Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 11:14

Source : Spread the truth 777

 

http://i76.photobucket.com/albums/j14/glambarbarian/Aspartame_zombie.jpg

 

Présentation de la conférence de Corinne Gouget au Théâtre de la Main d'Or le Samedi 17 novembre 2012.

 

Partager cet article
Repost0
1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 10:45

Source : les moutons enragés

 

Voilà une bien mauvaise nouvelle puisque la vitamine D, justement, est très importante pour notre organisme.

Le déficit en vitamine D n'a pas cessé d'augmenter en 20 ans

Depuis quelques années on parle beaucoup de vitamine D et en particulier de ses bénéfices car avoir un taux suffisant de cette vitamine dans le sang diminuerait le risque de certains cancers et pourrait nous protéger de la grippe et des affections hivernales. Fort de ce constat, de nombreuses personnes s’étonnent : mais comment faisions-nous avant ? Nous aurions tous dû mourir brusquement sous l’effet des carences, puisque la supplémentation était très rare ?

 

Des chercheurs viennent de répondre en partie à cette question en analysant des données sur la population Américaine entre 1988 et 2006. Ils ont constaté que, sur 20 ans, les taux de vitamine D avaient baissé significativement. Entre les périodes de 1988 à 1994 et les périodes de 2001 à 2006, le taux moyen de vitamine D a diminué de 9% sur l’ensemble des sujets et plus précisément de 12% chez les hommes, 14% chez les noirs, 16% chez les adolescents de 12 à 15 ans, 16% chez les adultes de 20 à 30 ans, 6 à 14% chez les personens qui n’utilisent pas de compléments alimentaires et 8 à 17% chez les personnes en surpoids.

 

Les auteurs avancent que ces variations du taux de vitamine D ne sont pas liés à l’alimentation. Et pour cause puisque l’alimentation apporte très peu de vitamine D par rapport à nos besoins, c’est le soleil qui est la source majeure. Le déficit chronique en vitamine D a d’ailleurs été récemment un cri d’alarme des chercheurs pour ses implications en terme de santé publique.

 

Les éléments qui expliquent la baisse du taux de vitamine D sur les 20 à 30 dernières années semblent être :

  • L’utilisation abusive des crèmes solaires, qui bloquent la production de vitamine D dans la peau.
  • Le travail moderne, où les travailleurs sont de plus en plus enfermés dans des bureaux sans voir la lumière du soleil. 
  • La pollution atmosphérique, qui bloquerait certains rayons UV nécessaires à la synthèse de la vitamine D.
  • La pollution dans les grandes villes, pour les même raisons.

Les compléments alimentaires de vitamine D semblent donc être une réponse justifiée face à la dégradation de notre environnement, comme l’explique le docteur Brigitte Houssin.

Référence : Ganji V, Zhang X, Tangpricha V. Serum 25-Hydroxyvitamin D Concentrations and Prevalence Estimates of Hypovitaminosis D in the U.S. Population Based on Assay-Adjusted Data. J Nutr. 2012 Feb 8.

Source: lanutrition.fr

L’article nous dit donc que la vitamine D réduirait les risques de cancer, et comme un hasard n’arrive jamais seul, un second article est disponible allant également dans ce sens, avec plus de détails:

La vitamine D ralentit l’évolution du cancer

Des chercheurs de l’Université McGill (Québec), dont les travaux sont publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, ont découvert les mécanismes moléculaires à l’origine des possibles effets préventifs de la vitamine D sur le cancer.

John White et David Goltzman de l’Université McGill ont, avec leurs collègues, constaté que plusieurs mécanismes de la forme active de la vitamine D lui permettent d’inhiber la production et la fonction de la protéine cMYC. Cette protéine, qui exerce son activité à des taux élevés dans plus de la moitié de tous les cancers, joue un rôle important dans la division cellulaire (une division anormale des cellules est à la base du cancer).

Un apport insuffisant en vitamine D, qui concerne de nombreuses populations dans le monde, a été associé à une incidence accrue de certains types de cancers, particulièrement les cancers des voies digestives, dont le cancer du côlon, et certaines formes de leucémie.

Les chercheurs ont aussi découvert que la vitamine D stimule fortement la production de MXD1, un antagoniste naturel de la protéine cMYC qui en inhibe la fonction.

L’application de vitamine D sur des tissus cutanés de souris s’est traduite par une chute des taux de protéine cMYC et une diminution de la fonction de cette dernière. Les chercheurs ont également observé, chez d’autres souris dépourvues du récepteur spécifique de la vitamine D, une élévation marquée des taux de protéine cMYC dans de nombreux tissus, notamment la peau et la muqueuse du côlon.

Cet effet inhibiteur sur la fonction de la protéine cMYC permet de croire que la vitamine D ralentit l’évolution des cellules précancéreuses en cellules malignes et en freine la prolifération.

Les chercheurs invitent à s’assurer de recevoir un apport suffisant en vitamine D.

Des travaux précédents de cette équipe avait montré qu’une carence en vitamine D pourrait contribuer à la maladie de Crohn.

Voyez également:

Source: Psychomedia

Pour trouver cette fameuse vitamine et l’inclure dans son alimentation, il n’y a pas 36 solutions, la meilleure étant la nourriture qui en contient:
Aliment Teneur en
μg pour 100 g
Huile de flétan 50 000
Huile de carpe 25 000
Huile de thon 5 000
Huile de foie de maquereau 5 000
Huile de foie de saumon 1 000
Huile de foie de morue 20056
Saumon, Hareng, Anchois 12-2056
Sardine, Maquereau 8-1256
Margarine 8-1256
Thon 3-856
Foie de poulet 2
Champignons 0,6-1,556
Beurre 0,6-1,556
Œuf 0,6-1,556

Source: Wikipedia

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 13:42

http://s4.e-monsite.com/2011/04/08/09/resize_250_250//Claire-Severac.jpg

 

Notre conférencière y aborde les thèmes de son livre : "complot mondial contre la santé". L'intervention initiale de Claire est suivie d'une séance de questions/réponses.

 

Conférence de Claire Séverac, le 29 Janvier 2012, sur l'antenne du Libre Teamspeak.

 

http://lelibrets.blogspot.com/
http://poussieresdanslespoir.blogspot.fr/

 

Claire Séverac est née en France, d’une mère basque et d’un père occitan.

 

Elle a une première vie comme auteure de chanson, d’abord en France avec Charles Dumont, puis alternativement, aux États-Unis et en France, avec des artistes comme Gloria Gaynor, Stevie Wonder, Donna Summer, Alain Barrière, Laam ou Julie Zenatti.

 

Lasse de la chanson, elle décide d’écrire avec les éditions du Rocher sur des sujets éclectiques et, en particulier, chez Alphée, ce remarquable livre, Complot mondial contre la santé.

 

Merci à Anne pour le partage.

 

 

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 01:13

2725318-property-imageData-CmC-2708132-CmPage-70.2151234.27.jpg

 

Troubles du sommeil, difficultés à respirer, maux de tête, risques cancérigènes : les ondes électromagnétiques menacent-elles la santé humaine ? En dépit d'études de plus en plus nombreuses, la science reste divisée sur la question, ce qui alimente une polémique montante. Au nom du principe de précaution, certains mettent en cause l'attentisme des pouvoirs publics, qu'ils accusent de complaisance envers le puissant secteur de la téléphonie mobile. Mais ils sont en retour taxés de paranoïa, voire d'obscurantisme. Pour nous permettre de faire le tri, cette enquête passe en revue, de façon claire et rigoureuse, les principaux résultats obtenus à ce jour par les chercheurs, en se gardant de prendre parti.

 

Lien docu entier  : http://www.youtube.com/watch?v=sokSGAZ4nXU

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 13:37

Source : NaturavoX

 

 

securedownload-copie-7.jpg

vaccin Gardasil rapport : 25 132 victimes, dont 110 décès et 826 infirmes.

 

Reçu de Jean-Jacques Bourguignon, père d’Océane, victime du Gardasil, qui manifeste sa colère justifiée 

 
Gardasil®
Un vaccin aux effets secondaires potentiellement dramatiques, à l’efficacité jamais démontrée, commercialisé à grand renfort de publicité...
Les victimes sont de plus en nombreuses. Pourtant, ce vaccin contre le papillomavirus est toujours vendu et remboursé, sous la « haute surveillance » de l’Afssaps

 

Les dernières données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), le registre américain de pharmacovigilance, sont de plus en plus inquiétantes :

- en août 2011, on comptait 23 388 victimes, dont 763 infirmes et 103 décès ;
- en octobre, elles étaient 23 982, dont 780 infirmes et 104 décès ;
- et en novembre, 24 184 victimes, dont 789 infirmes et 108 décès, sans compter les quelque 5000 victimes n’ayant toujours pas récupéré leurs fonctions normales.
- Enfin, aux dernières nouvelles, en mars 2012, il y avait 25 132 victimes, dont 110 décès et 826 infirmes.


Rachel Celli confrontée aux experts


En France, Rachel Celli, dont la fille Laetitia a subi la vaccination et qui avait la naïveté de croire que les « experts » statueraient de manière indépendante et surtout « avertie », a vécu un véritable calvaire avant d’apprendre, à la fin du mois de mars dernier, que la demande d’indemnisation de sa fille était rejetée puisque « le lien avec le Gardasil® n’est pas explicitement confirmé, malgré la chronologie des faits ».

Il serait grand temps que la charge de la preuve soit inversée et que ce soit aux laboratoires et non aux consommateurs de prouver que les produits qu’ils commercialisent ne sont pas toxiques.


Des témoins muets


Rachel en veut aussi à tous ceux qu’elle a voulu prévenir et qui refusent de témoigner.

« Depuis juillet, je n’ai pas arrêté de m’exprimer sur diverses chaînes de télévision, dans des tas de journaux, à la radio pour informer les gens, réveiller les consciences. J’ai passé des heures à répondre au téléphone à des personnes qui ont les mêmes problèmes, mais quand j’ai envoyé des journalistes les contacter pour avoir d’autres témoignages et ainsi être plus crédible, ces journalistes sont revenus vers moi en me disant que personne ne voulait témoigner. Il arrive un moment où il faut arrêter d’avoir peur ou honte, de se cacher derrière les autres en attendant de voir ce qui va se passer, et il faut avoir le courage de s’élever contre toute cette machination très bien huilée qui consiste à dire “pour en sauver des centaines, il faut bien qu’il y ait un pourcentage de perte”. Oui, cette phrase, des professeurs et médecins me l’ont dite, en rajoutant “vous n’avez pas de chance”. Ma fille fait partie d’un pourcentage de perte acceptable, ni plus ni moins et je dois faire avec… »


4 ans d’enfer déjà


La famille de Laetitia a eu une vie avant le Gardasil® et, depuis plus de 4 ans, elle a une autre vie qui tourne autour du Gardasil®.

« J’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de ma fille, la trimbaler à travers toute la France pour diverses consultations, des examens, biopsies, opérations.
Ma fille aujourd’hui n’a toujours pas de diagnostic posé, personne ne comprend ses crises de paralysie, de tremblements, ses nausées quotidiennes ni ses bouffées de chaleur, ses névralgies, ses douleurs pelviennes, ses syncopes, personne ne propose de traitement.
Pendant ce temps, à 21 ans, elle doit composer avec tout cela, ne peut pas se rendre à la fac plus de deux heures par jour, car elle est extrêmement fatiguée par des douleurs dans les jambes, elle ne peut plus conduire, je dois l’accompagner quand elle veut faire des courses, car le bruit et la lumière lui donnent des vertiges, elle ne peut pas accompagner ses amies dans des fêtes ou au cinéma, comme tous les jeunes de son âge, et je ne sais même pas si elle sera un jour capable de travailler et de subvenir à ses besoins. Il serait souhaitable que beaucoup de victimes commencent à faire parler d’elles par voix de presse pour qu’enfin la population, les médecins et nos instances de santé prennent pleinement conscience du problème. »


Informer les autres


Rachel déplore qu’il n’y ait eu que cinq familles qui aient accepté de témoigner, car c’est seulement le nombre qui fera en sorte qu’elles soient crues et écoutées.

« Pendant ce temps, d’autres gamines se font vacciner en ayant l’illusion que ce vaccin est magique et qu’elles n’auront pas de cancer de l’utérus, sans connaître les dangers de l’aluminium, du borax et autres. L’information circule très mal, pour preuve quand on me pose des questions dans ma ville et que j’informe sur le borax, on me regarde avec des yeux ronds en me répondant : “Ce n’est pas un poison, sinon ce ne serait pas remboursé” et quand je parle des essais cliniques bâclés, on me répond la même chose.  »


Gare au borax


Le conservateur du vaccin Gardasil® est le borax (borate de sodium). Or, depuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques. Les emballages de ce produit doivent porter le logo à tête de mort. D’après Michel Georget, professeur de biologie : « Il paraît pour le moins imprudent d’utiliser un tel conservateur dans les vaccins contre les infections du col de l’utérus quand on sait qu’au cours des études cliniques préalables à la mise sur le marché, cinq femmes, tombées enceintes 30 jours après leur vaccination, ont eu des bébés anormaux. »


Et on culpabilise les parents !


Rachel Celli a noté que l’un des experts lui a dit textuellement : « Mais Madame, ce n’est pas le laboratoire qui vous a obligée à faire ce vaccin sur votre fille, c’est vous qui avez pris cette décision. Vous n’avez qu’à vous en prendre à vous-même. »


Et tout cela avec la caution de l’Afssaps !


Lire l’article de Sylvie Simon dans le n° 147 de Rebelle-Santé (juillet-août 2012).

Oceane Bourguignon rentre en justice au CRCI de Bordeaux

 

 

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 13:22
http://www.dessinateur.biz/blog/wp-content/uploads/2009/11/408_vaccination_succes.JPG
Crédit image : dessinateur.biz
Alors que l'on nous a seriné, pendant des années, que les doutes sur les vaccins n'avaient pas lieu d'être, « que ces produits étaient parmi les plus sûrs », que le corps médical est en majorité en faveur des vaccins et que les populations sceptiques sont très minoritaires et soit-disant d'origine sectaire, une enquête-choc de l'INPES (tellement choc d'ailleurs qu'elle en est restée NON PUBLIEE) démontre tout le contraire.

L'INPES (Institut National de Prévention et d'Education à la Santé) a en fait réalisé, en 2005, avec l'Institut de Sondage BVA, une enquête auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins français, généralistes et pédiatres afin d'évaluer leur perception de l'utilité et de la sécurité des vaccins. Les résultats sont si éloquents qu'il fallait, bien entendu, tenter au maximum, d'en dissimuler les résultats au public....

58 % des médecins se posent des questions sur l'utilité des vaccins donnés aux enfants.

31 % des médecins se posent des questions sur la sécurité des vaccins.

La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l'INPES intitulé « Vaccinations, Guide pratique pour le praticien » et est notée comme suit :

« BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres. 2005 : p. 31 - non publiée. »

EST-CE VRAIMENT NORMAL, démocratiquement parlant, que de tels résultats soient demeurés aussi longtemps aussi confidentiels ?

Car, pendant ce temps, la plupart de ces médecins QUI DOUTENT soit de l'utilité soit de la sécurité ont fort probablement continué à vacciner aveuglément de peur de faire part publiquement de leurs doutes, en commençant par leur patientèle !!!

Si ces médecins ont ainsi accepté de donner franchement leur avis dans ce type d'enquête, c'est bien entendu parce qu'ils ont forcément dû recevoir une garantie absolue d'anonymat.

L'omerta est si forte que, dans les faits, hélas, c'est toujours le sinistre « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » qui prévaut. Au détriment du patient bien sûr et de son droit à un consentement libre et éclairé.

Il n'en reste pas moins qu'avec de tels chiffres, plus aucune obligation vaccinale d'aucune sorte ne saurait encore trouver la moindre légitimité scientifique ou démocratique.

Source : INPES
Partager cet article
Repost0
19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 12:59

http://images.telerama.fr/medias/2012/11/media_89599/le-diesel-un-scandale-peripherique,M98014.jpg

 

Le diesel, un secret bien gardé qui pourrait entraîner un scandale comme ceux de l'amiante ou du sang contaminé. Il implique des millions de personnes, fait tous les ans des dizaines de milliers de victimes en France, et est au coeur du secteur automobile.

 

Au départ, ce carburant était destiné à «sauver» l'industrie automobile française. Aujourd'hui, il détruit des vies.

 

Des scientifiques, des victimes, des détracteurs et des défenseurs du diesel témoignent sur le sujet. Ce document analyse également pourquoi et comment les autorités françaises n'ont pas alerté l'opinion plus tôt sur ses dangers.

 

 

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 14:24

http://medias.unifrance.org/medias/68/40/10308/format_page/tabac-la-conspiration.jpg

 

Plus de trois ans d'enquête dans le monde entier ont permis de démontrer et de décrypter comment l'industrie du tabac parvient, malgré tout et malgré tous, à conserver, voire à accroître sa toute puissance au détriment de la santé publique.

En quatre-vingt douze minutes, et sur trois continents, l'Amérique du Nord, l'Europe et l'Afrique, Tabac, la conspiration déroule l'écheveau de cette grande conspiration, en trois temps forts :

  • La manipulation scientifique : il a été prouvé encore récemment que les « majors » de l'industrie du tabac s'étaient coalisées pour recruter des scientifiques et des professeurs d'université qui ont publié des articles mensongers sur la non nocivité du tabac puis du tabagisme passif.

  •  
  • La subversion commerciale : que ce soit à travers le placement de produits et la « glamourisation » du tabac au cinéma, la création de cache-paquets destinés à masquer les messages obligatoires imposés par la loi, ou d'une façon générale les actions destinées à retarder l'application de la loi ou à la contourner, les industries ont tout essayé.

  •  
  • La stratégie économique : pour se développer mieux et plus vite, infiltrer des pays aux marchés fermés, mieux toucher les jeunes et les pauvres, la contrebande est un réseau mis en place par l'industrie elle-même.

 

 
Partager cet article
Repost0
9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 11:12

Les agents sans secret

 

 

Qu'est-ce qui se trament derrière les épandages récurrents de produits chimiques et bactériologiques par des avions militaires et civils?

Que sont ces systèmes HAARP et consorts, qui émettent de puissantes ondes électromagnétiques dans l’ionosphère, l’atmosphère et le sol?

La liste des produits rencontrés au fil des analyses comprend :

● le ‘‘dibrométhane’’ : interdit depuis 1984, additif du carburant des avions, insecticide cancérigène, pouvant causer des oedèmes pulmonaires ;

● la bactérie ‘‘Pseudomonas aeruginosa’’, qui peut être à l’état naturel dans le sol, mais est fabriquée par une compagnie au doux nom de ‘‘Patho-genesis’’ ; sur les personnes vulnérables, cette bactérie forme un bio-film qui bloque le système immunitaire ;

● la bactérie ‘‘Pseudomonas fluorescens’’, qui se trouve aussi dans le sol ;

● des ‘‘entérobactériacées’’ : Escherichia coli et salmonelles pour les intoxications alimentaires, Klebsiella pour les infections pulmonaires ;

● la bactérie pathogène ‘‘Serratia marcescens’’, responsable de pneumonies, méningites, endocardites ;

● des streptomycines, composants des antibiotiques ;

● des enzymes restrictives, utilisées en laboratoire pour couper et recombiner l’ADN ;

● des cellules de sang humaines : globules rouges, globules blancs pris dans des agrégats ;

● d’autres bacilles, bactéries et moisissures pouvant provoquer des maladies cardiaques, des difficultés respiratoires et des maladies gastro-intestinales aiguës ;

● du BCTP huileux, antibiotique, décontaminant (sans doute testé après l’épandage d’une bactérie bénigne) ;

● des stéarates et sulfates de , toxiques pour les mammifères ;

● différentes formes d’aluminium, neurotoxiques à l’origine de démences dégénératives (Alzheimer) ;

● des fibres de polymères, dont certains sont analogues aux additifs polymères utilisés en charcuterie pour uniformiser la cuisson au four à micro-ondes.

SYNDROMES BIOLOGIQUES

Un certain nombre d’atteintes à la santé ont pu être mises en relation avec l’épandage des traînées chimico-bactériologiques. Elles affectent naturellement de façon privilégiée les personnes dont le système immunitaire est le moins résistant, à savoir les jeunes enfants et les personnes âgées. Citons quelques-unes des affections identifiées : saignement de nez et de poumon, asthme et allergies, aspergillose broncho-pulmonaire allergique, grippe, bronchite, bronchiolite des nouveau-nés, pneumonie, syndrome de détresse pulmonaire, mort subite du nourrisson ou d’athlètes, décès dus au fongus noir (moisi noir ou rouge sur les récoltes vivrières), gastro-entérite, fatigue extrême ou chronique, acouphène, vertige, vision embrouillée, mental au ralenti, désordres immunitaires, etc.

LES ‘‘PROJETS NOIRS’’ DE L’ARMÉE DES SERVICES SECRETS DES ÉTATS-UNIS.

La conspiration du silence officielle qui entoure les épandages aériens ne peut que nourrir le soupçon qu’ils cachent des projets inavouables, dont on trouve sur Internet des descriptions assez angoissantes. Elles ne sont pourtant pas si invraisemblables que cela, si on les juge à l’aune des multiples méthode de chaotisation du monde employées actuellement par ceux qui dirigent secrètement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Il est conseillé de relire les livres prémonitoires ‘‘Le meilleur des mondes’’ d’Aldous Huxley et ‘‘1984’’ de George Orwell pour se remémorer leur programme, et de consulter aussi des ouvrages plus récents qui décrivent son actualisation.

Il faut savoir que les épandages chimico-bactériologiques peuvent être utilisés de façon autonome, mais qu’ils sont le plus souvent réalisés en conjonction avec l’émission d’ondes électromagnétiques à partir de deux types de sources :

● d’une part les émetteurs américain HAARP en Alaska, en Australie et ailleurs dans le monde, et leurs homologues russe ‘‘Pic-vert’’ au nord de Moscou et en Sibérie, qui envoient vers l’ionosphère diverses ondes de très hautes et/ou très basses fréquences et de très grande puissance (une centrale nucléaire est dédiée à cela en Alaska !),

● d’autre part les tours GWEN (Réseau d’urgence par ondes terrestres, en cas d’explosion nucléaire), de 100 à 170 m de hauteur, espacées de 320 km, qui émettent dans la basse atmosphère et à travers le sol différents type d’onde, dont certaines de haute fréquence qui peuvent être :

- soit continues et porteuses d’une modulation de basse fréquence (modulation en amplitude, ou en fréquence, ou en phase),

- soit discontinues sous forme d’impulsions de durée limitée (on parle d’ondes ‘‘pulsées’’), avec une ‘‘fréquence de récurrence’’ (nombre d’impulsions par seconde) : les nocives micro-ondes des radars, des téléphones portable et de leurs antennes relais sont de ce type.

Ce sont donc ces trois composantes : traînées chimico-biologiques, émetteurs HAARP et tours GWEN, qui constituent la boîte à outil polyvalente à la disposition des ‘‘projets noirs’’ vraiment démoniaques. En tant que spectateurs moyens, nous pouvons détecter les traînées dans le ciel, à condition de lever le nez de temps en temps, mais nous ne sommes pas du tout conscients de l’arrosage électromagnétique associé, qui peut être simultané ou différé.

L’acronyme poético-musical du programme HAARP (High-frequency Active Auroral Resarch Project) ne se réfère à l’étude des aurores boréales que pour présenter une ‘‘couverture’’ scientifique plutôt sympathique, qui cache en réalité son intégration dans le plan général de la ‘‘Guerre des Etoiles’’, chère à George Bush et à ses tristes acolytes. Ses installations d’antennes émettrices très puissantes ont entre pour fonction, en liaison avec les traînées chimiques, d’envoyer des ondes se réfléchir sur l’ionosphère en la réchauffant ponctuellement, de créer des ondes stationnaires à l’échelle du globe et de modifier ainsi le parcours des grands courants atmosphériques de vapeur d’eau (les ‘‘rivières du ciel’’ telles que le Jet Stream), de façon à créer à volonté des zones de sécheresse et des zones d’inondation.

De façon plus générale, les catastrophes climatiques que nous avons subies à travers le monde ces dernières années, jusqu’à la grande sécheresse puis les inondations de 2003 en France, et dernièrement, par exemple, le passage de Sandy, ne reflètent en rien les cycles naturels d’anomalies atmosphériques. Elles sont donc dues à des interventions humaines délibérées et sournoises sur le climat, qui malheureusement jouissent de l’entière complicité de nos gouvernants et d’un manque total de curiosité de la part des médias et des agences officielles de météorologie.

Avez-vous entendu, dans les bulletins météo de votre radio ou de votre chaîne de télévision préférée, la moindre allusion à la responsabilité éventuelle de HAARP dans la survenue des catastrophes climatiques récentes ?

Chemtrails, HAARP... les "projets noirs" (de l'armée US) , manipulation du climat, guerre météorologique ou bactériologique secrète, contrôle total des télécommunications, contrôle des émotions et des pensées, aliénation des masses, réduction de la population mondiale , l'empoisonnement de l'air, de l'eau, de la terre, de la vie... etc...

Les Médias se taisent, les blogs s'en lavent les mains...
Les gens ne posent plus de questions...
La politique est nulle... La démocratie est une duperie!
Les gens ne posent plus de questions
Les gens sont dérouté, ennuyés, fatigués, démobilisés..
Bah! Il y en a qui décident du sort de l'humanité...

Les gens ne posent plus de questions, ils se savent impuissants devant le Pouvoir

Et les gens qui ont le Pouvoir ne peuvent que se réjouir de voir disparaître des populations entières de pauvres gens inutiles, impuissants, apeurés, obèses, névrosés, fatigués... 

Les gens qui ne posent pas de questions et qui ne font rien pour changer les choses ne méritent que de disparaître! Ce sont des parasites!


HEY ! IL Y A TOUJOURS DES CHEMTRAILS !!!!!!

Il y a des blogs (comme celui-ci : « eso-news ») qui curieusement nous annoncent la fin des chemtrails! Quelle aberration!!!!!!!! Sans doute ces individus ont baissée la tête... Il ne regarde plus vers le ciel! En  vérité les chemtrails sont toujours bel et bien présents dans nos cieux... Les épandages se poursuivent!!!

Cette pratique inquiétante de la part des "maîtres du monde" continue toujours aussi de soulever des tas de questions qui restent sans réponse... Il n’y a pas encore d’explication "officielles" qui ont été donné sur ces opérations... Et le pire, les gens se sont habitués à ces avions et à leurs traînées de substance blanchâtre, au point de ne plus y faire attention, au point de ne plus les voir... Mais encore, combien de détails encore nous échappent!!?

Enfin, nous vous annonçons officiellement qu’il y a toujours des épandages de "traînées biochimiques" au dessus de nos têtes... Et nous vous prédisons que d’ici peu, nous allons connaître la véritable raison de ces ignobles épandages! Attendez-vous à de la véritable science-fiction ! live !


Partager cet article
Repost0
6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 12:58

 

Mardi 6 novembre, plus de 18 millions de Californiens inscrits sur les listes électorales (un chiffre record pour l’Etat) éliront un président, des membres du Congrès et des représentants locaux, mais doivent aussi approuver ou non onze initiatives populaires ou propositions, qui seront inscrites en amendement à la Constitution si elles obtiennent une majorité des voix.


Le plus disputé de ces projets de loi est la proposition 37, qui imposerait un étiquetage obligatoire à tous les produits comestibles contenant des ingrédients modifiés génétiquement (genetically engineered, dans le texte), et interdirait leur commercialisation sous l’appellation de produits « naturels « .


Environ 90 % du maïs et du soja américains, très présents sous formes diverses dans la grande distribution, comportent des gènes altérés – souvent pour leur permettre de tolérer l’herbicide Roundup de Monsanto.

 

En cas de vote favorable, la Californie serait le premier Etat américain à imposer l’étiquette OGM à tous les produits commercialisés dans l’Etat, quelle que soit leur provenance. Pour l’industrie, l’impact sur les consommateurs pourrait être désastreux.


Les enjeux économiques sont tels qu’un puissant lobby agroalimentaire, composé des firmes Monsanto – le plus gros donateur avec 8,1 millions de dollars (6,2 millions d’euros) –, DuPont (5,4 millions de dollars), PepsiCo, Dow, Coca-Cola, et Kraft…, a réuni plus de 45 millions de dollars pour financer une campagne de communication.


Cet argent sert à bombarder les électeurs californiens de spots publicitaires prônant le « Non à 37″ à la télévision et à la radio. Seuls 7 % de ces contributions viennent de Californie, 22 % de la capitale, Washington, et 8 %… du Missouri, un Etat agricole.

 

Dans leurs éditoriaux, tous les grands quotidiens californiens, San Diego Tribune, Los Angeles Times, San Francisco Chronicle conseillent à leurs lecteurs de voter « non ».


Sources : Le Monde / LATimes / SDTribune / SFChronicle / Le Journal du Siècle

Partager cet article
Repost0
6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 12:54

Depuis : Les moutons Enragés

 

 

De l’arsenic dans le café, du plomb dans votre pain, de l’aluminium dans vos pâtes… De nombreux aliments de consommation courante contiennent des substances ultra toxiques d’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Le point.

Du plomb dans le pain

Baguette, biscotte, pain de mie… Selon l’Anses, ces produits contiendraient des métaux comme le plomb et le cadmium, ainsi que des mycotoxines (substances émises par les champignons).

Ces substances sont-elles dangereuses? Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Le cadmium est un métal lourd classé comme cancérigène pour l’homme, mais aussi toxique pour les reins et la reproduction. Les mycotoxines sont des champignons pouvant être toxiques à certaines doses. Si celles retrouvées dans les aliments cités ci-dessus sont faibles, les niveaux d’exposition sont suffisamment importants pour qu’elles soient classées comme ‘substances pour lesquelles le risque toxicologique ne peut être écarté’.

D’où viennent ces contaminants? ‘Le plomb et le cadmium sont captés par le blé via le sol et se retrouvent dans le pain. Ces métaux sont naturellement présents dans les sols, mais peuvent aussi résulter d’une pollution industrielle’, explique le Dr Jean-Charles Leblanc, chef du département de l’évaluation des risques liés aux aliments à l’Anses et coordinateur de l’étude. Quant aux mycotoxines, elles sont émises par des champignons qui s’attaquent aux céréales. 

De l’arsenic dans le café

L’enquête de l’Anses sur l’alimentation révèle que de l’arsenic inorganique et de l’acrylamide sont présents dans le café.

Ces substances sont-elles dangereuses? L’arsenic inorganique entraîne diverses maladies graves telles que le cancer ou des maladies cardiovasculaires. L’acrylamide est une substance classée comme probablement cancérigène pour l’homme. ‘Même si les doses retrouvées dans le café sont faibles, c’est un produit de grande consommation. Le risque toxicologique ne peut être écarté’, explique le Dr Jean-Charles Leblanc.

D’où vient l’arsenic retrouvé dans le café? S’il est naturellement présent dans les sols, l’arsenic a été aussi longtemps utilisé dans la composition de pesticides, polluant ainsi les terres agricoles pour de nombreuses années. L’acrylamide apparaît dans le café lors de la torréfaction.

Rappel: l’Anses recommande de ne pas dépasser trois tasses de café par jour.

De l’aluminium dans les pâtes

Selon l’enquête de l’Anses, les pâtes alimentaires contiendraient de l’aluminium.

L’aluminium est-il dangereux? C’est une substance toxique pour le cerveau et la moelle épinière. Elle peut entraîner des troubles psychomoteurs. Les doses retrouvées lors de l’étude sont faibles. ‘Nous signalons qu’un risque toxicologique ne peut être écarté pour les adultes et les enfants. Les pâtes, compte tenu de leur niveau de consommation, représentent des contributeurs importants à cette exposition’, explique Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l’étude à l’Anses.

D’où vient l’aluminium retrouvé dans les pâtes? Ce métal naturellement très présent dans les sols est aussi utilisé dans l’industrie agro-alimentaire, notamment en tant qu’additif. ‘Nos méthodes d’analyse ne nous ont pas permis de distinguer l’aluminium venant de la nature et celui apporté par l’industrie’, souligne le scientifique.

Des PCB dans le beurre

Selon les recherches de l’Anses, les produits laitiers contiendraient des substances insoupçonnées: arsenic inorganique et plomb dans le lait, dioxines et PCB dans le beurre!

Ces substances sont-elles dangereuses? L’arsenic inorganique peut être responsable de cancer et de maladies cardiovasculaires. Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Les dioxines et PCB sont cancérigènes et toxiques pour la reproduction. Même si les doses retrouvées par les chercheurs sont faibles, la consommation de produits dérivés du lait est très importante, notamment chez les enfants. Le risque toxicologique pour ces substances ne peut donc être écarté.

D’où viennent ces contaminants? ‘Ces substances chimiques sont présentes dans les sols, soit naturellement, soit du fait de l’activité humaine. L’alimentation des bovins est contaminée, puis leur lait’, précise Jean-Charles Leblanc, chef du département de l’évaluation des risques liés aux aliments à l’Anses.

Des sulfites dans le vin

L’étude de l’Anses alerte sur la présence de sulfites dans le vin et de plomb dans les boissons alcoolisées.

Ces substances sont-elles dangereuses? Les sulfites sont soupçonnés d’être cancérigènes. Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Les personnes les plus à risque sont bien sûr les forts consommateurs d’alcool.

D’où viennent ces contaminants? Les sulfites sont des conservateurs ajoutés dans le vin. ‘Les additifs sont plus simples à maîtriser, leur réglementation a récemment été revue à la baisse’, précise Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l’étude. Le plomb, lui, est présent dans les sols et se retrouve dans le raisin ou les ingrédients des boissons alcoolisées. Une contamination industrielle ne peut être exclue.

Rappel: pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une consommation modérée d’alcool est équivalente à 2 verres par jour pour une femme et à 3 verres par jour pour un homme (en raison des différences métaboliques). Un verre correspond à 10g d’alcool, soit par exemple 25cl de bière, de cidre, 10cl de champagne, 2,5cl de whisky ou de pastis.

Robinet ou bouteille: l’eau est contaminée!

Même si elle est claire et n’a pas de mauvais goût, l’eau peut contenir des substances toxiques telles que l’arsenic inorganique et le plomb. C’est ce qu’à dévoilé l’étude de l’Anses qui s’est portée aussi bien sur l’eau du robinet que sur des eaux embouteillées vendues dans le commerce.

Ces substances sont-elles dangereuses? Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. L’arsenic inorganique peut entraîner un cancer ou des maladies cardiovasculaires. ‘Les doses sont faibles mais l’eau étant consommée en grande quantité et par toute la population, le risque toxicologique ne peut être écarté’, précise Jean-Charles Leblanc, chef de département de l’évaluation des risques liés aux aliments et coordinateur de l’étude.

D’où viennent ces contaminants? Ces substances sont présentes dans les sols, naturellement ou du fait des rejets industriels.

Les emballages alimentaires sont contaminés!

Canettes, bouteilles en plastique, films étirables…Les phtalates et le bisphénol A(BPA) sont très utilisés dans l’industrie agro-alimentaire.

Ces substances sont-elles dangereuses? Oui, il s’agit de perturbateurs endocriniens. De nombreux scientifiques mettent en garde contre leurs effets à long terme sur la descendance des humains. C’est le cas du chercheur André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé: ‘Contrairement aux autres substances toxiques, les perturbateurs endocriniens sont nocifs à très faible dose. C’est pourquoi ils devraient être retirés autant que faire se peut de notre environnement.’

Nos aliments peuvent-ils être contaminés? Oui! ‘On soupçonne la présence de ces substances dans les aliments par la migration de l’emballage vers le produit’, explique Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l’étude de l’Anses.

Mercure, dioxines: quels poissons éviter?

Le poisson est indispensable à une alimentation équilibrée (moins calorique que la viande, riche en oméga 3). Toutefois, mieux vaut ne pas en manger les yeux fermés! Les poissons sont contaminés par plusieurs polluants tels que le mercure (surtout dans le thon), les dioxines et les PCB.

Ces substances sont-elles dangereuses? En plus d’être cancérigènes, les dioxines et PCB sont des perturbateurs endocriniens, c’est-à-dire qu’ils nuisent à la reproduction humaine. Le mercure est particulièrement toxique durant la grossesse pour le fœtus.

Quels poissons éviter? L’anguille, le barbeau, le brème, la carpe et le silure sont les plus à risque d’être contaminés. L’Anses déconseille aux enfants de moins de 3 ans, aux adolescentes, aux femmes en âge de procréer, enceintes et allaitantes d’en consommer.

D’où viennent ces contaminants? Ce sont en majorité des polluants d’origine industrielle qui ont été rejetés dans l’environnement.

Rappel: l’Anses recommande de manger du poisson deux fois par semaine au maximum, en associant un poisson à forte teneur en oméga 3 (saumon, maquereau) et un poisson maigre (truite, cabillaud). Elle conseille par ailleurs de varier les espèces et les provenances.

Comment éviter la contamination?

Même si les doses de certaines substances toxiques retrouvées dans les aliments restent faibles, elles concernent parfois des produits largement consommés (pain, pâte, café). La vigilance est donc de mise. ‘Il vaut mieux adopter une alimentation variée et diversifier la provenance de ses aliments pour éviter tout risque’, conseille Jean-Charles Leblanc, chef du département de l’évaluation des risques liés aux aliments et coordinateur de l’étude.

Gare à l’effet cocktail!

Les taux de polluants contenus dans les aliments restent dans la limite de sécurité fixée par les autorités sanitaires. Mais que se passe-t-il si on mange plusieurs aliments contaminés?

Cet ‘effet cocktail’ est redouté par de nombreux scientifiques. ‘Lorsque l’on consomme plusieurs polluants, leur toxicité peut se combiner de façon à avoir un effet encore plus nocif pour l’organisme. Les autorités sanitaires n’en tiennent pour l’instant pas compte dans leurs études et pour fixer leurs seuils de toxicité’, alerte le chercheur André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé. ‘Ce phénomène est particulièrement préoccupant lorsqu’il s’agit d’un mélange de perturbateurs endocriniens, tels que les dioxines ou les PCBpar exemple.’

Pour Jean-Charles Leblanc, coordinateur de l’étude de l’Anses, c’est le manque de moyens techniques qui est en cause. ‘L’étude sur l’alimentation n’a pas tenu compte de cet effet cocktail, même si cette question est connue depuis plusieurs années. Nous ne disposons pas pour l’instant des outils nécessaires pour l’évaluer.’

 

Source : medisite via les brinsdherbe

 


 

Aller plus loin :

 

Le Codex Alimentarius en question - Ici et Maintenant (2010)

 

Codex Alimentarius (article+conférence+vidéos)

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 20:18

http://www.leem.org/sites/default/files/imagecache/200_scale/fiche%2040.jpg.crop_display.jpg

 

Chaque année, plus d’un demi-million de personnes meurent de maladies négligées. L’Organisation mondiale de la santé en recense dix-sept ; elles touchent particulièrement les territoires isolés, défavorisés ou les zones de conflit. Le Dessous des Cartes cherche à comprendre pourquoi ces maladies infectieuses tropicales continuent à ne pas faire l’objet de recherche permettant de développer les médicaments appropriés.

 

 

Le chiffre : 1 habitant de la planète sur 6 est atteint d’une maladie tropicale.

État des lieux
Les maladies tropicales sont souvent considérées comme des « oubliées » de la recherche en traitements médicaux : moins de 1 % des quelque 1 400 médicaments homologués entre 1975 et 1999 étaient destinés à leur traitement. Malgré les progrès réalisés pour le combattre ces dernières années, le paludisme fait encore entre 1 et 3 millions de morts chaque année, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – notamment en Afrique subsaharienne. On estime qu’un enfant en meurt toutes les trente secondes. La dengue est désormais endémique dans plus d’une centaine de pays d’Afrique, des Amériques, de la Méditerranée orientale, de l’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental. En plus de l’augmentation du nombre des cas, des flambées épidémiques explosives surviennent désormais. C’est ainsi qu’en 2007, le Venezuela a notifié plus de 80 000 cas.
Partager cet article
Repost0
5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 18:23

Source : Alter Info

 


Des scientifiques de Colombie Britannique réclament des études plus approfondies sur le vaccin HPV
Deux scientifiques des Facultés de Médecine de l’Université UBC, Lucija Tomljenovic (ci-dessus) et Chris Shaw ont récemment publié une étude dans laquelle ils font part de leurs inquiétudes concernant les risques, ainsi que les effets secondaires des vaccins contre le HPV. 
Edition spéciale
 
Gail Johnson, 1er novembre, 2012
 
Les deux chercheurs de l’UBC déclarent que, dans certains cas, le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) est susceptible de déclencher des maladies auto-immunes neurologiques et même mortelles. Leurs conclusions apparaissent à un moment où les autorités publiques de santé, qui maintiennent que ces vaccins sont sûrs, pressent les jeunes femmes de se faire vacciner pour prévenir le cancer du col de l’utérus.
 
Chris Shaw, spécialiste en neurosciences et Lucija Tomljenovic, PhD en biochimie  et post-doctorante senior de la Faculté de Médecine UBC déclarent que la recherche sur le vaccin HPV Gardasil (administré en 3 injections sur une période de 6 mois) soulève de graves inquiétudes et que le risque d’effets indésirables est largement minimisé. Au cours d’une interview réalisée dans leur laboratoire, ils ont voulu préciser que le vaccin devait faire l’objet d’études beaucoup plus approfondies avant que les officiels de la Santé se lancent dans des campagnes publiques de promotion du vaccin. 
  
« Pour des raisons qui ne sont pas encore parfaitement comprises, certaines personnes présentent d’effroyables réactions à ce vaccin » déclare Shaw. « La plupart des personnes qui reçoivent ce vaccin se portent bien mais certaines sont plus sensibles… Elles peuvent tomber malades après ces vaccins. Prétendre  qu’à part une douleur au bras, il n’y a pas d’effets secondaires à ce vaccin ne correspond strictement pas à la vérité. »
 
Shaw et Tomljenovic qui travaillent au département d’ophtalmologie et font partie du groupe de recherches « Neural Synamics » ont, le mois dernier, publié une étude dans Pharmaceutical Regulatory Affairs, s’intitulant « Décès après le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain : cause ou coïncidence ? » (voir la traduction française du résumé de cette étude ici )
   
L’étude porte sur le cas de deux jeunes-filles qui ont été vaccinées avec le Gardasil et qui sont décédées. Les symptômes qu’elles avaient présentés ressemblaient à ceux d’une vascularite (inflammation des vaisseaux sanguins dans le système nerveux central). Les autopsies n’ont révélé aucun élément anatomique, microbiologique ou toxicologique qui pourrait expliquer ces décès. L’étude de Shaw et Tomljenovic a montré que la vascularite auto-immune pouvait avoir été déclenchée par certains anticorps anti-HPV collés aux parois des vaisseaux sanguins du cerveau.
 
Le fait que de nombreux symptômes rapportés aux bases de données de vaccinovigilance concernant la vaccination contre le HPV soient révélateurs  de vascularite cérébrale, (bien que non reconnus en tant que tels : migraines intenses et persistantes, syncopes, convulsions, tremblements, picotements, myalgies, troubles locomoteurs et cognitifs) représente pour ces chercheurs une très sérieuse inquiétude. Ils écrivent :« Il semble que dans certains cas, la vaccination ait pu être le déclencheur de problèmes auto-immuns et neurologiques mortels. Les médecins devraient être conscients de ces liens. »
 
Shaw et Tomljenovic admettent que leur étude comporte des limites : il s’agit d’une étude de deux  cas avec aucun groupe de contrôle. Leur recherche se poursuit.
 
Ils précisent que l’étude la plus fréquemment mentionnée sur l’innocuité du vaccin provient du géant pharmaceutique Merck & Co., qui a mis au point le Gardasil, l’un des deux vaccins approuvés pour le Canada ; l’autre étant le Cervarix de GlaxoSmithKline.
 
L’étude de Merck  a porté sur environ 190.000 femmes (ou jeunes-filles) qui ont reçu au moins une dose de vaccin entre 2006 et 2008. Publiée le 1er octobre 2012 dans l’édition online d’Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, l’étude a signalé «  qu’elle n’a pas pu déceler de preuves de nouveaux problèmes de sécurité chez les femmes de 9 à 26 ans à la suite de la vaccination avec le HPV4 [Gardasil] ». « Ces résultats confirment la sécurité générale de la vaccination systématique avec le vaccin anti-HPV quadrivalent pour prévenir le cancer. »
 
Shaw et Tomljenovic notent que cette étude de Merck a ses limites. « En premier lieu, nous n’avons pu détecter que des cas récents nécessitant les services d’urgence ou des hospitalisations dans les 60 jours qui ont suivi la vaccination ; l’étude n’a pas été conçue pour étudier la sécurité à long terme ou les risques de récidive ou de progression de maladie »  précise l’étude de Merck. « En second lieu, malgré son ampleur, il est possible que cette étude n’ait pas été à même de détecter  des cas très rares. »
 
« L’étude a été financée par Merck ; son auteur principal a reçu le soutien de Merck, GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres compagnies. Le commanditaire de l’étude Merck et Co.a apporté une contribution importante à la conception même de l’étude et du plan analytique » a signalé Merck. « En collaboration avec l’équipe de l’étude Kaiser, le promoteur a examiné les analyses de données. Il a collaboré à la rédaction et à la révision du manuscrit. »
 
Le Dr Monika Naus, directrice médicale du Centre de Contrôle des Maladies de Colombie Britannique, des services de prévention des maladies et des programmes de vaccinations, déclare que les vaccins contre le HPV sont sûrs. Elle fait remarquer que  les infections HPV provoquent presque tous les cas de cancers du col de l’utérus. On estime que le vaccin peut prévenir jusqu’à 70% des cas comme aussi  les modifications précancéreuses du col utérin qui nécessiteraient un traitement agressif. Au cours de la Semaine de Sensibilisation aux Problèmes soulevés par le Cancer du Col de l’Utérus, l’organisation a encouragé les femmes nées entre 1991 et 1993 à se faire vacciner gratuitement. En 2008, la Colombie Britannique a commencé à offrir le vaccin gratuitement aux filles de 6 à 9 ans.
 
« Les frottis restent importants pour la prévention du cancer du col mais se faire vacciner contre 70% des éléments qui sont susceptibles de provoquer le cancer du
col représente un avantage énorme », déclare Naus au cours d’une communication téléphonique. « Il s’agit de vastes essais cliniques qui ont porté sur des milliers de femmes. »
 
« Il peut arriver que des gens puissent vivre des choses négatives qu’ils soient vaccinés ou pas, ajoute-t-elle. » « On peut mourir pour toute une série de raisons »…Certaines données de pharmacovigilance ont montré que les problèmes qui étaient apparus étaient finalement à attribuer à l’utilisation de contraceptifs oraux ; chose qui est fréquente dans ce groupe d’âge. C’est une raison pour laquelle  nous avons besoin de contrôles. Il s’agit d’être en mesure de déterminer les causes de manière appropriée. Des données concernant la sécurité de ces vaccins sont disponibles dans plusieurs pays et rien de spécial n’est signalé. »
 
Naus ajoute que les personnes qui sont préoccupées par la sécurité de ces vaccins doivent en discuter avec leur médecin et chercher l’information sur des sites fiables et non sur des sites affichés « anti-vaccins ». «  Ces vaccins sont très efficaces et très sûrs », déclare-t-elle.
 
Shaw et Tomljenovic, quant à eux, veulent que soit reconnue la possibilité d’effets secondaires. «  Nous ne donnons pas de conseils médicaux ; nous ne sommes pas médecins » dit Shaw « Mais si on recommande ce vaccin, on doit reconnaître qu’il puisse y avoir des effets secondaires importants. C’est alors aux gens concernés à faire un choix éclairé... L’UBC (Université de Colombie Britannique) croit au consentement éclairé ; l’Association Médicale Canadienne croit aussi au consentement éclairé.
 
Les deux sont au courant de la controverse qui existe sur les vaccins en général et veulent souligner le fait qu’ils ne sont pas anti-vaccins. Ils ne peuvent cependant pas s’empêcher de se demander si leurs conclusions ne risquent pas d’être écartées simplement parce que le sujet est tellement brûlant.
 
« La Science évolue grâce à l’investigation et au questionnement » dit Shaw. «  Nous ne faisons pas de politique, mais nous pensons qu’il y a encore pas mal de questions à se poser et pas mal de recherches à faire. Il ne s’agit pas de claquer la porte. Tout est loin d’être terminé…En science, le débat n’est jamais terminé. »
 
Source: Straight.com
    
Madame Naus nous fait penser à nos « grands experts nationaux » avec ses pseudo-arguments répétés en boucle mais sans aucun fondement scientifique. Reprenons-les un à un de façon à démasquer ses mensonges :
 
- Bobard n°1 : faire croire que parce que presque tous les cas de cancers du col de l’utérus sont associés aux virus HPV, les vaccins vont tout résoudre. La nuance, que cette femme ne peut ignorer ( !) est que les vaccins concernés ne visent respectivement que 4 (Gardasil) et 2 souches (Cervarix) alors qu’il en existe plus d’une centaine ! Dire que les vaccins préviendront 70% des cas de cancers du col est en fait complètement FAUX et malhonnête puisque :
 
a) Le Dr Spinosa, chirurgien-gynécologue, qui a été décortiquer toutes les études officielles des fabricants ayant servi à l’obtention de l’autorisation de mise sur le marché du Gardasil, n’a retrouvé qu’un taux de réduction des dysplasies (càd des lésions précancéreuses) que de 16,9%. Déjà ici donc on est loin des 70% théoriques et au contraire, jamais vérifiés. Mme Naus  ne se rend-t-elle donc pas ici coupable de publicité trompeuse? N'est-ce pas grave de devoir déjà se poser la question au poste qu'elle  occupe?
 
b) Diverses études épidémiologiques sérieuses ont démontré que les HPV visés par ces vaccins n’étaient impliqués exclusivement que dans une minorité de cas de cancers du col de l’utérus, ce qui signifie que la majorité des cas de cancers du col ne seront nullement évités par ces vaccins : ainsi aux USA, les souches 16 et 18 ne sont impliquées que dans 2,3% de toutes les infections HPV des femmes de ce pays ; au Brésil, c’est 2,7%... en Espagne, les HPV 16 et 18 ne sont impliqués que dans 28% des lésions précancéreuses  ! Une étude parue dans Gynecologic Oncology fin 2008 précisait que seuls 28,2% des lésions du col de grade 2 et 3 impliquaient exclusivement les souches 16 et 18 de HPV incluses dans ces deux vaccins, ce qui devait modérer les espoirs selon cette publication. Mme Naus l’a-t-elle seulement lue ?
 
c) En 2008 déjà, le Pr Béraud expliquait dans Le Monde que selon un modèle mathématique, « Si le vaccin est efficace à 100%, il n’y aura qu’une baisse de seulement 10% des cancers et de 13% de la mortalité en 2060 en vaccinant… 85% des jeunes filles! ». C'est-à-dire un « succès » tout à fait marginal et décevant qui sera d’ici là largement compensé par le flot d’effets secondaires assurés par ces vaccins en contrepartie ! C’est d’ailleurs parce que cette efficacité n’est pas du tout au rendez-vous et que cette efficacité douteuse peut s’échanger au prix fort (c'est-à-dire au prix de décès) que l’intelligente ministre médecin de la Santé en Autriche a tout bonnement déremboursé ces vaccins inutiles au profit du frottis, plus sûr et plus efficace.
 
d) Pire, il s’avère en fait que ces vaccins vont augmenter à terme les cas de cancers du col de l’utérus, en raison d’un phénomène compensateur des autres souches non incluses : la nature ayant horreur du vide, ce qui s’est passé avec le vaccin Prevenar arrivera aussi avec les vaccins HPV. Déjà après 6 ans de vaccination HPV aux USA, les données indiquent une hausse des sérotypes non vaccinaux et notamment des sérotypes non vaccinaux à haut risque chez les jeunes filles déjà vaccinées. Une étude britannique de mai 2012 indique une hausse possible de 3 à 10% des cas de cancers du col de l’utérus dus à des sérotypes non vaccinaux, suite à ces campagnes vaccinales de masse. Triste « succès » ! Sans parler des hausses de risques chez les jeunes filles déjà infectées sans le savoir aux HPV 16 et/ou 18 au moment de leur vaccination, celles-là auront 44,6% plus de risques de pathologie du col
 
- Bobard n°2 : Ces essais cliniques qui ont porté sur « des milliers » de femmes seraient fiables? Non bien sûr puisque ceux-ci sont biaisés, et n’ont notamment pas recouru à de vrais groupes contrôles ! Ainsi, au lieu d’avoir un vrai placebo pour évaluer valablement la sécurité du vaccin, les jeunes filles du faux groupe témoin ont reçu soit de l’aluminium qui est toxique en lui-même soit une fausse solution saline englobant tous les autres composants du vaccin Gardasil (sans les antigènes et l’aluminium) ! Pour le Cervarix, les jeunes filles du faux groupe témoin ont reçu un vaccin anti-hépatite qui contient aussi de l’aluminium et dont la toxicité doit à peu près être équivalente. Ce genre d’astuces signent la mauvaise foi. Nous ne sommes plus ici dans le champ de la science, si ce n’est la science de la manipulation ! Comment est-il possible d’évoquer le nombre de jeunes filles comme seul critère de fiabilité alors qu’on a suivi leurs effets secondaires sur 14 jours après chaque dose reçue ? Et qu’on n’a fait aucune étude pour voir si ces vaccins ne pouvaient pas en eux-mêmes causer des cancers ? Ce genre d’évaluations qu’on fait passer aux autres médicaments ne sont pas de mise pour les vaccins car leur richesse en composants toxiques et notamment cancérogènes font craindre à certains des résultats qui plomberaient commercialement ces produits à jamais !
 
- Bobard n°3 : « Rien de spécial n’est signalé avec ces vaccins ; les effets secondaires étaient attribuables à … la pilule !». Il est incroyable de pouvoir mentir à ce point-là, affirmer que rien n’est signalé au sujet de ces vaccins frise vraiment la criminalité ! Il est facile de fermer l’esprit critique des gens en étiquetant tous les sites internet indépendants gênants comme « non fiables » ou « anti-vaccins ». C’est là une astuce habituelle pour ne pas avoir à s’expliquer sur les centaines de décès que ces vaccins ont d’ores et déjà provoqués dans le monde sans parler des dizaines de milliers d’effets secondaires graves à l’échelle du monde. Les chiffres américains parlent d’eux-mêmes. Nous n’affirmons pas ici que tous sont forcément à 100% imputables à ces vaccins mais ce que nous disons, c’est que le discours de gens comme Naus ou autres qui tentent de faire croire qu’aucun de ces effets gravissimes n’est imputable à ces vaccins est tout bonnement non crédible ! En plus, si on tient compte de la sous-notification notoire de ces effets secondaires (seuls 1 à 10% étant effectivement recensés ), on se rend compte qu’il est bien plus risqué de se faire vacciner que de ne faire que le frottis seul ! Et encore, en France, sans même tenir compte de la sous-notification de ces effets secondaires, on voyait déjà que le risque d’effets secondaires graves est supérieur à l’incidence du cancer du col de l’utérus dans ce pays : fin 2011, le taux d’effets secondaires graves du Gardasil (sans redressement pour la sous-notification donc !) était de 8,1 cas/ 100 000 contre une incidence du cancer du col de l’utérus de 6,4/ 100 000 (chiffres Inca) !
 
Que la pilule soit loin d'être anodine, on est d'accord mais utiliser la pilule comme paravent commode est aussi absurde que de relier à 100% tous les cas de cancers au tabagisme pour ne surtout pas incriminer d'autres pollutions politiquement moins correctes à critiquer!

http://www.initiativecitoyenne.be/
Partager cet article
Repost0

Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

Rechercher

Catégories

Vidéos du moment