Utilisés massivement pour remplacer le sucre, les édulcorants dits «intenses» sont devenus un outil incontournable de l’industrie agro-alimentaire. Depuis que le poids est devenu une préoccupation, ces substituts affichant zéro calorie sont présents partout : plus de 6000 produits alimentaires et médicaments contiennent aujourd’hui de l’aspartame, l’édulcorant chimique le plus utilisé au monde. Mais la molécule fait polémique. Plusieurs études démontrent que sa consommation présente des risques potentiels pour la santé.
Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental :
« Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? »
Les effets physiologiques et psychiques des formes géométriques. - Jacques RAVATIN, physicien, maître-assistant à l'Université d'Amiens : les études effectuées sur les ondes de forme. Les expériences de BELIZAL, MOREL et CHAUMERY sur le magnétisme (utilisation du pendule). Ondes émises par les couleurs. Parle de monuments comme les pyramides ou les alignements de Carnac qui avaient une utilité que notre monde ne comprend pas toujours.
Des documents britanniques mettent à jour 30 années de camouflage
Le « Freedom of Information Act » (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux
1. savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas 2. savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu'ils étaient sensés prévenir. 3. savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants 4. se sont entendus pour mentir au public 5. se sont attelés à empêcher les études de sécurité.
Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.
Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s'incliner devant l'un des plus affreux mensonges de l'histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins - remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme , de matières fécales, de fragments d'ADN d'autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) - sont un miracle de la médecine moderne.
Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l'information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse endéans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s'adressa finalement à la justice, et c'est là que le CDC a fait valoir qu'il n'était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.
Le 26 octobre 2011, l'éditorialiste du « Denver Post » s'est dit choqué que l'administration Obama, après avoir promis d'être particulièrement transparente, proposait des modifications au Freedom of Information Act , permettant d'entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». [...]
Le CDC agit manifestement à l'encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s'arrête malheureusement pas là. Il a participé à l'élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d'utiliser l'armée, en cas d'urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d'autres traitements « médicaux ».
En se basant sur le Freedom of Information Act, on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s'il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d'information de CBS qui s'en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c'était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l'histoire, en s'en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.
Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n'a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. [...]
En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l'Agence sont inexistants, l'Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n'empêche qu'une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.
Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd'hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :
1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu'ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l'administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l'annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.
2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu'elles avaient été manipulées à l'intérieur même de leurs structures par l'industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d'attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd'hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l'existence et la liberté des américains.
Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.
Ce sont aujourd'hui des vaccins obligatoires mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l'extérieur d'Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.
Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd'hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l'on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l'exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.
La vaccination ...en médecine c'est le plus gros mensonge depuis cet imposteur de Pasteur jusqu'à aujourd'hui avec mme Bachelot et sa connerie de vaccin h1n1.
c'est un business qui rapporte des centaines de milliard,oui oui MILLIARD d'euros par AN.....NOTRE SANTE ? ils n'en ont rien à foutre croyez moi...informez vous,faites vos propres recherches avant de vous injecter à vous et vos enfants des virus , des restes d'adn de porcs, de poulets, de vaches ou de singes mais aussi du MERCURE(LE POISON DU SIECLE),de l'hydroxyde d'aluminium et encore bien d'autres merdes...
Comme toujours ils oublient que l'inflation des matières premières dans l'alimentation est SURTOUT due aux banques spéculatives, comme J.P. Morgan pour ne citer qu'eux..Intéressez-vous aux prix du chocolat à Pacques et à Noël, par exemple, pour en apprendre plus.
Pour accroître leurs marges sans faire fuir leurs clients, les commerçants misent désormais sur la balance : en jouant sur le poids des articles vendus, nombre d'entre eux parviennent à alourdir la facture sans que la différence soit réellement perceptible pour le consommateur.
C'est ce qu'on appelle l'inflation masquée. Plusieurs techniques ont aujourd'hui cours. Certains fabricants allègent le contenu de leurs produits sans modifier le prix, d'autres utilisent des additifs controversés pour retenir l'eau contenue dans les aliments, ou bien en modifient la composition.
"Le cannabis soigne le cancer, big pharma possède le brevet qui le prouve"
Etudier les liens entre cannabis et cancer suscite des controverses tant scientifiques qu'idéologiques. Ainsi, sa place dans les soins en cancérologie reste peu étudiée. Lors du congrès Eurocancer 2004, l'Association d'étude et de recherche des internes en oncologie (AERIO) tente de dépassionner le débat.
Décrit scientifiquement dès 1753, le cannabis a révélé peu à peu ses propriétés. Les scientifiques étudient aujourd'hui son principe actif le célèbre delta9 - tetra-hydrocannabinol (THC). A la clé : une meilleure compréhension des mécanismes pharmacologiques mais également la perspective de recherche dans des domaines différents, en particulier en cancérologie.
Un scandale en cours depuis au moins 2006, possible grâce au CODEX ALIMENTARIUS.. (second lien ici). J'ai regroupé ici les articles les plus probant concernant cette molécule, retenez bien son nom : E171, triez les aliments, les dentifrices et plus particulièrement les crèmes solaires pour les enfants..Les salopards qui autorisent et ceux qui utilisent cette saloperie devraient être jugés pour crime contre l'humanité...Une molécule pire que l'amiante... Que l'on ressorte les guillotines, des têtes doivent tomber..
Le dioxyde de titane, un pigment entrant dans la composition de nombreux produits d’usage courant, comme les crèmes solaires ou les dentifrices, aurait les mêmes effets toxiques que l’amiante.
« Avec le dioxyde de titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans », affirme le professeur Jürg Tschopp, prix Louis-Jeantet de médecine 2008, qui a piloté une étude franco-suisse sur les effets toxiques de ce nanomatériau. Le potentiel inflammatoire du dioxyde de titane était déjà connu, mais ses mécanismes d’action n’avaient pas été clairement élucidés jusqu’ici. C’est aujourd’hui chose faite grâce aux travaux effectués conjointement par les chercheurs du département de biochimie de l’université de Lausanne (UNIL) et de l’université d’Orléans. Les tests in vivo et in vitro sur des souris, et in vitro sur des cellules humaines, montrent que le dioxyde de titane, sous forme nanométrique (particules de dimensions un million de fois plus petites qu’un cheveu), a une activité pro-inflammatoire sur les poumons et le péritoine. D’où un possible effet cancérigène. Tout comme l’amiante et la silice, deux irritants environnementaux bien connus.
Un constat d’autant plus alarmant que le dioxyde de titane entre dans la composition de nombreux produits de la vie quotidienne. Utilisé principalement comme pigment et comme opacifiant, il se retrouve aussi bien dans les crèmes solaires, les dentifrices ou les confiseries que dans les peintures et les médicaments.
L’organisme ne parvient pas à s’en débarrasser
Le nanomatériau peut être absorbé par voie digestive, cutanée ou respiratoire. Aujourd’hui, on manque encore de données sur l’absorption de dioxyde de titane via l’alimentation ou la peau. Si le risque de pénétration n’est pas exclu à la surface d’une peau lésée (brûlures ou peau atopique), l’ingestion par voie respiratoire est bien plus préoccupante, en particulier pour le personnel des industries nanotechnologiques.
Le problème, c’est que l’évaluation réelle des risques se fera sur le long terme. « Aujourd’hui, on constate que les particules s’accumulent dans l’organisme qui ne parvient pas à s’en débarrasser. En l’état actuel des recherches, on peut seulement prédire qu’il y a là un potentiel pour produire une inflammatoire chronique », précise le Pr Tschopp.
En attendant, plus de deux millions de tonnes de dioxyde de titane nanométriques sont produites chaque année dans le monde, un chiffre qui a doublé en moins de 10 ans. Pour de nombreux produits, la valeur ajoutée du dioxyde de titane est des plus discutables. Ainsi, le nano-TiO2 incorporé aux pâtes dentifrices leur confère une blancheur sans effet sur leur pouvoir nettoyant, mais synonyme d’efficacité dans l’esprit des consommateurs. « Nos données suggèrent que le nano-TiO2 devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu’il ne l’est actuellement », soulignent les auteurs de l’étude. « De meilleures précautions devraient être prises », pour limiter son ingestion, dans l’industrie comme dans la vie quotidienne. « Il a fallu presque 100 ans et d’innombrables décès avant que l’amiante soit bannie », rappellent les chercheurs.
Florence Humbert
A forte dose, les nanoparticules de dioxyde de titane pourraient endommager le cerveau
Une étude menée par le CEA (Commissariat à l'Energie Atomique) suggère que les nanoparticules de dioxyde de titane (nano-TiO2), utilisées notamment par les crèmes solaires et certaines peintures industrielles, pourraient endommager le cerveau à dose massive. Ci-dessus, des nano-TIO2 observées via microscopie électronique (Crédits : Cirimat / CNRS).. Nota : cette photo n'est pas issue de l'expérience menée par les chercheurs du CEA.
Une étude française suggère que des doses massives de nanoparticules de dioxyde de titane seraient capables de rompre la barrière hémato-encéphalique qui protège notre cerveau. Si ce résultat, obtenu sur un modèle in vitro, ne peut à lui seul autoriser une extrapolation à l'homme, il relance toutefois les inquiétudes relatives à ces particules, notamment présentes dans les crèmes solaires.
Autant le dire tout de suite, les résultats obtenus par Emilie Brun et Aloïse Mabondzoa (CEA, Gif-sur-Yvette) ainsi que Marie Carrière (CEA, Grenoble), sont troublants. Et pour cause, car ils suggèrent que les nanoparticules de dioxyde de titane (souvent surnommées TiO2, ou encore nano-TiO2), utilisées par la plupart des crèmes solaires pour leur capacité à absorber les rayons ultraviolets (mais aussi par de nombreux cosmétiques et peintures industrielles), seraient capables à haute dose d'altérer, voire de traverser, une protection essentielle à notre cerveau : la barrière hémato-encéphalique.
Cette dernière, véritable muraille naturelle, empêche les substances toxiques de pénétrer dans notre cerveau, ne laissant filtrer que quelques molécules bien spécifiques comme l'insuline ou bien des nutriments.
Un modèle cellulaire in vitro qui reproduit certaines caractéristiques de la barrière hémato-encéphalique
Toutefois, cette découverte, publiée le 24 octobre 2011 dans la revue Biomaterials, puis relayée le 26 octobre par un communiqué du CEA, est à prendre avec recul. En effet, les chercheurs du CEA ont travaillé sur un modèle cellulaire in vitro (une technique utilisée par l’industrie pharmaceutique pour tester les médicaments lors des études précliniques), qui ne reproduit donc que très imparfaitement les caractéristiques de la barrière hémato-encéphalique naturelle. Par conséquent, le résultat obtenu par les chercheurs du CEA ne permet pas à lui seul d'extrapoler à l'homme : "En l'état, notre résultat ne peut pas être transposé à l'homme, car nous avons travaillé sur un modèle in vitro, explique le directeur de l'étude Aloïse Mabondzo au Journal de la Science. Or, l'extrapolation des mécanismes biologiques observés in vitro à des conditions plus réalistes d'exposition doit être prudente. La caractérisation du risque pour l'homme implique notamment de mieux prendre en compte les facteurs d'exposition, comme la quantité reçue à l'organe cible ou la forme chimique du composé, ainsi que certaines vulnérabilités comme les effets de l'âge et la dépendance à d'autres facteurs environnementaux. C'est pourquoi nos travaux devront forcément être complétés par des études ultérieures, menées sur des modèles in vivo".
De surcroît, les chercheurs ont travaillé sur des nanoparticules "brutes", alors que celles qui sont utilisées par l'industrie cosmétique sont enrobées d'alumine, de silice ou de polyalcools, un enrobage qui permet de réduire considérablement leur dangerosité : "Notre travail porte des nanoparticules de TiO2 non enrobées, indique Aloïse Mabondzo, donc beaucoup plus réactives que celles présentes dans les produits manufacturés. Nous avons fait ce choix car cette exacerbation des propriétés des nanoparticules est particulièrement utile pour tester la réponse du modèle biologique dans un mode extrême".
Notons enfin que si, au cours de l'expérience, une exposition à de fortes doses de nanoparticules de TiO2 a bel et bien perturbé le fonctionnement cellulaire du modèle utilisé par les chercheurs, cela n'a pas en revanche été le cas pour des doses plus faibles, lesquelles correspondent beaucoup plus aux quantités de nanoparticule de dioxyde de titane présentes réellement dans les cosmétiques : "Notre objectif n'était pas de savoir ce qui se passait lors d'une exposition à de fortes doses de nano-TiO2, mais de comprendre ce qui se passait pour toutes les catégories d'exposition, faible et forte. détaille Aloïse Mabondzo. Au cours de nos travaux, nous avons donc opéré de façon très graduée. C'est-à-dire que nous avons d'abord exposé notre modèle cellulaire à des doses très faibles, en observant les conséquences de cette exposition au niveau cellulaire. Puis nous avons progressivement augmenté ces doses. Et c'est à partir d'une dose de 5 microgrammes / ml délivrée sur 24h que nous avons constaté l'apparition d'une dérégulation dans notre modèle cellulaire. Il faut savoir que cette dose de 5 microgrammes / ml est très importante, et ne peut donc pas être comparée aux quantités de nano-TiO2 que l'on trouve dans les produits cosmétiques."
Ces précautions importantes étant posées, comment Emilie Brun, Aloïse Mabondzo et Marie Carrière sont-ils parvenus à ce résultat ? Tout d'abord, les chercheurs ont donc "reconstitué" in vitro une version simplifiée de la barrière hémato-encéphalique au sein d'un modèle cellulaire. Dans ce modèle, ils ont intégré tout à la fois des cellules endothéliales (ces cellules, qui forment la paroi des vaisseaux sanguins, jouent un rôle central dans la fonction de protection de la barrière hémato-encéphalique) et des cellules gliales (présentes dans le système nerveux). Ce qui leur a permis d'obtenir un modèle artificiel, comprenant certaines des caractéristiques de la barrière hémato-encéphalique "naturelle", et sur lequel il devenait alors possible de pratiquer leurs expérimentations.
A dose massive, le risque d'une altération de certaines fonctions cérébrales
Puis les chercheurs ont exposé ce modèle cellulaire à des nanoparticules de dioxyde de titane brutes, en variant notamment la durée et le volume d'exposition. Résultat ? Plus l'exposition est aigüe et prolongée, et plus les nanoparticules de dioxyde de titane ont tendance à s'accumuler à l'intérieur des cellules endothéliales, et finissent par rompre la barrière hémato-encéphalique. Dans le même temps, ces nanoparticules induisent une réaction inflammatoire, tout en réduisant la sécrétion de la P-glycoprotéine, une protéine présente dans les cellules endothéliales fort utile puisqu'elle est chargée de bloquer les toxines susceptibles de pénétrer le cerveau.
Des résultats qui suggèrent donc qu'une exposition massive et prolongée aux nanoparticules de dioxyde de titane brutes pourrait engendrer leur accumulation à l'intérieur des cellules endothéliales, doublée d'une inflammation cérébro-vasculaire et d'une moindre aptitude à se défendre contre l'irruption des toxines. Tandis qu'une exposition chronique à ces particules pourrait, quant à elle, "entrainer leur accumulation dans le cerveau avec un risque de perturbation de certaines fonctions cérébrales.", selon les mots mêmes du communiqué publié par le CEA.
Les nanoparticules de dioxyde de titane enrobées beaucoup moins dangereuses
Mais si les nanoparticules de dioxyde de titane brutes (c'est-à-dire non enrobées) comportent donc vraisemblablement une forme de dangerosité pour la santé humaine, qu'en est-il des nanoparticules enrobées, c'est-à-dire celles qui sont utilisées par l'industrie cosmétique ? Ici, les choses semblent plus rassurantes. En effet, un nombre important d'études indiquent que les nanoparticules de dioxyde de titane enrobées ont un effet sur l'ADN des cellules soit très faible, soit nul. Même si quelques études récentes ont montré que même enrobées, les nanoparticules de dioxyde de titane étaient capable d'altérer le fonctionnement des cellules, en endommageant notamment l'ADN de ces dernières. Mais ces études utilisaient là encore des doses de nanoparticules bien supérieures à celles présentes dans les produits cosmétiques.
On le voit, si en l'état aucune étude ne prouve que les crèmes solaires et autres cosmétiques présentent un danger pour la santé, il reste encore beaucoup à comprendre sur les effets sur la santé des nanoparticules de dioxyde de titane. Si bien que les connaissances actuelles en la matière ont d'ailleurs été récapitulées en juin 2011 par des chercheurs italiens et britanniques dans une grande revue de littérature scientifique, afin de poser les bases d'une recherche approfondie sur les effets des nanoparticules de dioxyde de titane sur la santé humaine.
Gageons que de prochaines études viendront très prochainement éclairer la recherche sur les effets sur la santé des nanoparticules de dioxyde de titane et apporter, espérons-le, quelques premiers éléments de réponse. Un point important consistera notamment à étudier l'éventuelle réversibilité des effets observés par les chercheurs du CEA : "Dans nos travaux, nous n'avons pas étudié l'éventuelle réversibilité des phénomènes observés. Or, il est tout à fait plausible que ces derniers soient réversibles. C'est un sujet qui fera peut-être l'objet d'une de nos prochaines études", mentionne Aloïse Mabondzo
Le dioxyde de titane (TiO2) est une molécule composée d'oxygène et de titane, elle a été autorisé comme additif alimentaire, sous le code E171.
Connu pour ses propriétés opacifiantes et pour être le plus blanc des pigments blancs, il est très utilisé dans le domaine de la peinture, de la papeterie, du plastique et de la céramique.
Notre alimentation n'est pas en reste, fromages, pâtisseries, chewing-gum, confiseries en contiennent pour séduire le consommateur.
On le retrouve aussi dans nos produits d'hygiène, savons, crèmes cosmétiques et dentifrices.
D'autres domaines comme le traitement de l'eau ( en tant qu'agent bactéricide), ou le milieu hospitalier (utilisation en tant que photo-catalyseur) montrent l'ampleur du phénomène TiO2.
Selon certaines études, l'inhalation, l'ingestion ou le contact régulier avec la peau mettent la santé de l'homme plus ou moins en danger en fonction des doses auxquelles il est exposé.
Le TiO2 est d'ailleurs classé depuis 2006 "potentiellement cancérigène pour l'homme" et certains toxicologues n'hésitent pas à le montrer du doigt en tant que molécule mutagène qui en pénétrant les barrières biologiques lèse l'ADN et endommage sérieusement les cellules, alors que les laboratoires cosmétiques affirment avec conviction qu'il est sans danger pour nos cellules.
Crèmes solaires (pour son effet anti UV), maquillage dont les fards à paupières, rouges à lèvres, fond de teint en crème, poudre libre ou compacte (pour son pouvoir anti-agglomérant); la plupart des cosmétiques , qu''ils soient conventionnels ou de qualité bio en contiennent et chacun d'entre nous se trouve exposé continuellement à ce produit réputé toxique.
Quelques laboratoires ont décidé de ne pas commercialiser la molécule pour sa toxicité sur l'homme et son impact sur l'environnement mais la plupart l'utilise allègrement.
À nous consommateurs de refuser ce produit dangereux au même titre que les OGM ou les pesticides.
S'il est difficilement repérable chez votre pâtissier (un macaron ou une crème blanche comme neige devraient vous interpeller !), il est très facilement identifiable sur les produits cosmétiques dans la liste INCI du produit sous le nom de Titanium oxide.
Dans la longue saga des additifs soupçonnés d’être cancérigènes, le Titanium (Ti02) dans les bonbons, pas si bons que ça finalement….
Voilà une nouvelle qui risque de plomber l’ambiance chez les fabricants de confiseries. Selon les chercheurs de l’Université d’Arizona, dont la trouvaille a été publiée dans la revue de la société américaine de chimie, les enfants qui se goinfrent de bonbons, chewing-gums et autres guimauves ne risquent pas seulement d’avoir les dents gâtées à cause du sucre, ils font aussi le plein de dioxyde de titane, un additif classé « cancérigène possible pour l’homme »
Le TiO2 de son petit nom, est un nano-ingrédient (pour mémoire, un nano, c’est un millionième de millimètre) dont les industriels de l’alimentation raffolent parce qu’il permet par exemple aux bonbons d’être particulièrement chatoyants.
Prenez les fameux M&M’s. Une fois que vous avez badigeonné de sucre votre cacahuète grillée, il suffit de l’enrober de dioxyde de titane pour être certain que le colorant va briller de tous ses feux, et ne pas baver.
Des nanoparticules, on nous en met un peu partout : pour épaissir le ketchup, blanchir la sauce vinaigrette, éradiquer le grumeau dans les préparations industrielles pour desserts…
Le seul souci, c’est qu’on ignore comment elles se comportent dans notre organisme. Les seules études concernent les ouvriers dont les poumons se font dézinguer par les nanoparticules qu’ils inhalent dans les usines.
Il y a deux ans, l’Anses, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire des Aliments, prévenait : « Il n’est pas possible d’évaluer l’exposition du consommateur ni les risques sanitaires liés à l’ingestion de nanoparticules ».
Depuis, un groupe de travail d’une quinzaine d’experts phosphore sur les dangers des nano-ingrédients, avec en tête de gondole le dioxyde de titane. Résultat en février 2013.
De son côté, l’Europe, après un an de négociations à couteaux tirés, vient enfin d’adopter une définition officielle du nano-aliment, laquelle fait la part belle aux industriels.
Est considéré comme un « nanomatériau » tout produit dont au moins 50 % des particules sont situées entre 1 et 100 nanomètres, ce qui en exclut une palanquée… Surtout, d’ici à 2013, rien ne les oblige à indiquer sur l’étiquette la présence d’un nano-ingrédient.
Et tant pis si c’était une promesse du Grenelle 2. Bref, à moins de savoir, par exemple, que derrière le E171 se cache le dioxyde de titane, on est bonbon…
La grande majorité des études scientifiques menées sur les nanoparticules de dioxyde de titane, utilisées dans de nombreux produits cosmétiques et notamment les crèmes solaires, concluent que celles-ci restent en surface de l'épiderme et ne peuvent pas pénétrer la barrière cutanée. Une récente étude montre que la lumière naturelle du soleil favorise leur désagrégation et leur pénétration, ce qui peut avoir des conséquences sur les cellules épidermiques et la santé humaine.
Article non disponible dans son intégralité malheureusement..
Au niveau européen, le nouveau Réglement Cosmétiques (PDF) qui prendra effet à partir de 2013, prévoit un régime de notification spécifique des produits contenant des nanomatériaux six mois avant leur mise sur le marché, mais ce régime ne s'applique pas aux filtres ultra violets. Les raisons de cette exception ? Elles ne sont pas explicitées dans le texte. L'Avicenn cherche à éclaircir ce point et a interrogé plusieurs personnes à ce sujet. Nous sommes encore dans l'attente de leur réponse.
Le dioxyde de titane E171 est listé comme colorant au standard international du Codex alimentarius et peut, selon ses normes, affecter une large gamme d'aliments très divers et sans limite officielle de dosage (BPF). Aux Etats-Unis comme dans l'Union Européenne il est exclu de la filière d'alimentation biologique [13b](f)(g).
Il semble également très apprécié en dehors de l'alimentation transformée puisqu'on le trouve aussi dans de nombreux pharmaceutiques, ainsi que dans les cosmétiques où il peut être renommé CI77891 [19,17]. De nombreuses crèmes solaires utilisent également du dioxyde de titane, ainsi que des dentifrices, entre autres sources.
Les enfants seraient particulièrement sensibles aux effets du dioxyde de titane. C'est pourquoi l'Autorité européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) et l'Agence Française de Sécurité Sanitaire, de l'Environnement et du Travail (AFSSET), conseillent d'éviter les crèmes solaires comprenant du dioxyde de titane chez les enfants en bas âge [21a].
Les nanoparticules pénètrent doucement mais sûrement dans notre alimentation. Les plus exposés, les enfants qui raffolent des confiseries imbibées de titanium comme les M&M’s, les chewing-gums, Mentos sans oublier les glaces et les guimauves…
L’émergence des nanoparticules dans notre quotidien
Les nanoparticules sont produites de trois façons différentes :
> Naturellement : activités volcaniques, réactions de photosynthèse, poussières du désert…
> Par combustion : exemple, les particules polluantes des gaz d’échappements des véhicules
> Industriellement : - en cosmétique, elles améliorent la tenue des rouges à lèvres, accentuent l’arôme des parfums, rendent plus fluide les crèmes solaires, durcissent la pâte à dentifrice… - dans le textile, elles améliorent la résistance à l’eau, au feu ou à l’abrasion,… - en médecine, les espoirs sont nombreux : dépistage des premiers stades d’une maladie ou d’infection… - en alimentation, le goût, l’odeur, la couleur des aliments sont plus intenses, la conservation est plus durable…
Bref, les nanoparticules sont devenues le dada des industriels grâce à leurs propriétés physiques, chimiques ou biologiques accrues.
Selon la Commission européenne, le marché des nanotechnologies, estimé à 700 milliards d’euros en 2008, atteindrait 2 000 milliards de dollars en 2015.
Aujourd’hui la présence des nanoparticules manufacturées dans de nombreux produits du quotidien inquiète les autorités sanitaires. Quelques études démontrent que les nanoparticules peuvent être un risque pour la santé de l’homme et l’environnement.
Leur petite taille entre 1 et 100 nanomètres (nm) facilite leur passage à l’intérieur du corps. Elles peuvent atteindre le sang, le foie, les poumons, le cœur, le fœtus ou encore le cerveau.
Composées de plusieurs milliers de particules, elles sont très réactives à l’environnement.
Bonbons, guimauves et glaces au titanium
Dans l’industrie alimentaire, les nanoparticules fournissent nutriments et vitamines, intensifient les arômes, servent de conservateur, d’épaississant, de colorant…
Grist Twilight Greenaway journaliste qui s’intéresse de près aux nanoparticules dans l’alimentation :
« Ce qui m’a le plus surprise, c’est d’entendre combien de produits alimentaires contiennent déjà des nanoparticules. On y apprend ainsi qu’elles sont utilisées pour purifier l’eau, comme agent antiagglomérant et gélifiant et dans les emballages pour protéger contre les UV, éviter la multiplication des microbes ou détecter une éventuelle contamination. »
« Comme avec les OGM, la stratégie semble être : premièrement, les diffuser dans les produits alimentaires en masse ; et évaluer les risques ensuite (ou jamais). »
Les confiseries préférées des enfants : m&m’s, chewing-gums, mentos sans oublier les glaces et les guimauves sont les aliments qui contiennent le plus de nanoparticules de dioxyde de carbone. Nommées aussi tio2, ou encore nano-tio2 elles rendent les bonbons plus attractifs (couleur et saveur).
Pourtant, en 2007, le centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le dioxyde de titane, sous forme nanoparticulaire, comme cancérigène possible.
En 2011,une étude du CEA démontre que les nanoparticules de dioxyde de titane peuvent à forte dose traverser, la barrière hémato-encéphalique, une protection essentielle à notre cerveau.
En 2011, le professeur Jürg Tschopp, chercheur du Département de biochimie de l’Université de Lausanne affirmait
« Avec le dioxyde de titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans.
L’amiante et le nano-TiO2 sont vraiment similaires et ont la même puissance
Nos données suggèrent que le nano-TiO2 devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu’il ne l’est actuellement.
De meilleures précautions doivent être prises pour limiter son ingestion, dans l’industrie comme dans la vie quotidienne.
Nous disposons maintenant de données scientifiques de bonne qualité et désormais, c’est une question politique.
Il y a déjà des commissions dans plusieurs pays qui réfléchissent à des mesures. »
Vers une traçabilité des nanoparticules en France
En Europe, la commission européenne se base sur le règlement Reach pour gérer les risques liés aux nanomatériaux.
En octobre 2011, elle propose une définition d’une nanoparticule :
« un matériau naturel, formé accidentellement ou manufacturé contenant des particules libres, sous forme d’agrégat ou sous forme d’agglomérat, dont au moins 50 % des particules, dans la répartition numérique par taille, présentent une ou plusieurs dimensions externes se situant entre 1 nm et 100 nm ».
Depuis le 1er janvier 2013, en France, les industriels qui utilisent des nanoparticules dans leurs produits ont l’obligation de les déclarer à l‘Agence nationale de sécurité sanitaire. L’objectif est de recenser les produits mis sur le marché et d’informer le public. Cette initiative française inspire d’autres pays européens : Danemark Belgique, les Pays-Bas, ou encore l’Italie.
Une remarque de Rose Frayssinet du réseau écologiste Les Amis de la Terre :
« Les industriels peuvent se cacher derrière la clause de confidentialité. Donc c’est pipeau. »
Le secret industriel et commercial donne la possibilité aux industriels de ne pas dévoiler la composition de leur produit.
Le 18 décembre 2012, l’INERIS (Institut National de l’Environnement industriel et des risques) se dote d’une plate-forme d’expertise et de recherche sur les risques liés aux nanotechnologies.
Sources :
> actu-environnement.com : Nanoparticules : premier pas vers une traçabilité
> lemonde.fr : La France oblige les industriels à déclarer les nanoparticules dans leurs produits
> lemonde.fr : Nanoparticules : l’ingrédient qui s’est discrètement invité à notre table
> bigbrowser.blog.lemonde.fr : MENU – Les nanoparticules : déjà notre pain quotidien
> ec.europa.eu : Scientific Basis for the Definition of the Term “Nanomaterial”
> afsset.fr : Évaluation des risques liés aux nanomatériaux pour la population générale et pour l’environnement
> asef-asso.fr : Les nanoparticules, petites mais toxiques ? La synthèse de l’asef
> journaldelascience.fr : A forte dose, les nanoparticules de dioxyde de titane pourraient endommager le cerveau
> nanowerk.com : New study shows that titanium dioxide nanoparticles are ubiquitous in food products
> pubs.acs.org : Titanium Dioxide Nanoparticles in Food and Personal Care Products
> cnrs.fr : Nanoparticule
> ec.europa.eu : Nanotechnologies
> 20min.ch : Danger dans la pâte dentifrice
> observatoiredescosmetiques.com : Nanomatériau
Après les vaccins "aérosols" mis au point en ce moment même par la DARPA, une autre idée terrible venue tout droit du Japon.. Plus on en sait sur les vaccins et plus ils cherchent à nous les imposer, d'une façon ou d'une autre.. Pour en savoir un peu plus sur les campagnes de vaccinations je vous propose de regarder ce lien sur les Rockfeller, enrichissant.. Si je puis dire..
L'anophèle, utilisé par le Dr Yoshida, transmet des maladies graves comme le paludisme ou la fièvre jaune.
Une équipe de chercheurs japonais est parvenue à modifier génétiquement un moustique pour qu'il diffuse un vaccin lorsqu'il pique une souris. Une expérience qui soulève de nombreuses questions pratiques et éthiques.
L'idée aurait de quoi faire rêver : au lieu de véhiculer des maladies graves (paludisme, dengue, fièvre jaune), les moustiques, modifiés génétiquement par l'homme, transmettraient aux individus qu'ils piquent le vaccin contre cette même maladie. Et chaque nouvelle piqûre, loin de s'avérer dangereuse, viendrait renforcer la défense immunitaire de la personne «piquée». Une méthode «peu coûteuse et non douloureuse», résume le Dr Yoshida, qui a mené l'étude scientifique publiée dans la revue Insect Molecular Biology.
Ce scientifique japonais de la Jichi medical university est parvenu à concrétiser dans son laboratoire une théorie caressée, selon lui, depuis une dizaine d'années par les chercheurs. Pour cela, il a introduit un gène chez un moustique pour qu'il produise dans sa salive la molécule SP15 permettant d'immuniser contre une maladie tropicale grave, la leishmaniose. Particulièrement virulente en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et dans le Sahel, la leishmaniose, également présente à moindre échelle dans le sud de la France, concernerait 12 millions de personnes dans le monde et peut s'avérer mortelle ou causer de graves lésions cutanées.
Les chercheurs ont ensuite mis ces moustiques génétiquement modifiés en contact avec des souris. Piquées à de nombreuses reprises par l'insecte qui se nourrissait de leur sang, celles-ci ont développé des anticorps contre la leishmaniose, sur le modèle d'un vaccin classique, qui, en introduisant à très faible dose l'agent infectieux dans le corps, lui apprend à organiser sa défense immunitaire. Le moustique, par le biais de sa salive, avait bel et bien joué son rôle de «vaccinateur volant».
Dans le labo seulement
«C'est une idée originale, remarque le Dr Jean Beytout, chef de service des maladies infectieuses au CHU de Clermont-Ferrand. Jusqu'à présent, on avait plutôt tenté de faire de la sélection génétique sur les moustiques vecteurs de maladie, afin de réduire leur nombre ou leur dangerosité».
La prouesse de l'équipe japonaise reste néanmoins expérimentale et ne vise pas à être étendue à plus grande échelle. L'équipe du Dr Yoshida reconnaît elle-même plusieurs obstacles à cela. Non seulement il semble impossible de doser la molécule inoculée aux individus par les insectes, mais rien ne permet en outre d'assurer que le même insecte ne transmettrait pas, dans le même temps, une autre maladie, comme le paludisme ou la fièvre jaune. A cela s'ajoutent des considérations éthiques, puisqu'on se trouverait dans l'incapacité de s'assurer que la personne est d'accord pour se faire vacciner.
«Au final, cette étude trouve surtout son intérêt dans les pistes qu'elle ouvre pour les recherches sur le paludisme, résume le Dr Beytout. Elle souligne en effet le rôle essentiel de la salive de moustique du moins, de certains de ses composants pour favoriser la pénétration de la molécule immunisante dans le sang».
Voilà de nombreuses années que des enfants abandonnés ou simplement confiés à des services publiques dans un certain nombre de pays subissent des traitements expérimentaux « abusifs ».
Abusifs : c'est bien évidemment un euphémisme ! C'est le cas particulièrement pour des enfants dont la mère séropositive, aurait pu induire une séropositivité chez l'enfant.
Rien n'est sûr, mais cela suffit pour que l'entant se voit prescrire un traitement lourd, dont on connaît les nombreux effets secondaires, et dont on ignore les effets à long terme.
Qu'importe, on a ainsi des cobayes, sans défense, déjà terriblement marqués par la vie, alors un peu plus ou un peu moins.
Le scandale a enfin éclaté au grand jour grâce aux journalistes de la BBC en novembre 2004 dans un documentaire appelé Guinea Pig Kids (Enfants cobayes).
Il est notoire que nombre de malades servent de cobayes dans le cadre de la recherche et que le corps médical a tendance à les considérer comme du « matériel humain ».
Nous savons également que des expériences sont conduites sur des enfants appartenant à des ethnies pauvres, dans des pays du Tiers-monde.
A présent, ces comportements sont devenus tellement courants que personne ne s'émeut plus, d'autant qu'on nous répète que ces essais sont nécessaires à « l'avancée de la médecine et au sauvetage de milliers de malades ».
Il faut sacrifier certains pour le bien-être de la majorité.
Par là, nous nous apparentons aux civilisations dites « sauvages » qui immolaient quelques enfants à leurs dieux.
La science ayant remplacé la religion, il est normal que ces habitudes perdurent, sous d'autres noms évidemment, et de manière beaucoup « plus raffinée ».
Actuellement, à New York (USA), 23 000 enfants, tous issus de familles pauvres, sont placés dans des centres d'accueil sous la surveillance des autorités locales.
Ils ont été retirés à leurs mères, droguées et séropositives, qui refusaient de leur donner des médicaments. 90% d'entre eux sont d'origine noire ou hispanique.
Ces enfants, dont certains sont âgés d'à peine quelques mois sont recrutés pour participer à un vaste programme national d'essais à long terme sur des médicaments toxiques contre le VIH...
Pour la première fois, un chaman mexicain qui opère des patients sans anesthésie s'est laissé filmer. Un voyage exclusif en terre surnaturelle.
1999 au Mexique. Alors qu'elle vient de terminer le tournage d'un documentaire sur les chamans indiens, la réalisatrice Marie Arnaud fait un rêve : à travers les nuages, un visage disant s'appeler Hermanito lui demande de la rejoindre... Intriguée, elle en recherche l'identité. C'est un ami anthropologue qui la mène sur la voie, à Mexico. Là, elle rencontre Domingo, "aidant" de Don Enrique, un chaman possédé par l'esprit de Hermanito, dieu empereur aztèque. Deux fois par semaine, il reçoit des patients et opère certains d'entre eux sans anesthésie à l'aide de ciseaux et d'un vieux couteau hérité de sa mère... Alors qu'il refusait catégoriquement jusqu'alors d'être interviewé ou pris en photo, Don Enrique accepte peu à peu la présence de la caméra, la laissant entrer dans son intimité, lui confiant ses pensées et ses croyances, sans pour autant lui révéler ses secrets. Il va même - fait exceptionnel - jusqu'à l'autoriser à filmer une de ses opérations pratiquée sur... un médecin !
Et voici comment l'Agence française des Médicaments représentait elle-même la "sous-notification inévitable" des effets secondaires de vaccins, dans un document de 2007 :
Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont rapportés et comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011 ). Il n'y a pas de consensus au sein du monde médical sur le délai de survenue ni sur les symptômes à réunir pour pouvoir considérer qu'il s'agit bien d'un effet secondaire de tel ou tel vaccin. Un tel flou profite bien sûr à l'industrie, mais pas à vos enfants. En outre, il n'y a aucune étude sur le long terme et très long terme. Comment savoir donc si votre enfant ne va pas échanger une rougeole (majoritairement curable et bénigne) contre une sclérose en plaques, une épilepsie ou un autisme (dont la majorité des cas seront chroniques à vie selon les propres constats du corps médical)???
Il y a deux choses qui ne sont pas de mise en matière de vaccins et qui devraient pourtant l'être car cela constitue pourtant le b.a-ba de la démocratie:
1. LA SCIENCE (qu'on nous prouve que les évaluations des vaccins sont véritables scientifiques, que cela est "de la Bonne Science")
2. LE CHOIX (que les parents, sur base de preuves scientifiques solides, puissent se prononcer et choisir ce qui leur semble le mieux pour la santé de leur enfant; si c'est réellement scientifique, l'immense majorité des parents accepteront sans nul doute de faire vacciner leur enfant l'esprit tranquille.)
Hélas, dans nos sociétés qui n'ont de "démocratique" que le nom, non seulement les vaccins ne sont pas évalués de façon scientifique, mais en plus, on les impose sur base de la peur, de l'intimidation et de la culpabilisation. Nos enfants ne méritent-ils pas mieux??
« Dossier VIANDE » Documentaire poignant sur la réalité sordide d'un aliment et sur les répercussions de la consommation de viande sur la santé, le climat, la faim dans le monde, notre relation avec les animaux.
« La viande est vitale pour les bouchers, mais pas pour le reste de la population. » Prof. Claus Leitzmann, Institut des sciences nutritionnelles, Gießen (Allemagne)
La consommation mondiale annuelle de viande atteint 250 millions de tonnes.
L'augmentation constante de la production de viande a non seulement des conséquences dramatiques sur l'équilibre écologique de la planète, mais aussi sur notre santé. Mais d'où vient la viande, et dans quelles conditions est-elle produite ?
DOSSIER VIANDE donne la parole à des médecins, des scientifiques, des experts en nutrition, un ex-boucher, et lève le voile sur la terrible réalité de l'élevage et de l'abattage des animaux ainsi que sur ses répercussions pour l'homme et la planète.
Avec le récent "Monsanto protection
act" aux US et toujours ce fichu traité
transatlantique.. Il est bon de rappeler ce que sont les OGM et quels enjeux sont derrière le battage mérdiatique de nos.. mérdias, savants et politiques..
Pour rappel : Il y avait 170 MILLIONS d'hectares de Terre cultivés en OGM en 2012 ! Combien le seront cette année ?..
Christian VELOT nous propose une description magistrale des dessous de "l'affaire SERALINI". L'expérience vue de l'intérieure
parce ceux qui en ont été les protagonistes. Ce que les médias ont pu en dire et ce qu'ils n'ont pas souhaiter dire..
- Christian VELOT est Docteur en Biologie et Enseignant-Chercheur en génétique moléculaire à l'Université Paris-Sud 11. Il est
responsable d'une équipe de recherche située sur le Centre Scientifique d'Orsay et rattachée au « Pôle Risques » de l'Université de Caen. Membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN (Comité de
Recherche et d'Information Indépendantes sur le Génie Génétique Génétique : http://www.criigen.org/ ) et administrateur de Fondation Sciences Cityoyennes (FSC : http://sciencescitoyennes.org/ ), il est aussi co-fondateur et Vice-Président d'un réseau de chercheurs européens engagés pour
une responsabilité sociale et environnementale (réseau ENSSER : http://www.ensser.org).
Parallèlement à son activité d'enseignement et de recherche, il anime de nombreuses conférences didactiques à destination du grand
public sur le thème des OGM. L'une d'elles a notamment servi de document de travail à l'intergroupe OGM du Grenelle de l'Environnement. Il est également souvent intervenu en tant que
témoin-expert dans les procès de faucheurs volontaires.
Christian Vélot fait partie de ces lanceurs d'alerte qui oeuvrent pour faire valoir la réalité de certains risques et engager des
débats démocratiques, là où l'obscurité et l'opacité sont de règle. Il est l'auteur des ouvrages « OGM : tout s'explique » (Editions Goutte de Sable, 2009) et « OGM, un choix de société »
(Editions de l'Aube, 2011).
Autre conférence de Christian Velot, donnée a Toulouse en 2005, il y donne une explication scientifique très pédagogique de ce
que sont les OGM.
Cette video est en ligne car son auteur encourage sa propagation, mais elle fait par ailleurs partie d'un DVD qui coûte 10 euros et
dont les recettes servent a soutenir le mouvement des faucheurs volontaires. Vous pouvez le commander sur le site de la Confédération Paysanne en suivant ce lien : http://www.confederationpaysanne.fr/i...
Rencontre à Bruxelles avec Mu, scientifique de l'environnement, qui a la maladie des Morgellons depuis 10 ans.
Beaucoup de malades ignorent ce qu'ils ont, parce que très peu de médecins ont connaissance de cette maladie étrange, sujette
à controverse. Il faut que les malades puissent se mobiliser afin de médiatiser, puis provoquer une vrai recherche sur cette maladie qui n'a rien de commun. Elle est la pointe de l'iceberg de
quelque chose qui échappe au contrôle? Il s'agit de nanotechnologie..... Le Professeur Citowski, biologiste, dit a propos de ces fibres: "rien de connu par l'homme".
Si vous pensez avoir le Morgellons, entrez en contact avec Alfalfa qui vous fera rencontrer d'autres malades. http://morgellon.over-blog.com/
Voir sur le Web les travaux de Caroline Carter, Dr Citowski, et Hildegarde Staninger.
Les personnes isolées qui pensent être atteinte de cette maladie peuvent m'envoyer un message privé, je les mettrai en contact avec
d'autres malades. Ceci dans le but d'évaluer aussi la réelle étendue de la maladie, en attendant une information plus étendue par les médias.
« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.
Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.
Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité.»