nagasaki et d'Hiroshima comme laboratoire d'étude de l'arme atomique.

 

Des révélations laissent à penser qu'aujourd'hui encore, des cobayes humains sont utilisés, notamment en Corée du Nord, où des témoins affirment avoir vu des chambres à gaz...

 

 

 




Aller plus loin :

 

Les mystères de l'unité 731 (Docu) [VF]

  

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 19:44

http://www.rationalisme.org/photos/bucher_1_big.jpg

 

Le Moyen Age, surtout avec la création de l'Inquisition en 1229, vit se succéder les procès pour sorcellerie. La chasse aux hérétiques devint monnaie courante : musulmans, juifs, femmes, hommes ou enfants suspectés d'entretenir des liens avec le Malin, furent brûlés vifs sur des bûchers.

 

La terreur régnait, et quiconque s'éloignait des dogmes enseignés risquait de périr après avoir été soigneusement passé à la question, méthode qui permettait aux autorités religieuses d'obtenir inéluctablement des aveux.

 

 

On sait en revanche moins que les XVIe et XVIIe siècles ne virent pas cesser ces pratiques fanatiques. Lorsque les tribunaux civils reprirent à l'Eglise le monopole des procès en sorcellerie, un point culminant fut même atteint.

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 19:42

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31 août 2012 par Émeline Ferard

 

Des chercheurs ont réussi à décoder le génome de l'Homme de Denisova, un homme primitif qui vivait il y a entre 1 million et 400.000 ans. Ceci leur a permis de comparer son génome à ceux de Néandertaliens et d'Homo Sapiens.

 

L'Homme de Denisova livre une nouvelle partie de ses mystères. Dans la revue Science parue jeudi, des chercheurs annoncent en effet être parvenus à fournir un élément de plus au sujet de cet hominidé primitif et pas des moindres : son génome entièrement décodé. C'est à partir d'un échantillon d'ADN microscopique prélevé sur un os vieux d'environ 80.000 ans que les scientifiques ont mené leurs travaux dont ils avaient en vérité déjà annoncé la fin en février dernier. Mais la tâche n'était pas simple dans la mesure où les restes fossiles de l'Homme de Denisova sont extrêmement rares.

 

Aujourd'hui, ils se réduisent à des fragments d'une phalange d'auriculaire appartenant à une fillette d'environ sept ans, découverts en 2010 à proximité d'une dent dans une grotte du sud de la Sibérie. Aussi, pour décoder son génome, Svante Pääbo, de l'Institut Max Planck de Leipzig et son équipe ont inventé une technique leur permettant de démêler la double hélice de l'ADN pour en analyser séparément chacun des brins. Un séquençage tellement précis qu'il a pu être comparé avec celui de onze hommes modernes (Homo sapiens) de différentes parties du monde et celui du Néandertal. "Ce décryptage d'un génome éteint atteint une précision sans précédent", assure ainsi Matthias Meyer, auteur principal de l'étude cité par l'AFP.

 

Mieux encore, "pour la majorité du génome, nous avons même pu déterminer les différences entre les deux jeux de chromosomes que la fillette denisovienne a hérité de son père d'une part et de sa mère d'autre part", souligne-t-il. Grâce à cela, les scientifiques ont pu constater que la diversité génétique existant chez les Denisoviens était beaucoup plus faible que celle qui existe actuellement chez les humains. Ce phénomène est probablement dû au fait que leur population initiale était restreinte et qu'elle a rapidement augmenté au fur et à mesure qu'elle s'étendait sur une vaste zone géographique, de la Sibérie au Pacifique sud, explique les chercheurs.

 

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Du génome denisovien chez certaines populations d'Asie du sud-est

 

D'après les observations décrites, les Denisoviens étaient notamment porteurs de matériel génétique aujourd'hui associé avec une peau sombre, des cheveux bruns et des yeux marrons. "Si les recherches à venir sur le génome du Néandertal montrent que leur population a évolué de manière similaire, il est fort possible qu'une seule et même population ayant quitté l'Afrique ait donné naissance à la fois aux Denisoviens et aux Néandertals", estime Svante Pääbo, pionnier suédois de l'exploration de l'ADN ancien. Grâce à ce nouveau matériel, les chercheurs ont été en mesure de dater la divergence entre les populations de Denisoviens et d'hommes modernes entre 170.000 et 700.000 ans. En outre, ils ont daté la phalange retrouvée en Sibérie à de 74.000 à 82.000 ans. 

 

Mais ce n'est pas tout puisque le décodage du génome a également confirmé que les Denisoviens ont contribué au génome des populations des Mélanésiens, aborigènes australiens et autres habitants actuels des îles d'Asie du sud-est, en particulier chez les Papous de Nouvelle-Guinée. Selon les calculs et les comparaisons faites, 6% du génome des Papous provient de ces hominidés, vraisemblablement par le biais de croisements entre des Denisoviens et des Homo sapiens. On en retrouve aussi des traces chez tous les Eurasiens, mais aucune chez les Africains.

 

Enfin, l'analyse a également permis aux scientifiques d'identifier quelque 100.000 changements survenus dans le génome humain après la séparation d'avec les Denisoviens. Des observations d'autant plus importantes que certaines de ces modifications affectent les gènes associés aux fonctions cérébrales et au développement du système nerveux. "Ces recherches aideront à comprendre comment les populations humaines modernes ont pu augmenter considérablement leur taille et leur complexité culturelle tandis que les humains archaïques ont fini par décliner puis s'éteindre", relève ainsi M. Pääbo.

 

© Maxiscience

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 19:40

Vidéo trouvée sur : Bistro Bar Blog

 

http://pyramidesbosnie.com/wp-content/uploads/2012/09/pyramides_home01.jpg

 

Semir Osmanagich, scientifique indépendant, nous montre dans quel contexte il a fait la découverte des premières pyramides d'Europe en Bosnie. Il nous explique à quand remontent ces constructions, et comment elles furent conçues comme un énorme générateur d'énergie.

 

Il fait le parallèle avec d'autres monuments dans le monde, et nous montre en quoi ces découvertes imposent de repenser complètement l'Histoire de l'Humanité.

 

Site officiel : avantgardeeconomique.fr
Page Facebook : facebook.com/Avantgardeeco...

 

Si vous avez aimé cet entretien vidéo, vous pouvez nous soutenir pour d'autres entretiens à venir : avantgardeeconomique.blogspot.fr/

 

"Qu'il y ait quelque chose dont on dise : "Tiens, voilà du nouveau !", cela fut dans les siècles qui nous ont précédés. Il n'y a pas de souvenir d'autrefois, et même pour ceux des temps futurs : il n'y aura d'eux aucun souvenir auprès de ceux qui les suivront. Ce qui fut, cela sera, ce qui s'est fait se refera, et il n'y a rien de nouveau." (Ecclésiaste, chapitre 1)

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 19:34

 

 

L’épisode a été passé sous silence pendant soixante ans, avant l’ouverture des archives de la commission d’enquête diligentée devant la gravité des faits. Nicolas Werth est le premier historien occidental à les exploiter.

 

La tragédie de Nazino fut-elle programmée ou fut-elle le résultat d’une immense gabegie, d’un manque total de coordination entre les différents maillons de la chaîne répressive ?

 

La reconstitution minutieuse de l’événement nous permet de mieux saisir le fonctionnement, encore très mal connu, du système des « peuplements spéciaux », ce second goulag qui se développa et prospéra un quart de siècle durant, parallèlement au système des camps de travail proprement dit. L’épisode de Nazino en dit long aussi sur ce qui se passait dans les espaces largement incontrôlés de la Sibérie, ce Far East soviétique, terre de déportation et de colonisation, gagnée par une extraordinaire violence sociale.

 

Enfin, l’ »île aux cannibales » apparaît comme un formidable laboratoire anthropologique d’un groupe d’individus soumis à une situation extrême dans un lieu clos où l’homme est devenu un loup pour l’homme.

 

A Nazino, l’utopie modernisatrice d’une ingénierie sociale parfaitement maîtrisée a débouché sur un processus de décivilisation. L’Ile aux cannibales raconte l’histoire de la déportation de 6 000 « éléments socialement nuisibles » envoyés au camp de transit de Tomsk, en Sibérie occidentale, et, de là, sur une petite île au milieu de l’Ob, Nazino, à neuf cents kilomètres plus au nord.

 

En quelques semaines, les deux tiers des déportés, débarqués sans provisions ni outils, meurent de faim au point de s’entre-dévorer.Nazino devient l’ « île aux cannibales ».

 

L'île aux cannibales de Staline (Doc) [VF]
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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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