Réalisé par Eric Guéret, ce film de 52 minutes montre le « piège chimique » tendu aux agriculteurs, et leurs difficultés à sortir de ces pratiques.
Les pesticides sont aujourd’hui au cœur de nombreux sujets d’actualité et restent une problématique majeure des pouvoirs publics, des scientifiques et plus largement de la population générale. Des études prouvent les risques d’être exposé à ces produits et tentent d’apporter des solutions alternatives à l’usage de ces produits dangereux.
De nombreux témoignages
En France, des centaines d’agriculteurs sont victimes des produits phytosanitaires que l’on croyait « anodins ». De nombreuses maladies comme la maladie de Parkinson, la leucémie, les cancers (et autres) ont été diagnostiquées sur des agriculteurs qui utilisent ces produits sur leurs exploitations depuis les années 50.
A travers ce film documentaire on apprend les histoires d’hommes atteints de maladies parfois mortelles. On nous plonge dans leur combat perpétuel pour tenter de se faire connaitre dans leur travail et pour faire reconnaitre leur maladie. Les personnes qui témoignent sont celles qui ont osé briser le silence pour dévoiler leurs tristes situations au grand jour.
Ce film dénonce donc une certaine agriculture, celle des méthodes intensives qui ont des conséquences dramatiques pour l’homme et l’environnement.
Une prise de conscience générale
Suite notamment à l’affaire Monsanto, plusieurs agriculteurs commencent à s’organiser pour faire prendre conscience à d’autres des dangers de leur métier, et pour réfléchir à de nouvelles pratiques. Une véritable remise en cause de tout un système où des agriculteurs se retrouvent être les premières victimes de leurs propres pratiques.
Ce film aborde en fait cette méthode complètement paradoxale : Les agriculteurs sont piégés de l’utilisation intensive de la chimie qui a révolutionné leur métier. Et face à cela, beaucoup d’entre eux développent des pathologies graves. Le problème est là : arrêter l’utilisation de pesticides semble extrêmement compliqué puisque les grandes firmes de pesticides ont imposé cette idée qu’aucune autre alternative n’est possible. Les agriculteurs pourraient envisager de se lancer au bio, mais cela demande des moyens colossaux que les producteurs ne peuvent pas forcément se permettre.
Aujourd’hui nous pouvons dire que les choses sont en train de changer. En effet certaines substances dangereuses ont été retirées, et les produits évoluent grâce à cette prise de conscience générale. Il reste cependant des choses à faire si nous ne voulons pas que cette épidémie se confirme pour les agriculteurs.
Les taux de stérilité masculine sont en augmentation constante depuis 50 ans, pourquoi ? Certains produits chimiques inventés
par l'homme, interféreraient avec la fertilité des hommes, hors, ces produits sont partout, ils nous entourent dans notre quotidien.
Chaque jour, de nouvelles molécules sont crées et il est plus que probable que nous connaîtrons leurs conséquences dans une
cinquantaine d'années. Certaines molécules couramment utilisées, provoquent des dégâts profonds et irréversibles chez nos tout petits, surtout chez les petits garçons, la science l'a prouvée.
Chez les jeunes garçons, il en est de même, il a été constaté que ces molécules polluantes amenuisaient leurs spermatozoïdes, créant la plupart du temps des problèmes d'infertilité et de
stérilité.
Les produits qui nous entourent jouent-ils réellement un rôle dans notre santé ? Dérèglent-ils vraiment notre système hormonal
?
L'industrie chimique n'a qu'une centaine d'années et pourtant, elle a transformée notre univers, à n'en pas douter. Cette menace est à
prendre au sérieux puisqu'elle vise directement la survie de notre espèce. Une étude menée démontre un accroissement des fausses couches quand il s'agit de fœtus mâles. La baisse du nombre de
naissances de garçons est maintenant un phénomène globale, puisque ce processus de destruction a été observé dans de nombreux pays, notamment à cause des phtalates et bisphénol A.
Il est à noter que nous côtoyons ces molécules depuis des dizaines d'années et que ce n'est que très récemment que le peuple a été mis
au courant de leur nocivité. De plus, les industries qui mettent au point et engrangent des millions de dollars sur les ventes de ces molécules (et de ces produits dérivés), estiment avoir
démontrées par nombre d'études (commandées par leur cabinet), que ces dernières ne sont pas mauvaise pour l'homme.
Ce n'est pas sans nous rappeler l'affaire du tabac, en effet, les fabricants de tabac affirmaient que ce dernier n'était en rien nocif
pour la santé et ne donnait en aucun cas le cancer. Le temps a fait son affaire et nous nous sommes bien rendu compte que tout cela n'était que mensonges.
Aujourd'hui, 85 % des 80 000 produits chimiques de consommation courante n'ont pas été testés ont ne connaît donc pas leurs effets. Il
semble que nous ayons beaucoup de recherches à faire de ce côté-là encore. Si personne ne fait rien, les problèmes de santé seront un problème récurent mondial et surtout, dévastateur. Il s'agit
de nos enfants, de nos futures générations, ce problème est très sérieux et il nous faut le prendre comme tel, avant qu'il ne soit trop tard.
Eben Alexander, neurochirurgien à l'esprit rationnel, nous en donne la preuve, après avoir vécu une NDE (expérience de mort
imminente).
Cet homme de 52 ans atteste de l'existence du Paradis dans ce livre témoignage, aussi extraordinaire que bouleversant. L'auteur nous
invite à partager son voyage dans une autre dimension, là où il a rencontré des êtres de lumière, très différents de tout ce que l'on peut connaître sur notre planète...
La preuve du paradis, Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie... est un récit dont l'authenticité a été reconnue par le Dr
Raymond Moody, spécialiste renommé de l'au-delà.
Les différentes propriétés physiques de l'aluminium - malléable, léger, inoxydable - en font un métal fascinant, précieux dans le secteur de l'architecture. Mais son utilisation dans les emballages, en chimie alimentaire, dans les produits de cosmétique et dans la pharmacopée posent de plus en plus de problèmes. Des études approfondies ont prouvé que l'aluminium, ses composants, ses sels ou ses dérivés favorisaient l'apparition du cancer du sein, de diverses allergies, d'infections auto-immunes voire de la maladie d'Alzheimer.
Les meilleurs gisements de bauxite se trouvent sous les tropiques, en Afrique de l'Ouest, en Australie, en Inde et en Jamaïque. Mais c'est à Porto Trombetas dans le nord du Brésil que se situe l'une des mines les plus rentables au monde, aux mains d'une multinationale. Pour l'exploiter, il faut abattre chaque année l'équivalent de 250 terrains de football de forêt humide primaire, essentielle à la biodiversité. Les boues rouges liées à l'extraction sont toxiques, comme l'a montré la catastrophe écologique survenue en Hongrie en 2010.
Comment nous sommes passés d'Hippocrate à Rockefeller... Comment nous sommes passés de "mieux vaut prévenir que guérir" à "mieux vaut soigner que guérir"...
H1N1 : Plusieurs membres de l'OMS sont liés aux compagnies pharmaceutiques :
« Harmoniser la vie en accord avec les fréquences de la nature et il y aura plus de joie, de bonheur et de beauté dans nos expériences de tout les jours. »
Edgar Cayce
La musique a été reformatée en un solfège midifié en fréquence. Un secret d'initié qui récupère notre énergie vitale afin de nous déconnecter des ondes universelles. Apparemment, Hitler jouait de la musique en utilisant 440Hz qui était aussi un changement apporté par l'Eglise romaine à l'époque où ils ont interprété la Bible. Avant cela, 432Hz, c'était le ton utilisé loin dans l'histoire. Il ya le fait que 440Hz ne fonctionne pas correctement dans la musique, la musique 432Hz permet de mieux la faire circuler.
Sacrée Planète : Pour un musicien que signifie de jouer avec la gamme naturelle
Franck NABET : " La mention "naturelle" fait référence à la justesse des harmoniques. L'harmonique est l'une des caractéristiques de la musique avec le rythme et la mélodie. Lorsqu'un instrument peut générer deux sons en même temps qui sont harmonieux, il génère une harmonique. Les harmoniques "pures" sont en résonance les unes par rapport aux autres, c'est à dire qu'elles vibrent en sympathie lorsque l'une d'entre elle est activée.
Sacrée Planète : Pourquoi et quand le diapason LA 440 Hz est-il devenu le standard ?
Franck NABET : "Il est vrai que depuis 1953, le diapason en LA 440 s'est vu devenir la référence dans l'accordage des instruments, sans que l'on sache pourquoi. Je ne sais pas si la théorie avancée disant que les nazis utilisaient le La 440Hz pour leur propagande et qu'ils l'auraient imposé comme standard est juste ou non. Aucune musique ethnique ou ancienne n'est jouée à cette hauteur de note, ce qui nous laisse encore avec des interrogations sur l'utilisation de ce diapason.
En janvier 1975, le diapason La 440 Hz devient une norme (ISO 16:1975), ce qui définit par la suite son utilisation dans toute les écoles de musique. Actuellement, de nombreux chanteurs sont obligés de monter leur voix à cause de ce diapason et souffrent de déformations importantes des cordes vocales. Naturellement, nous nous accordons plus facilement sur le La 432 Hz.
La fréquence de 432 Hz est qualifiée, par des scientifiques, de "naturelle". Ils ont calculé les fréquences de résonance des atomes et molécules dans la nature. L'oscillation à 432Hz est une fréquence de résonance de l'eau (alors que le 440 Hz ne l'est pas). Rappelons que l'eau est un constituant majeur de toute vie sur terre, de la bactérie jusqu'aux organismes les plus développés. Ceci nous laisse présager de l'incidence d'une telle fréquence sur l'être humain !
Cette fréquence est inscrite jusque dans notre système solaire. La précession de la Terre compte 25 920 années, c'est le cycle apparent de la rotation des étoiles dans notre ciel (360°), produit par le mouvement de la Terre dans l'univers. Quand on divise 25 920 par 360, on arrive au chiffre 72.
Sacrée Planète : Que pensez-vous de ces données ?
Franck NABET : Ces informations sont exactes, 432 Hz correspond à une harmonique de la fréquence terrestre. Chaque matière a une fréquence de résonance qui lui est propre. Tous les éléments à l'origine de la vie se retrouvent être une harmonique d'une note dans l'accordage en 432 Hz, à partir du moment où nous utilisons une gamme respectant les lois harmoniques juste.
Quand la musique est accordée à 432 Hz, on remarque que les autres notes correspondent exactement aux fréquences de résonances des éléments naturels comme le sol pour l'oxygène. Le do a une fréquence de résonance qui active le système chlorophyllien des plantes par exemple... L'écoute d'une musique en 432 Hz nous rapproche donc de la nature. Elle nous met en résonance avec elle. En 440 Hz, au contraire, nous nous en éloignons par le décalage avec les fréquences naturelles.
Comme nous le précise Jacqueline Bousquet (Dr ès Sciences, Biologie, Endocrinologie, Biophysique, Physiologie, Immunologie, chercheur honoraire au CNRS (1962-1997), conférencière internationale et écrivain.) "tout être vivant ne peut se comporter qu'en récepteur ou émetteur d'une gamme de fréquence avec laquelle il entre en résonance". L'information émise par des musiques en gamme tempérées ne peut donc pas avoir d'effet thérapeutique positif sur notre état puisqu'elles ne sont pas en phase avec notre propre champ vibratoire.
A l'opposé, les musiques composées en gamme "naturelle" ont un effet profond sur l'organisme, en procurant rapidement une sédation du système neuro-végétatif et un état de bien-être. Les chants religieux, notamment chez les cisterciens, étaient composés avec cette gamme, on leur reconnaissait des vertus pour la sérénité et l'élévation de l'âme.
Le 432 Hz est aussi une harmonique du 8 Hz, qui n'est autre que le rythme de la fréquence cérébrale Alpha dans laquelle nos deux hémisphères du cerveau sont synchronisés pour fonctionner ensemble en harmonie. Le néocortex, inutilisé à 90 %, commence à s'éveiller avec cette synchronisation : elle s'installe dans toutes les cellules du cerveau pour créer un flux d'information maximal.
Ecouter la musique accordée au La 432 Hz harmonise nos hémisphères cérébraux, ce qui nous éveille à l'orchestration de nos pensées dans les cathédrales de nos esprits.
Sacrée Planète : A t-on testé l'effet sur un auditeur à partir d'un même morceau de musique, l'un en La 432 Hz et l'autre en La 440 Hz ?
Franck NABET : Oui, une étude scientifique, au Pays-Bas, a démontré que plus de 76 % des gens ont perçu la musique au La 432 Hz comme plus belle rapport à la même musique accordée à 440 Hz. Une autre étude scientifique a même démontré de meilleurs bénéfices sur le rythme cardiaque par rapport à une même musique en 440 Hz. La Hollande s'intéresse beaucoup au 432 Hz et de nombreux musiciens recommencent à composer ou même à mixer sur ce diapason. Des études fleurissent sur l'utilisation du 432 Hz, malheureusement pas toujours bien mises en valeur. Par ailleurs, lorsque je fais des conférences sur ce diapason, je suis surpris par l'impact du 432 Hz sur le public.
En effet, si je ne dis rien, la plupart des gens le préfèrent au 440 Hz. Par contre si je les présente, alors la préférence ira au 440 Hz. Ceci est logique car cette fréquence ne fait pas appel au même cerveau. En ayant nommé les deux diapasons, le cerveau analytique reconnaît le 440 Hz.
Le La 440 Hz nous emmène plus vers une appréciation intellectuelle de l'harmonie musicale, vers la réflexion ; par contre, une musique à 432 Hz nous emmène plus vers une réelle sensation de coeur ou nous facilite la sensation vers nos sentiments les plus intimes en profondeur. En 432 Hz, on arrive plus facilement à sentir la musique, elle arrive plus facilement à nous émouvoir, c'est-à-dire nous mettre en mouvement, elle nous touche sur le plan énergétique, là où sont stockés toutes nos mémoires.
Toute la musique occidentale est actuellement accordée avec le La à 440 Hz. Cela veux dire que tout les instruments de musique, les diapasons, les programmes de création musicale sont accordés à cette fréquence.
La musique occidentale n’a pas toujours été accordé à 440 Hz.
En 1939 les Nazis décident par leur ministre de la propagande Goebbels d’accorder le La de référence à 440 Hz comme standard, bien que la référence la plus utilisé mondialement étaient encore le La à 432 Hz.
En 1955 le La à 440 Hz devient le standard mondial ISO. On peut se demander quelles raisons ont réellement poussés les hommes de pouvoir de cette époque à adopter le La à 440 Hz par opposition au La à 432 Hz. Le La à 432 serait beaucoup plus logique, plus riche d’arguments scientifiques et de correspondances qu’on retrouve dans l’univers et la nature qui nous entoure.
[...]
Voici la fréquence de chaque note avec le La de référence à 440 Hz, suivi de leur fréquence correspondante de chaque note accordé au La de référence à 432 Hz :
Avec les formules de physique quantique, certains scientifiques ont calculé les fréquences de résonance des atomes et molécules qui nous entourent. C’est alors stupéfiant de voir que 432 Hz est une fréquence de résonance de l’eau et non pas le 440 Hz. Rappelons que l’eau est un constituant majeur de toute la vie sur terre, des plantes aux animaux ou d’une bactérie jusqu’aux organismes les plus développés.
[...]
Une étude scientifique récente encadrée par l’université de Florence sur une plantation de vignes a démontré l’effet grandement bénéfique de certaines musiques classiques baroques spécifiques. Ainsi les vignes ont eu une croissance supérieure de plus de 30% et elles étaient beaucoup plus saines, sans maladies par rapport au groupe témoin !
Quand le la est accordé à 432 Hz au lieu du 440 Hz, toutes les autres notes de musiques sont aussi corrigées vers leurs fréquences harmonieuses correspondant au la de référence et aux fréquences de la nature qui nous entourent.
Quelques correspondances :
La : 432 Hz : L’eau, Ondes Alpha cérébrales idéal au repos pour un fonctionnement cérébral harmonieux Ré : 288 Hz : La précession de notre planète Terre, Battement idéal du coeur humain au repos Sol : 384 Hz : Oxygène
Les plantes aussi y réagissent favorablement, elles poussent plus vite et deviennent resplendissantes.
Le battement du cœur de la planète aurait une pulsation de 144 Hz, la plus saine qui existe. Le battement du cœur d’un être humain adulte au repos est idéalement de 72 battements par minute, ce qui correspond exactement à un sixième de 432 Hz ou la moitié de 144. Le 144 Hz est aussi la fréquence du D ou du Ré quand le la est accordé au 432 Hz.
Le 432 Hz est aussi une harmonique du 8 Hz. Le 8 Hz est le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha dans laquelle notre processeur parallèle, ou nos deux hémisphères du cerveau, sont synchronisés pour fonctionner ensembles en harmonie.
Le néo-cortex du cerveau, 90% inutilisé commence à s’éveiller avec cette synchronisation et elle s’installe dans toutes les cellules du cerveau pour créer un flux d’information maximal.
Écouter la musique accordée au La naturel harmonise nos hémisphères cérébraux, ce qui nous éveille à l’orchestre de nos pensées, dans les cathédrales de nos esprits. [...]
Le diapason officiel est depuis 1953 une vibration de 440 Hertz (cycles par secondes). C'est la tonalité la# du téléphone fixe en France. La tendance actuelle est à une dérive vers les aigus. Les groupes de musique moderne et les pianos des solistes sont généralement accordés à 442 Hz, pour rendre la sonorité plus "brillante".
La Résonance de Schumann (onde électromagnétique produit par le couple ionosphère-écorce terrestre) correspond à 432 Hz (8 x 54 multiplication d'un cycle de 8 Hz) 8 Hz est également le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha par laquelle nos deux hémisphères cérébraux sont synchronisés pour fonctionner en harmonie. Le néocortex dont 90% est inutilisé, commence à s'éveiller avec cette synchronisation qui opère par un flux d'information maximal dans tous les neurones via les dendrites.
Les Dauphins peuvent entendre nos pensées, car ils captent les ultrasons (fréquences supérieures à 20 kHz). Ainsi, nos ondes cérébrales Alpha, autour de 8 Hz, leur parviennent telle une musique.
Les humains, dans un état non chamanique, ne peuvent pas entendre les 8 Hz, étant limités à une gamme comprise entre 20 et 20 000 Hz. Mais ces harmoniques nous sont audibles à 72 Hz (9 x 8 Hz), 144 Hz (18 x 8 Hz) et bien sûr 432 Hz évoqués plus haut. Toutes ces harmoniques sont semblables à des miroirs qui se réfléchissent en cascade et à travers lesquels passent les 8 Hz.
En accordant les instruments sur un "la" à 432Hz (au lieu de 440 ou 442), cela a pour effet d'"ouvrir" le système énergétique du corps humain. A l'écoute d'une musique accordée à 432 Hz, l'état de bien-être est extraordinaire, sans avoir recours à une quelconque substance artificielle, unifient la lumière, le temps, l'espace, la matière, le son, le magnétisme, l'ADN, l'intelligence, et la conscience, invitant à une transformation planétaire qui emprunte la voie du milieu.
« En comprenant les différences entre les figures géométriques causées par les fréquences du LA à 432 VS 440 hertz, vous réaliserez comment ils ont brisé et brouillé nos harmonie vibratoires et champs magnétiques. Ça prendra une révolution musicale pour faire réaliser cela au monde entier. À regarder et entendre jusqu'à la fin. Sans paroles. »
En 1936, l' American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. Cette norme a été embrassée par l' International Organisation for Standardisation en 1955 en tant qu' ISO 16. Depuis, elle a servi de référence pour l' étalonnage des pianos, violons, et tout les autres instruments de musique.
Cependant, tout les instruments datant d'il y a plus de 70 ans sont réglés sur le La 432 Hz : Pourquoi?
Le La 432 Hz (environ 1/2 ton en dessous du 440Hz) est une harmonique (ou fréquence de résonnance) de la fréquence vibratoire de la Terre et de l'eau. L'eau est le constituant principale de toute vie terrestre, notre corps y compris!
Un instrument ou une musique en La 432Hz ont donc un impact important sur notre cops. 1ls nous font "vibrer" bien plus qu'au son d'une musique (ou d' un instrument) en 440Hz (qui n'est pas du tout une harmonique de la fréquence de l'eau!). La musique "résonne" donc au plus profond de nos cellules et les imprègne de toutes ses vibrations.
D'après des études fréquencielles, on a constaté que les musiciens des siècles précédants accordaient leurs instruments sur le La 432Hz ( Bach, Mozart,...)
On remarque aussi qu'un grand nombre d'artistes contemporains diminuaient leur fréquence d'accordage ou leur chant, car ils trouvaient que "ça sonnait mieux'. Et devinez à quelle fréquence ils s'arrêtaient ?
Le La 432Hz !
Parmis ces artistes, on trouve entres autres : Jim Morrison, Jimi Hendrix, Stevie Ray Vaughan, Janis Joplin, John Lennon, Elvis Presley, Kurt Cobain...
Pour plus de renseignements, nous vous invitons à consulter le site de Franck Nabet : Harmony Music.
Avant la standardisation de 440Hz, de nombreux pays et organisations suivaient la recommandation de 435Hz émise par le gouvernement Autrichien en 1885.
L’industrie de la musique américaine a atteint son propre compromis non-officiel de 440 Hz en 1926, et l’a utilisé dans la fabrication des instruments.
En 1936, l’American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. Cette norme a été embrassée par l’International Organization for Standardization en 1955 (et fut réaffirmée par eux en 1975) en tant qu’ISO 16. Depuis, elle a servie de fréquence audio de référence pour l’étalonnage des pianos, violons, et des autres instruments de musique (WikipediA).
« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »
Texte écrit en 2008 et adapté au sonore pour l'occasion d'unediffusion sur différentsfaisceaux hertziens d'Europe, dans le cadre du projet "Radia" en janvier 2009.Le programme de" Radia" est à trouver sur radioswap.net
Part 1
On sait d’ores et déjà tous et toutes que le « la (3)» est une vibration sonore de 440 « ondulations » par seconde. Que ces ondulations par secondes se nomment Hertz de par le nom de celui qui les a mises en évidence. On sait moins que la fréquence du « sol (3) » est de 392Hz et celle du « si (3) de 494Hz, hors, sans ces 2 valeurs pour compléter l’information, la valeur isolée de 440Hz n’a pas de raison particulière d’être nommée « la » et on ferait mieux d’y associer une tonalité plutôt qu’un mot.
Tant qu’à envisager qu’il s’agit d’un « la » et que donc il participe de l’harmonie au sein de la gamme, les notes voisines ( en l’occurrence à 2 demi-tons vers le bas : le « sol » et vers le haut : le « si » ) avec leur valeur, éclairent au moins sur l’échelle physique et mathématique qu’arpentent les octaves, à la source, en réalité, de leur sens. Les échelons et paliers qu’on y trouve révèlent une toute autre logique que celle qu’on dénote pour les degrés, centimètres, secondes ou même pour les notes de musique.
Il y a 48 « unités » (hertz) qui séparent le « sol(3) » du « la(3) » contre 54 entre « la(3) » et « si(3) »
Donc en principe 96hz entre « sol(4) » et « la(4) » et 108 jusque « si(4) »
Le nombre de ces « unités » va s’amplifiant de façon proportionnellement accélérée au cours de la progression en fréquence, progression qu’on dit logarithmique alors que le même phénomène interprété en notes apparaît linéaire.
Le statut particulier du « la » lui vient du fait qu’à 440 (multiple de 11 découlant d’un système proto-décimal de fractions par 9), il tombe mathématiquement juste dans saprogression d’octaves : 220 pour le « la(2) », 440 pour « la(3) » , 880 pour « la(4) » et 1760 pour « la(5) » alors que les autres notes doivent se décaler de façon un peu arbitraire pour s’inscrire dansla courbe (mi(3,4,5) équivaut respectivement à 330, 659, 1319 et « re » à 294, 587, 1175). Ce sont ces décalages qui tempèrent la gamme depuis le XVIème siècle. Une vraie rigueur mathématique imposerait des décimales mais une demi-ondulation, un quart ou 73% d’ondulation n’est « rien du tout » en matière d’ondes.
Ainsi, le « la » apparaît comme le pilier de l’édifice : issu d’un système tridimensionnel par 11, il le transpose dans du bidimensionnel en 12demi-tons. Il en a découlé un monde de déclinaisons où se proclame souveraine l’harmonie. Il a s’agit, comme pour les mois de l’année de faire plier au duodécimal un système plus complexe et subtil, rendant nécessaire le recours aux années bissextiles d’un côté et de l’autre, imposant un canevas rigoureux, inaccessible à la conceptualisation purement intuitive et aux imperfections faisant loi.
Si effectivement l’exploitation de cette gamme aoffert aux oreilles des chosesdélicieuses pour à peu près tous les goûts, elle n’en a pas moins limité le champs d’appréciation à certaines fréquences plutôt qu’à d’autres et j’ai peine à croire que nous « êtres humains » au contraire d’instruments, avons en toutes circonstancesbesoin d’un « la 440 » A ses débuts pendant la Renaissance, on l’accordait dit-on à 436 et à présent à 442. Certains jours ou ailleurs ne serait-il pas plus « juste » à 450 ? à 402 ou à 500hz ?
Qu’en était-il avant que ce « la » ne devienne « étalon universel » ? Les créateurs d’instruments se retrouvaient-ils vraiment façe à ces choix ?
Il reste à constater que ce qu’était une réelle diversité d’accordage parmis tous les folklores du monde à généralement tendu à se mettre au diapason, petit à petit pour s’aligner sur les instruments tempérés et se trouver, non sans compromis, une place dans la gamme.
Part 2
C’est évidemment le commerce desinstruments, conçus depuis la renaissance sur ce mode tempéré, qui le premier a profité de cette uniformisation tout en la motivant.
De nos jours, l’approche intuitive du clavier d’un piano n’ouvre pas sur les secrets etsubtilités de la composition, tout au contraire, les noires offrent « petit cow-boy » ou« petit chinois » et les blanches : de vagues comptines. Il en va de même pour le manche d’une guitare conformément accordée, qui offre à vide ou en simples barrés de « vilains accords ». Ces instruments ne dévoilent ni n’offrent généreusement leur sens de l’harmonie mais font miroiter qu’un savoir est à acquérir pour recevoir quelques applaudissements.
Applaudissements qui souvent s’adressent avant tout au « la ».
Qu’aurait donc la fréquence de 440Hz de plus que les autres à nos oreilles, pour qu’on en produise ainsi des diapasons ? Serait-elle source autonome de plus de plaisir ou d’équilibre que les fréquences voisine ? Existe-t-il une phase avec le biologique, le magnétique ou l’atomique à cette cadence ?( Certes avec le digital à 44100 il peut y avoir « phénomène » ).
N’est-ce là qu’un artifice pour que tous les musiciens du monde soient potentiellement toujours accordés au cas où ils seraient amenés à réunir leurs musiques ? Le plus vraisemblable doit être dans cette dernière hypothèse mais il s’agit surtout des différents instruments qui sont amenés à se mélanger, se combiner, se remplacer et s’interchanger dans des arrangements pour toutes sortes de formations.
Ainsi il me semble étrange que les solistes (au moins dans leurs travaux en solos) n’aient pas développés plus d’intérêt à explorer des décalage
s d’avec le « la ». Une des seules pratiques en usage avant l’avènement de nouvelles musiques dites « contemporaines » et « bruitiste » aura été d’augmenter de quelques hertz l’instrument qui devait se démarquer dans l’orchestre, comme « plus fougueux et énergique ».
Les voies expérimentales qui nous ont conduits par-delà le bruit, devant des musiques auxsonorités atonales, hasardeuses désordonnées ou réordonnées semblent avoir été ouvertes principalement au tout début du XXème siècle, suivant de près les avancements scientifiques dont l’apparition du cinéma, de la radio et la production de sons électr(on)iques.Ces scientifiques et chercheurs ont étés amenés à explorer de nouvelles textures sonores et à les présenter à la curiosité et l’imaginaire collectif. Ce sont des compositeurs comme Arnold Schoenberg et Anton Webern qui les premiers ont osé avec « l’Ecole de Vienne » une totale libération des dogmes harmoniques directement au sein de l’orchestre classique. Un peu plus tard et parallèlement, des artistes souvent issus ouproches de mouvements aux propos plus plastiques ou littéraire à la base, comme « Dada » et le « Futurisme » et qui transposaient au sonore ce que le visuel avait mis en évidence pour une révolution de la perception, les Marcel Duchamp, Luigi Russolo, John Cage par exemple ont fait valoir en tant que pionniers, des déclinaisons de la musique qui s’inscrivent dans une quête de la libération de l’expression artistique en général. Ne nous leurrons pas, depuis le temps, ces domaines sonores du moins acoustiques avaient dût être explorés avant eux, au cours d’expériences sans lendemains ou sans traces.
Les vestiges d’instruments préhistoriques dont les différents accordages restent évaluables de nos jours, comme des flûtes, sifflets à trous, puis flûtes de Pan semblent avoir démontrés l’absence totale de système ou de référence commune. Ceci tend à démontrer qu’aucune prédominance formelle ne se soit imposée de par la nature physique de ces expériences primales et que comme « la » ne s’imposait pas, et bien on l’a imposé à sa place.
Jusqu’à nos jours, les centrales téléphonique câblées offrent encore « généreusement » à leurs abonnés de plus en plus rares, une tonalité censée énoncer le « la ». S’en est fini chez les opérateurs en téléphonie mobile.
Notons au passage que nos anciens médias de reproduction des sons, comme les disques vinyles et les bandes magnétiques, présentaient la particularité d’être analogiques et moins précis dans la pratique qu’en théorie, ainsi la vitesse de défilement pouvait varier d’un appareil à l’autre ou en fonction de l’alimentation électrique. Il était donc quasi-impossible pour tout-un-chacun de distinguer si les tonalités reproduites étaient conformément accordées avec la gamme tempérée, sauf s’il s’agissait d’accompagner cette source d’un instrument qu’il fallait alors généralement « detuner ». Ainsi, inévitablement, tout utilisateur pouvait sciemment ou involontairement modifier la vitesse de déroulement et par-là, les hauteurs de notes, par de simples actions mécaniques ou électriques, ce qui cesse d’être vrai avec le CD et les procédés numériques.
Part 3
Le digital garantit cette fidélité de reproduction. Ce qui sera joué aura exactement les mêmes propriétés sonores que ce qui y aura été déposé et seules des actions digitales pourront dès-lors influer. Les évolutions de ce matériel numérique tendent au contraire à proposer aux simples utilisateurs, de pouvoir modifier la vitesse tout en gardant intactes les tonalités, rendant à-priori de plus en plus improbable à nos oreilles de se nourrire « lyriquement » de fréquences en dehors de ce crible qu’impose la gamme. Les effets subtils qu’entraîne cette sélection arbitraire sont difficilement évaluables.
L’audio-psycho-phonologie ou « méthode Tomatis », en temps que thérapie oucomme procédé diagnostique, dresse des profils pour rendre compte du fait que pour chacun(e)s, certaines fréquences sont devenues plus ou moins audibles ou identifiables au cours des différentes évolutions. Des influences psychologiques et mêmes pathologiques pourraient y correspondre ou s’y mêler.
Néanmoins, depuis des siècles et des siècles, comme pilier de l’Harmonie qui souvent nous accompagne en boite à musiques depuis nos premières heures, la majorité de ceux et celles qui même auraient voué leur vie à la musique, sont totalement incapables d’évaluer de leur chef, donc sans point de comparaison, la hauteur sonore d’un « la », un « vrai », un « 440 », en le faisant sonner de la voix à l’improviste et avec certitude.
C’est consternant, merci. Clap, Clap, Clap.
Texte et voix, montages, musiques originales et sons par djp
Solo de flute traversière par Quentin Manfroy
Merci à tous ceux et celles qui m'ont prêtés leur LA...
djp 12/2008
Musique 432Hz récemment proposée et composée par Eldeweiss Concept, merci à lui pour le lien.
Les scientifiques sibériens ont réalisé une véritable percée biotechnologique. Ils ont réussi à élever un tissu artificiel
capable de remplacer les organes endommagés. Le nouveau procédé permettra de soigner les lésions et les maladies, allant des brûlures aux crises cardiaques. Ce nouveau procédé a pu être mis en
place grâce aux propriétés uniques des cellules souches.
L’Institut de la biologie chimique et de la médecine fondamentale de Novossibirsk mène les expériences sur les cellules souches depuis
déjà plusieurs années. Il fallait créer un médicament capable de remplacer le tissu endommagé des articulations. C’est ainsi que les chercheurs ont réussi à élever des prothèses biosynthétiques
capables de remplacer l’aorte. Il s’agit d’une véritable percée scientifique.
Les prothèses synthétiques sont utilisées depuis longtemps dans la médecine moderne, et notamment dans la cardiologie. Mais les
organes et les tissus artificiels qui sont obtenus à partir des cellules vivantes – c’est une véritable nouveauté qui a de très bonnes perspectives de mise en pratique dans la médecine.
Car, après la pose d’implants synthétiques et des opérations de transplantation, les patients ont souvent des complications. Le corps
humain peut aliéner des tissus qui lui sont étrangers. Les matériaux bio-artificiels sont mieux acceptés par l’organisme, surtout s’ils sont élevés à partir des cellules du patient. Cela veut
dire que les complications de ce genre de transplantations sont réduites à un minimum.
Il y a plusieurs mois, les scientifiques de Novossibirsk ont posé un implant fabriqué à partir du matériel bio-artificiel à un rat de
laboratoire. Et depuis l’opération, aucune anomalie n’a été enregistrée dans son organisme.
Les chercheurs supposent que ces prothèses seront largement utilisées d’ici à quelques années et la possibilité de la création des
banques d’organes fabriqués à partir des matériaux bio-artificiels deviendra une réalité. Cela signifie qu’à l'avenir l’homme pourra « réparer » ses organes avec des cellules issues de son
propres corps. Une méthode qui se présente comme une solution à de nombreux problèmes de la gérontologie, permettant également d’éliminer le problème des donneurs d’organes, auquel la médecine
est confrontée actuellement.
En 1923, Georges Lakhovsky part du principe que la cellule est un système émetteur/recépteur comparable au système de
radiodiffusion, pour lui dans ce système les filaments conducteurs sont les chromosomes et les chondryomes, ces système conducteurs sont en résonnance avec les champs de force externes à l'être
humain : la cellule vibre, elle est "dialogue" avec l'extérieur.
Partant de ce principe, il invente l'oscillateur à ondes multiples, un appareil qui émet des fréquences électromagnétiques avec 2
antennes, une émettrice et une réceptrice, un homme se place entre les 2 antennes et reçoit cette "soupe d'émission" qui se situe entre 75 K Hertz et 8 Giga Hertz, cette appareil, G.
Lakkhovsky s'en sert pour soigner des cancers chez les animaux, les végétaux et les êtres humains.
Il a soigné beaucoup de cancers de la peau,
l'hypotension, des inflamations chroniques, des ulcers au niveau des jambes, neurasténies, névralgies, des ottites, des paraplégies, protatites, etc, etc.
Son appareil est revitaliseur car "il nous remet en résonance avec nos vibrations d'origines, celles qui nous relient au
cosmos, l'univers, les planètes."
Les ondes électromagnétiques peuvent régénérer votre corps. C’est plus qu’une guérison. La régénération est le remplacement des
cellules irrémédiablement détruites ou perdues par des cellules semblables. Cette régénération se fait de façon parfaitement naturelle. La guérison par les ondes électromagnétiques La thérapie
par résonance La thérapie par résonance a été conçue par les scientifiques George Lakhovsky, Nikola Tesla et Royal Rife. Le scientifique d’origine russe, George Lakhovsky partait de l’hypothèse
que chaque cellule a sa propre fréquence de résonance. Si un organe ou une partie du corps est atteint, infecté ou malade, la résonance des cellules en question baisse. Son idée était de
construire un (...)
Le Pr. G. Lakhovsky et des médecins de l’hôpital de la Salpètrière Photo de 1932 montrant l’appareil et une des patientes en
traitement (cancer de la face) Dans les années 1930 , les nombreuses guérisons de cancers incurables sont obtenues avec un appareillage rudimentaire : Il s’agit d’un émetteur produisant des
impulsions de très haute tension construit par le professeur G . LAKHOVSKY et employé dans de grands hôpitaux français, italiens et grecs. Il existe de nombreux rapports circonstanciés (voir plus
loin). Le "radio-cellulo-oscillateur" de G. Lakhovsky, précurseur des appareils Priore Le système d’antenne induit de nombreuses résonances. Ces "trains" (de qelques dizaines à
quelques (...)
Aux États-Unis, 67% des adultes et près d'un tiers des enfants sont obèses ou en surpoids. Une maladie qui tue chaque année 400 000 personnes dans le pays.
L'Amérique mange trop et, pour la première fois dans un pays développé, les scientifiques annoncent une baisse de l'espérance de vie. Le problème est si grave que Michelle Obama, la femme du président, a décidé de mettre ses concitoyens au régime.
Dans tout le pays on ouvre des camps de vacances pour enfants trop gros. Les Maires réorganisent leur ville pour mettre fin au règne du « tout voiture » et faire marcher leurs administrés. Les élus osent aussi s'attaquer à l'industrie de la restauration pour la contraindre à offrir des menus plus diététiques, notamment aux enfants.
Mais les États-Unis sont aussi le pays des kilos décomplexés. À New York, un fast-food très spécial joue la provocation. Le « Heart Attack Grill », restaurant de la crise cardiaque, sert un hamburger d'un kilo, équivalent calorique de 8 repas. Il existe aussi des boîtes de nuit réservées aux personnes en surpoids qui assument parfaitement leur taille XXL. Si l'obésité coûte très cher à la société américaine, c'est aussi un marché florissant de 47 milliards de dollars...
Michel De Lorgeril, lanceur d'alerte, dénonce avec courage l'arnaque mondialisée du cholestérol et des
statines.
Cette arnaque médicamenteuse ayant failli coûter la vie à mon amie, BioticTV est allée questionner ce célèbre chercheur dans son
université pour informer un maximum de personnes du piège de la désinformation médicale.
Merci à BioticTV pour ce témoignage poignant et très intéressant.
Apparemment notre Flamby nationale interdit leur réintroduction dans l'alimentation des
poissons d'élevage, autorisée par Bruxelles
récemment, dans notre chère pays, il faudra donc faire attention à la provenance de ceux ci.. Mais quand on connaît la capacité des entreprises à nous faire manger tout et n'importe quoi.. Il y a de quoi se
poser des questions sur la possibilité d'un nouveau scandale alimentaire à venir..
A quelques mois, courant 2013, de la réintroduction des farines animales dans l’alimentation des poissons de la filière
piscicole, autorisée par la Commission Européenne, et dans le contexte d’actualité autour de la viande de cheval, Public Sénat rediffuse en VOD un documentaire de 2002 « Farines animales : les
coulisses d'une enquête » de Laurent Richard.
Le 21 novembre 2000, le Sénat votait une résolution décidant la création d’une commission d’enquête « sur l’utilisation des farines
animales dans l’alimentation des animaux d’élevage ». Public Sénat a pu filmer pour la première fois à la télévision, les coulisses de cette commission, permettant aux téléspectateurs d’être les
témoins des auditions menées par les sénateurs, mais aussi de leurs déplacements dans les départements d’élevage en France et à l’étranger, de leurs rencontres et de l’évolution de leurs
réflexions.
Pas à pas, « Farines animales, les coulisses d’une enquête » réalisé à partir de ces auditions et déplacements, retrace une double
enquête. Ce document lève pour la première fois le voile sur le mode de fonctionnement d’une commission d’enquête. Il s’attache également à démêler les pièces du puzzle du dossier de l’ESB en
entraînant le téléspectateur dans une véritable contre-enquête, éclairant les zones d’ombre de cette affaire, notamment en Grande-Bretagne et au sein de l’Union européenne…
« On est 150 000 personnes à avoir été sacrifiées sur les sites d’essai nucléaire. Personne n’en parle !
»
Voici le témoignage d’un travailleur français du nucléaire : Jean-Henry Bouffard, radio biologiste de fonction au CEA – SMCB de
Tahiti, et responsable de la station de Hao. Il fait parti des nombreuses personnes irradiées dans le cadre de leurs activités professionnelles, mais non dédommagées par leur employeur : l’État
français. Un scandale qui ne fait pas de bruit, alors que les victimes meurent une à une.
« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.
Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.
Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité.»