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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 12:23

Source : Bistro Bar Blog

 

http://4.bp.blogspot.com/-MvZy9OaIMnY/UNsRS49jNPI/AAAAAAAAMXU/z2Br-h2Zs20/s1600/vaccins.jpg

 

(NaturalNews) Si vous avez des enfants, vous êtes plus que probablement déjà au courant des "Calendriers de vaccination" des centres de contrôle et de prévention des maladies, qui recommandent aujourd'hui un stupéfiant lot de 29 vaccins à donner entre la naissance et six ans, y compris les vaccins annuels contre la grippe, ainsi qu'entre cinq et seize autres vaccins entre 7 et 18 ans. Mais un récent rapport d'enquête rédigé par le Dr Lucija Tomljenovic, dévoile plus de 30 ans de documents cachés du gouvernement qui décrivent ces calendriers de vaccination comme un canular complet, sans parler du mensonge des vaccins eux-mêmes pour assurer une réelle protection contre les maladies.



Bien que son étude se concentre principalement sur les dissimulations du système de santé britannique élaboré concernant la triste vérité de son propre programme de vaccination national, les principes de conclusions de l'étude s'appliquent toujours aux calendriers de vaccination en général, qui sont généralement conçus dans le but de servir les intérêts des entreprises plutôt que la santé publique. Il s'avère que les autorités gouvernementales, qui tentent actuellement de satisfaire les objectifs privés de l'industrie du vaccin, ont délibérément dissimulé aux parents des informations pertinentes sur les dangers et l'inefficacité des vaccins afin de maintenir un taux élevé d'acceptation de la vaccination. Et dans le processus, ils ont risqué des effets secondaires graves et des décès pour des millions d'enfants.
 

Cacher la vérité et dissimuler les données pour encourager l'acquiescement aux vaccins

 

Grâce à plusieurs demandes par la loi sur la liberté des informations, le Dr Tomljenovic a pu obtenir les transcriptions de séances privées qui ont eu lieu depuis des années entre le Comité mixte sur les vaccins et la vaccination (JCVI en anglais), un soi-disant ''comité consultatif d'experts indépendants" qui fait des recommandations au gouvernement sur la politique vaccinale, et divers ministres britanniques de la santé. Et après s'être penchée sur cette pléthore d'informations préalablement voilée au public, le Dr Tomljenovic a fait des découvertes dérangeantes.


''Le JCVI a déployé des efforts continus pour refuser des données critiques sur les réactions indésirables graves et les contre-indications à la vaccination aux parents et aux professionnels de la santé afin d'atteindre les taux de vaccination généraux qu'ils jugeaient être nécessaires pour ''l'immunisation du troupeau'', concept qui ... ne repose pas sur des preuves scientifiques solides'', explique le Dr Tomljenovic comme introduction à son document.

"Les documents officiels obtenus par le ministère britannique de la Santé et le JCVI révèlent que les autorités sanitaires britanniques se sont engagés dans cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de vaccination."


Ce sont des accusations graves, mais les informations recueillies par le Dr Tomljenovic parlent d'elles-mêmes. Non seulement le JCVI ignore régulièrement les questions de sécurité comme il en ressort d'un calendrier de vaccination en pleine expansion, mais le groupe a censuré activement et volontairement les données défavorables qui jettent une lumière «négative» sur les vaccins afin de maintenir l'illusion que les vaccins sont sûrs et efficaces. De plus, le JCVI a régulièrement menti à la fois au public et aux autorités gouvernementales à propos de l'innocuité des vaccins, afin de veiller à ce que les gens continuent de faire vacciner leurs enfants.

 

Vous pouvez accéder à l'article complet du Dr Tomljenovic ici (en anglais):
http://www.ecomed.org.uk/wp-content/uploads/2011/09/3-tomljenovic.pdf


Le JCVI était pleinement conscient des dangers du vaccin ROR dès 1989, mais l'a caché

 

À la page trois de son rapport, le Dr Tomljenovic commence à décrire les détails sordides des réunions organisées dès 1981 où le JCVI s'est clairement engagé dans la fraude, la dissimulation, et le mensonges sur les vaccins pour protéger l'industrie du vaccin, et non les enfants, des maladies . Des procès-verbaux de ces réunions révèlent que le JCVI a activement tenté de dissimuler de graves effets secondaires associés aux vaccins courants comme celui contre la rougeole et la coqueluche, qu'on a tous deux clairement reliés pour causer en même temps de graves lésions cérébrales chez un pourcentage important d'enfants qui les ont reçus.


Particulièrement préoccupante est la façon dont le JCVI a manipulé les données défavorables sur le controversé vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. 10 ans avant que le Dr Andrew Wakefield ne publie son étude sur le vaccin ROR dans The Lancet, le JCVI était déjà pleinement conscient du lien clair établi par l'Institut national des Standards et Contrôles biologiques entre le vaccin RRO et la méningite et l'encéphalite induites par vaccination. Mais plutôt que de présenter cette information et demander d'autres évaluations de sécurité sur le vaccin, le JCVI a préférer censurer cette information critique au public, et a manifestement menti depuis des années au sujet de la sécurité du vaccin ROR .

«L'ampleur des préoccupations du JCVI pour les implications de l'évaluation scientifique de l'innocuité du vaccin sur la politique vaccinale explique pourquoi ils se sont opposés à toute surveillance à long terme des troubles neurologiques graves après vaccination», écrit le Dr Tomljenovic. " Au lieu de réévaluer la politique de vaccination, au moins jusqu'à ce que les problèmes de sécurité aient été pleinement évalués, le JCVI a choisi de soutenir la politique existante basée sur les preuves incomplètes qui étaient disponibles à ce moment-là."

En d'autres mots, le JCVI était plus soucieux de protéger la réputation du dangereux vaccin ROR, ainsi que de nombreux autres vaccins douteux, que de protéger les enfants des dommages sévères dus aux vaccins. En ce qui concerne le vaccin ROR, cette information cruciale non seulement renforce la légitimité des découvertes du Dr Wakefield 10 ans plus tard, qui avaient été déclarés irrecevables et frauduleuses par l'Establishment médical, mais montre aussi la durée douloureusement longue de cette escroquerie.
Les fabricants de vaccins invités à manipuler les fiches techniques et à falsifier les études sur la sécurité pour promouvoir les vaccins
Si ce n'est pas suffisant, le Dr Tomljenovic a aussi peiné sur la somme conséquente d'informations concernant les habitudes de longue date du JCVI d'encourager les fabricants de vaccins à modifier volontairement et conformément à leurs recommandations leurs fiches de données afin de produire des vaccins dangereux et inefficaces qui semblent sûrs et efficaces. Lorsque le guide des contre-indications de la JCVI pour le vaccin ROR, par exemple, ne correspond pas à celles du fabricant du vaccin, le JCVI chargeait apparemment le fabricant de modifier ses fiches techniques pour éviter les ''problèmes juridiques''.

De même, la politique officielle du JCVI était de sélectionner les études fiables soutenant ses propres opinions sur les vaccins plutôt que de prendre en compte des études indépendantes et scientifiquement solides pour formuler les recommandations de politique vaccinale. Une fois de plus, la position du JCVI sur la sécurité et l'efficacité du vaccin ROR en est un excellent exemple, lorsque le groupe a d'arrache-pied ignoré de solides études sur le ROR, pour favoriser des études de paccotille soutenues par l'industrie, comme le tristement célèbre compte-rendu de Cochrane en 2005, qui ne prouve techniquement rien sur la prétendue sécurité du vaccin ROR parce que les 31 études évaluées n'ont même pas répondu aux critères méthodologiques du groupe de base.


''Au cours des années, le JCVI n'a cessé de promouvoir le vaccin ROR comme sans danger, en se basant sur des études qui se sont révélées soit non pertinentes, peu concluantes ou méthodologiquement contestables", explique le Dr Tomljenovic, ajoutant que le JCVI choisit systématiquement de s'appuyer sur d'imparfaites études épidémiologiques qui ont juste identifié ''associé à'' plutôt que ''causé par'', une inexactitude plutôt ironique en regard de la manière dont l'establishement examine généralement les études qui contredisent ses propres positions.

L'article de 45 pages de révélations continue avec des explications sur la manière d'établir les calendriers vaccinaux par une minimisation calculée des problèmes de sécurité vaccinale et le sur-gonflage des avantages des vaccins, la promotion de dangereux nouveaux vaccins dans le calendrier pédiatrique par la supercherie, la dissuasion pour des études sur le danger des vaccins, et le lavage de cerveau généralisé du public par le biais de la manipulation et les tours de passe-main des scientifiques.

SOURCE

Traduit par Hélios
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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 12:54

VIA : SCOOP.IT

SOURCE : FUKUSHIMA.INFORMATION

 

Depuis le 2 Novembre de nombreux veilleurs de Fukushima observaient des évènements étranges dans le réacteur N°2 comme notre confrère

 

Trifouillax du blog de Gen4 qui écrivait :

 

L’iode 131 a toujours été signalé dans un endroit ou un autre du Japon


S’il n’y avait pas de criticité, il n’y aurait pas non plus d’iode 131. Or, ce radio-nucléide a été retrouvé en permanence au Japon. En fait, il n’a jamais complètement disparu, ce qui aurait du être le cas quelques semaines au plus après la fusion initiale du combustible.

La vérité crue : Tepco n’a jamais repris le contrôle sur le combustible !


Certains commentateurs, dont vos serviteurs, s’époumonaient depuis longtemps à le répéter à qui voulait bien écouter. L’opérateur et les autorités tentaient d’étouffer au mieux cette triste constatation mais quelque chose a finalement du les pousser à enfin faire cette communication. Voyons, quel peut être l’élément déclencheur de cette révélation soudaine ?


Tepco aurait retrouvé, à part le Xénon-133, un autre élément prouvant une criticité résiduelle entretenue depuis le 12 mars


Selon une source non officielle (main d’œuvre sous-traitante sur le site), Tepco aurait annoncé à la JAEA qu’un autre radio-nucléide similaire au radio-Xénon et confirmant cette fois-ci une criticité entretenue depuis le phénomène de fusion des cœurs aurait également été retrouvé dans les gaz prélevés à la sortie du confinement de l’unité n°. 2. (Vidéo, 1:24, Anglais) . Tepco aurait demandé à la JAEA de réviser la situation de la centrale suite à la découverte de cet élément nouveau et qu’il était possible que cette situation se reproduise au niveau des unités n°. 1 et 3.

Source : NHK Anglais (Vidéo), 02/11

Pourquoi l’eau borée n’a et n’aura plus aucune incidence sur le contrôle de la criticité


Pour avoir un effet, l’acide borique mélangé à l’eau censée refroidir le combustible doit l’atteindre ou au moins s’en approcher. Or, premier écueil, si le combustible n’est plus en cuve, l’eau injectée ne l’atteindra que par l’intermédiaire du canal percé par le combustible pour s’échapper ; ce dernier est en général assez étroit compte tenu des caractéristiques du corium. Même en admettant que l’eau se fraye un chemin, elle n’approchera jamais assez près du corium car elle sera vaporisée avant ; le plus gros de l’acide borique manquera sa cible car il sera à son tour décomposé par la chaleur dégagée par le combustible critique.


Les Russes utilisent du Nitrate de Gadolinium lors des phénomènes de reprise de criticité encore constatés sur le corium de Tchernobyl, peut-être cet élément est-il plus efficace ? Si cela fonctionne à Tchernobyl, pourquoi les Japonais continuent-ils à ignorer les rares leçons apprises de cet accident ?


Une autre explication foireuse d’un « spécialiste » de la NISA


Le porte-parole de l’agence de sécurité nucléaire Japonaise, M. Moriyama, aurait déclaré que la plupart des barres de contrôle ayant fondu avec le combustible, elles continueraient à agir sur la production de Neutrons ; sauf que… nous avons depuis longtemps expliqué que les élément en cadmium formant les barres de contrôle changeaient de phase (2) bien avant (1300-1500° C) que le corium n’atteigne sa température maximale (3000 ° C). Désolé pour la NISA, il faudra trouver une autre excuse.


Si le phénomène de criticité reprend ou se poursuit, il s’accompagne obligatoirement d’un dégagement de chaleur et de vapeur. Deux éléments qui continuent de décroître au niveau de la cuve du réacteur n°. 2. C’est une preuve supplémentaire que le plus gros du combustible fondu s’est échappé de l’ex-réacteur et probablement du confinement.


Une fois le combustible sorti de la cuve principale, plus rien ne peut agir sur lui et plus aucune mesure ne peut aller constater sa chaleur, sa température, ou ses autres caractéristiques. Toute la technologie et la science atomique s’arrêtent brusquement une fois cette petite cuve transpercée.L’opérateur et les autorités peuvent bien accumuler les déclarations lénifiantes et les effets de manche en Tyvek (1), ils sont impuissants.


Le Fukushima Diary lui aussi  signalé l’augmentation non identifiée de la température dans le Reacteur N°2  le 30/12/2012. (Cf. [trouble?] Un thermomètre de reactor2 RPV indiquant l’augmentation rapide de la chaleur, il a atteint 152,1 ℃ sur 30/12/2012 [ Lien ]) 


Dans ce reacteur, un autre thermomètre indique aussi une augmentation de la température. Il est situé sur le haut de la cuve. 


Selon Tepco, il est fiable et peut être utilisé pour l’observation.


↓ Le bleu est la température indiquée par le thermomètre initialement déclaré. Le rouge est celui du thermomètre situé sur le dessus de RPV2. Ça monte vers la fin de Décembre. 2012.


Un autre thermomètre il partie supérieure de la peste bovine est indiquant la température augmente dans reactor2

 

↓ [Regardez la tendance] La comparaison de la température indiquée par les 2 thermomètres depuis le début de Décembre. 2012. L’axe de gauche est pour la ligne rouge, l’axe de droite est de la ligne bleue.


2 Un autre thermomètre il partie supérieure de la peste bovine est indiquant la température augmente dans reactor2

 

Localisation ↓ du thermomètre.


3 Un autre thermomètre il partie supérieure de la peste bovine est indiquant la température augmente dans reactor2

 

Il semble donc que les PCV de la centrale de Fukushima soient devenus des CHECKER A CORIUMS,  et que ces derniers développements indiquent que l’arrêt à froid soit en fait repoussé à une date très lointaine !

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 12:49

Via : SOTT

 


La galaxie Andromède vue par le télescope spatial infrarouge américain Wise en février 2010. © JPL. Caltech / Sipa Press

 

C'est un lycéen strasbourgeois de 15 ans. Sa découverte lui vaut de faire la une du magazine scientifique britannique "Nature".

Avec son père astrophysicien anglais du CNRS et d'autres chercheurs, il a découvert qu'une grande partie des galaxies naines voisines de la galaxie géante Andromède effectue une rotation autour de cette dernière. Une théorie qui remet en cause "tout un pan de l'astrophysique moderne", a réagi fièrement sur RTL Rodrigo Ibata, père de Neil.

À la fin des vacances d'été, son père a voulu lui apprendre la programmation. "J'ai demandé à mon fils de programmer une modélisation des mouvements de ces galaxies naines et en un week-end, il a découvert qu'elle formait un disque qui tournait !" a expliqué Rodrigo Ibata dans le journal L'Alsace. Rodrigo Ibata et son équipe ont ensuite interprété les résultats pour en conclure que le placement des petites galaxies autour des grosses ne se fait pas de manière aléatoire.

La théorie de la gravité à revoir ?

Neil a avoué sur RTL que la tâche avait été "relativement complexe". "J'ai pu utiliser les notions de vecteur qu'on avait abordés récemment avec mon professeur de mathématiques." Selon ce lycéen en 1re scientifique, ces travaux remettent en cause la théorie de la gravité. En tout cas, "il y a quelque chose qui ne va pas, mais on ne sait pas où."

"Cela faisait plusieurs années que des astronomes prétendaient que les galaxies naines situées dans le voisinage de plus grosses structures comme Andromède ou notre Voie lactée n'étaient pas réparties de façon aléatoire", a déclaré Neil au Figaro. "La physique d'Einstein et de Newton n'est pas exactement correcte", a ajouté son père sur RTL. Neil, qui n'avait pas "bien compris sur le moment les implications que sa découverte pouvait avoir", aimerait travailler la physique théorique plus tard. Il a sans nul doute un bel avenir devant lui.

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 12:46

Via : SOTT

 

JP Morgan Chase bank

© Keystone
La banque parviendra-t-elle a un accord à l'amiable avec l'agence fédérale ?

 

Une agence fédérale américaine de supervision des banques coopératives, a engagé des poursuites contre la banque, l'accusant d'avoir vendu pour 2,2 milliards de dollars de titres adossés à des prêts immobiliers avant la crise.

La plainte porte sur des opérations réalisées par Washington Mutual, dont les activités bancaires ont été rachetées par la banque JPMorgan Chase en septembre 2008, au plus fort de la crise financière. L'agence fédérale américaine de supervision des banques coopératives NCUA, accuse Washington Mutual et sa maison mère actuelle JPMorgan Chase d'avoir trompé trois banques coopératives, U.S. Central, Western Corporate et Southwest Corporate, en leur vendant des produits dérivés complexes adossés à des prêts immobiliers très risqués.

Ces trois banques coopératives sont « devenues insolvables et ont donc dû être placées sous tutelle de la NCUA puis liquidées à la suite des pertes essuyées à cause de ces titres », précise le communiqué.

« Les dégâts causés par les actes de sociétés comme Washington Mutual ont coûté très cher à contenir et réparer, et ce travail n'est pas encore terminé », et « toutes les banques coopératives que nous supervisons et assurons ont dû partager ce fardeau », a commenté la présidente du conseil d'administration de la NCUA, Debbie Matz, citée dans le communiqué.

Selon la plainte, Washington Mutual a fait « de nombreuses représentations fausses et beaucoup d'omissions sur des faits importants » dans ses documents présentant ces produits aux investisseurs. La NCUA a engagé des poursuites similaires contre Barclays Capital, Credit Suisse, Goldman Sachs, RBS Securities, UBS Securities, Wachovia (racheté par Wells Fargo) et Bear Stearns (racheté par JPMorgan Chase). L'agence fédérale est parvenue à des accords amiables pour plus de 170 millions de dollars avec Citigroup, Deutsche Bank Securities et HSBC.

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 15:36

Source : Agoravox

 

Selon un décret publié au Journal Officiel (2011), découlant d'une réglementation européenne de décembre 2006, les états membres, donc la France, devront à partir de l'année 2013 commencer à uniformiser le permis de conduire.


Le futur permis de conduire avec puce éléctronique devra être renouvelé tous les 15 ans.

 

 

Fini le permis à vie !

La France ne fait que se mettre en conformité avec une réglementation européenne de décembre 2006, sur l'harmonisation du permis dans l'UE.

La délivrance du nouveau modèle de permis de conduire est repoussée au mois de septembre 2013 (au lieu de janvier 2013), en raison de difficultés informatiques. Par contre, la réforme concernant les nouvelles catégories de permis doit entrer en vigueur, comme prévu, à compter du 19 janvier 2013. C’est ce qu’a indiqué le ministère de l’intérieur vendredi 30 novembre 2012. source   Publié le 05.12.2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Selon un décret publié au Journal Officiel (2011), découlant d'une réglementation européenne de décembre 2006, les états membres, donc la France, devront à partir de l'année 2013 commencer à uniformiser le permis de conduire.

Le nouveau permis de conduire sera équipé d'une puce éléctronique (et une bande de lecture optique), comme les passeports et les cartes d'identité il devra être renouvelé tous les 15 ans - permis A, A1, A2, B, B1, BE et "AM"  - et on parle déjà de réduire ce délai à 10 voire 5 ans par la suite.

Les permis de conduire de catégories C (poids lourd) et D (transports en commun) devront quant à eux être renouvelés tous les 5 ans.

Le nouveau permis "européen" aura la taille d'une carte bancaire.

Un renouvellement est sans l'obligation pour les titulaires de passer un nouvel examen, calque sur le principe des cartes d'identité et les passeports.

Les titulaires d'un permis de conduire antérieur au 19 janvier 2013 devront l'échanger avant 2033.

Quelles données seront enregistrées sur la puce éléctronique

Les données dans la puce, accessibles via un système informatique, permettront aux forces de l'ordre d'accéder en temps réel au dossier d'un conducteur en cas de contrôle, ceci dans toute l'Union.

Sur la puce seront stockées des données comme l'état-civil, photo, empreintes digitales, signature électronique et même... état de santé.


Quelles seront les conditions de renouvellement ?

source

Outre quelques journées perdues à faire la queue à la préfecture pour les formalités administratives, il faudra aussi en découdre avec un examen médical systématique aux conditions draconiennes, à l'issue duquel plusieurs cas de figure sont envisagés :

1. Vous êtes déclaré inapte à la conduite et on vous retire définitivement votre permis. Que vous n’ayez eu aucun accident dans votre vie n’y changera rien, vous pouvez dire adieu à votre mobilité.



2. On ne vous juge pas totalement inapte, mais on se rend compte que vous avez quelques problèmes mineurs pouvant affecter votre conduite : tout est prévu ! Vous aurez un permis de conduire « restreint », c'est-à-dire que vous ne pourrez circuler que sur des types de routes ou dans des conditions prédéfinies. Par exemple, on peut vous autoriser à ne conduire que de jour, vous interdire d’emprunter l’autoroute ou restreindre votre périmètre de conduite à un nombre limité de kms autour de votre domicile. Toutes ces restrictions seront inscrites dans votre carte à puce, et si vous ne les respectez pas à la lettre, vous serez verbalisé.

3. Vous avez de la chance et faites partie du groupe restreint de conducteurs en parfaite santé : on vous autorise à continuer de rouler, jusqu’à la prochaine fois…

Quel sera le cout du nouveau permis ?

Le coût de développement de ce nouveau permis numérique est estimé à 40 millions d'euros et le coût de fonctionnement du système d'édition des titres à 20 millions supplémentaires par an.

Pour référence : Un passeport biométrique coute 86 Euro, il est donc fortement probable que le nouveau permis à puce éléctronique avoisinéra un prix equivalent !

D'ici vingt ans, ce dispositif nous aura déjà coûté presque un demi-milliard d'euros.



sources :

http://www.ants.interieur.gouv.fr/a...

http://lci.tf1.fr/france/societe/le...

http://www.focus.de/politik/weitere...

http://www.autofahrer-online.de/all...

http://www.liguedesconducteurs.org/...

http://legifrance.gouv.fr/affichTex...

http://www.service-public.fr/actual...

http://www.techno-science.net/?ongl...

http://www.net-iris.fr/veille-jurid...

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 15:19

Source : expovaccins

 

Seringue nerfs Gaia  Photo GaiaHealth

 

 

Alors que les crimes corporatistes sont de plus en plus dénoncés, ceux qui se prétendent les « tenants du progrès » ont cru bon de faire une unique exception en matière de santé. Faisant confiance au discours des entreprises, ils n’hésitent pas à présenter leurs enfants à la seringue qui leur injectera des OGM brevetés de l’industrie.

 

Ces « tenants du progrès » considèrent que les entreprises mettent généreusement tout en œuvre pour trouver des remèdes aux maladies, en vue d’ assurer la santé du monde grâce à la médecine moderne, aux nouveaux médicaments, au génie génétique, aux cellules souches et aux vaccins.

 

Pour en arriver à croire que les entreprises sont, avec autant de compassion, dévouées à la santé, les « tenants du progrès » doivent avoir sérieusement dû mettre entre parenthèses leur pensée critique, la recherche elle-même, ainsi que le questionnement politique qu’ils appliquent à toutes les autres formes d’entreprises. En lieu et place, ils ont choisi de faire confiance aux agences gouvernementales gérées par les « autorités sanitaires » qui, elles-mêmes, sont financées par les entreprises…

 

Certains des nouveaux vaccins à ADN injectent des éléments génétiquement modifiés et brevetés dans le corps des gens. En injectant de l’ADN, ces vaccins visent à modifier l’ADN même de la personne qui subit le vaccin.

 

Comment ces « tenants du progrès » qui s’insurgent contre les manipulations génétiques des plantes et des animaux peuvent-ils perdre de vue que les nouvelles générations de vaccins qui sont injectés à leurs propres enfants, modifient elles aussi leur ADN, et souvent de la même manière que Monsanto modifie les semences (avec un canon à gènes) ? On injecte donc dans le corps de leurs enfants des éléments synthétiques brevetés qui sont supposés s’incruster dans l’ADN même de leurs enfants.

 

Les vaccins sont conçus pour modifier génétiquement ceux qui les reçoivent.

 

Comment ces « tenants du progrès » ont-ils pu perdre de vue que leurs enfants sont imprégnés d’OGM brevetés de l’industrie, qui contaminent l’ADN de leurs enfants et qui auront un impact non seulement sur leur vie mais aussi sur toute leur descendance ?

 

Comment ces « tenants du progrès » peuvent-ils avoir perdu de vue qu’après avoir reçu ces vaccins, leurs enfants auront, non pas deux, mais trois lignées parentales génétiques dans leur ADN, une de leur mère, une de leur père et une d’une industrie parmi les plus meurtrières au monde ?

 

Comment ces « tenants du progrès » n’ont-ils pas réalisé le viol inhérent que représentent ces vaccins injectés à leurs enfants parfois sans, ou même contre, le consentement de leurs parents, avec du matériel biologique synthétique. La chose n’est-elle pas pire qu’un viol du fait que les vaccins auront un impact non seulement sur l’ADN de l’enfant vacciné, mais sur celui de ses descendants, comme sur celui de tous les descendants de cet enfant.

 

Les êtres humains sont toujours issus de deux sources : leur père et leur mère. Sans qu’elle demande la permission de la personne, des parents, sans que ces derniers en aient même connaissance, l’industrie pharmaceutique à, pour la première fois dans l’histoire humaine, introduit une troisième source inhumaine, d’origine corporatiste au moyen de matériel synthétique.

 

Qui peut prétendre avoir des droits sur le sang, les tissus et les organes d’un adulte ou d’un enfant ? L’adulte ou l’enfant auraient-ils cessés d’être des enfants de la Grande Nature, de leurs propres parents pour devenir en partie des produits sur lesquels  Big Pharma  pourrait, dans le futur, faire valoir ses droits ?

 

S’il n’y a pas moyen d’arrêter cet « ensemencement » pharmaceutique d’un enfant ou d’un adulte avec du matériel de synthèse, comment la rupture de leur propre intégrité biologique pourrait-elle différer d’un viol pur et simple ? Celui qui violente une femme la force par le fait même à reproduire sa propre lignée ? Ou se trouve la différence ?...

 

Qui sait ce que ces sociétés commerciales seront capables de revendiquer dans l’avenir par rapport  à l’ADN, aux cellules souches, organes, sang et os de ceux qui auront reçu des injections de leur produits brevetés, de leur « propriété intellectuelle » ?

 

Une vidéo de 5 minutes http://www.youtube.com/watch?v=SXAeUrG_nrY


peut montrer à tous les « tenants du progrès » qui croient encore aux vaccins que notre propre gouvernement (US) sait depuis 40 ans que les vaccins représentent une menace pour la santé.

 

 

Extraits de la vidéo 

  genetiquement-2.JPG

  

« Le gouvernement a perdu toute autorité morale après des décennies de vaccinations obligatoires » Louise Kuo Habakus,

(mère d’enfants handicapés après vaccinations)

 

Genetiquement-3.JPG

  Jim TURNER, Juriste

 

« 2 milliards de dollars ont été payés par le gouvernement en dédommagement aux victimes des vaccinations (handicaps et décès) qui avaient été contraintes de se faire vacciner. Un gouvernement qui exige de tous ses enfants de consommer des produits, tout en sachant que certains seront handicapés ou mourront, a perdu toute autorité morale ; cela relève d’une immoralité fondamentale ! »

 

http://www.thenhf.com/article.php?id=3555

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 15:11

Source : Global Relay

 

http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTOPEiAHpI3eY5HeBfQMV28QtCrzIZLLpUy-Uk53mhzMIuA4BQO3t6s7oDv

 

Soutenue par des multinationales, la Commission européenne pousse secrètement à la privatisation de l’eau en Europe, affirme le site de la télévision allemande « Monitor ». L’accès à l’eau de qualité est reconnue comme un droit fondamental par l’ONU, mais si ces multinationales parviennent à obtenir ce qu’elles souhaitent, elles pourront se partager un pactole constitué de milliards d’euros.

 

La Commission a commencé à promouvoir la privatisation de l’eau pour les pays touchés par la crise et qui ont bénéficié de plans d’urgence, comme la Grèce et le Portugal par exemple. La troïka a parfois imposé cette privatisation, qui est alors expressément prévue dans les contrats qu’elle leur fait signer. En Grèce, les grands aqueducs d’Athènes et de Thessalonique ont été vendus. Pour le consommateur, la privatisation a des conséquences importantes. Au Portugal dans la ville de Pacos de Ferreira où la compagnie des eaux « Aguas de Portugal » a été privatisée, la facture d’eau a augmenté de près de 400% en quelques années, et chaque année, elle continue d’augmenter au rythme de 6%. Mais ce n’est qu’un début, affirme Monitor : la Commission cherche désormais à étendre cette privatisation aux autres pays européens.

 

Selon Heide Rühle, une parlementaire allemande européenne qui représente les Verts allemand, l’UE met tout en œuvre pour imposer discrètement la privatisation de l’eau en Allemagne. D’après le commissaire européen Michel Barnier, cependant, la décision de la fourniture de l’eau sera toujours entre les mains des municipalités, et il s’agit simplement de leur donner la possibilité de faire appel à un partenaire privé réglementé pour le bénéfice du consommateur.

 

Or, une étude menée par l’Université de Barcelone en 2010 indique que la privatisation de l’eau n’a pas toujours favorisé la baisse des prix, et que dans certains cas, la qualité de l’eau s’est dégradée, parce que les entreprises privées qui ont pour objectif premier de réaliser des bénéfices ont une tendance à moins entretenir et rénover l’infrastructure. Les promesses faites au moment de la privatisation sont rarement tenues.

 

Pour les investisseurs, l’eau est devenue une marchandise de premier plan. Le marché de l’eau représente chaque année des centaines de milliards d’euros en Europe, et les grandes multinationales tentent d’obtenir la signature de contrats. Les petites entreprises locales de l’eau ne peuvent pas rivaliser avec les prix de dumping que peuvent offrir les grandes firmes telles que Veolia, RWE, Gelsenwasser et Thames Water. Ces société font du lobbying et elles conseillent les Eurocrates. La Commission européenne est par exemple guidée par un groupe de pilotage qui comprend des représentant des grandes firmes de distribution d’eau.

 

Des groupes de défense protestent contre cet état de choses. Ils se réfèrent à des expériences passées comme à Londres, Bordeaux et Berlin, où la qualité de l’eau s’est dégradée suite à la privatisation : tuyaux pourris, contamination de l’eau potable, et ajout de chlore pour maintenir l’hygiène.

 

Le 15 mai 2011, un groupement d’associations, dont ATTAC, a ainsi adressé un courrier à la Commission pour manifester son mécontentement et réclamer la fin des mesures visant à privatiser l’eau. Le 26 septembre de cette année, ce courrier recevait une réponse de la part de Gabriele Giudice, le Responsable du bureau de la Grèce pour la Commission des Affaires Economiques et Financières, expliquant que la privatisation permettrait de réduire la dette publique, qu’elle permettrait d’augmenter « l’efficacité des entreprises, et, par extension, la compétitivité de l’économie dans son ensemble, tout en attirant les investissements directs internationaux». Cependant, la Commission n’a pas fourni plus de détails pour étayer ces affirmations.

 

L’eau doit elle être un droit fondamental humain ou une mine d’or pour des multinationales ? « Bruxelles a déjà tranché : à l’avenir, l’eau appartiendra plutôt aux firmes multinationales, plutôt qu’à chacun d’entre nous », conclut Monitor.

 

express.be

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 13:17

Source : Bakchich

 

Après le brevet microsoft pour le kinect,  voici venu le projet verizon pour vos téléviseurs... Le temps de cerveau disponible et les objets du quotidien sont devenus une cible de premier choix pour les espions en tout genre.. Gardez le contrôle sur vos vies, pas le contraire !

 

http://www.digitaltrends.com/wp-content/uploads/2011/12/110202_verizon_fccsuit_reuters_328.jpg

 

Les ingénieurs de Verizon planchent sur un logiciel intégré aux téléviseurs, capable d’analyser les moindres faits et gestes des téléspectateurs tranquillement affalés dans leurs canapés…Pour ensuite leur proposer des pubs « ciblées ».

 

Souriez, ; loin de se limiter à nos seuls téléphones portables et ordinateurs, les possibilités infinies de stalking pourraient s’étendre à…nos bons vieux téléviseurs.

 

Si on se savait ciblés, géolocalisés (et probablement fichés) à la moindre connexion Internet, à l’avenir, on devra sans doute surveiller nos conversations (voire nos réactions) en glandant devant  N’oubliez pas les paroles :

L'opérateur Verizon, qui sévit déjà dans le domaine de l’Internet et de la téléphonie mobile,  serait sur le point d'intégrer un nouveau type de « tracker »  dans les petits écrans du monde entier :

 

Ce projet ambitieux, baptisé Fierce Cable, permettrait de visualiser et d’écouter les téléspectateurs en temps réel, pour mieux leur refourguer des publicités adaptées :

 

Le système, un bijou de technologie doté « d’une sensibilité aigue » prend notamment la température de votre bonheur conjugal :

 

Aux couples se câlinant tendrement devant la télé, le mécanisme, capable de détecter précisément les mouvements, enverra des pubs pour des voyages romantiques en amoureux ou encore des spots sur les contraceptifs ; si l’outil « capte » un mot doux à votre cher(e) et tendre,  une publicité de ventes de fleurs par correspondance s’affichera. Ceux qui s’engueulent, moins chanceux, se verront quant à eux bombardés de publicités suggérant des thérapies de couples…

 

Big Verizon is watching you

Cet outil d’espionnage d’un genre nouveau, dont le brevet a  été déposé le 26 Mai 2011 par quatre inventeurs, Brian  Roberts, Anthony Lemus, et Donald Relyea,( tous trois Texans) et Michael d’Argenio (basé dans le New Jersey), est  titré « Methods and Systems for Presenting an Advertisement Associated with an Ambient Action of a User » ;

 

Sa lecture nous en apprend un peu plus sur l’ambitieux projet :

 

Le détecteur numéro 104 permet par exemple de détecter votre voix si vous fredonnez une chanson: Une fois l’information enregistrée, le système en conclura que vous êtes de bonne humeur, et vous enverra en conséquence des publicités « s’adressant aux  personnes heureuses ». Ce même capteur permet de détecter la présence d’un animal ou de tout objet inanimé (chaise, repose pied, paquet entamé de Smarties) et hop, vous êtes bons pour la pub Sheba avec Eva Longoria en guest star…

 

Des possibilités déclinables à l’infini pour un véritable Big Brother à domicile : on imagine d’ici la mine réjouie des annonceurs publicitaires, pour lesquels le dernier né des projets Verizon représente une véritable mine d’or : plus besoin d’envoyer des télé-enquêteurs se faire malmener lors de pénibles sondages téléphoniques sensés cibler les comportements des consommateurs, auxquels personne n’a jamais cinq précieuses minutes à consacrer…

 

Une initiative qui, sous des dehors ludiques, flirte néanmoins dangereusement avec l’intrusion dans la vie privée ; un projet fou pas vraiment étonnant de la part de Verizon, aux liens étroits avec la NSA , le service central de Sécurité Américain qui élabore toutes sortes de systèmes dédiés à l’espionnage généralisé depuis plusieurs années, dénoncés par plusieurs whistleblowers, William Binney en têteIt’s a  small world, comme disait l’autre.

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 12:41

Source : AMESSI

 

http://www.amessi.org/local/cache-vignettes/L112xH150/arton1794-50565.jpg

 

Des particules blanches dans les seringues ont été découvertes en Italie et en Suisse. Pour le ministère de la Santé, il s’agit surtout d’une mesure de précaution

 

Des particules blanches dans les seringues ont été découvertes en Italie et en Suisse. Pour le ministère de la Santé, il s’agit surtout d’une mesure de précaution.

 

Après l’Italie, la Suisse, l’Allemagne et l’Autriche, la France a décidé de bloquer « par précaution » les lots de vaccins antigrippaux Agrippal de Novartis. Le ministère de la Santé précise avoir demandé à l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de « prendre des mesures préventives » sur les vaccins concernés commercialisés en France par le groupe pharmaceutique suisse.

 

Cet arrêt résulte de la découverte de particules blanches dans les seringues en Italie et en Suisse. Le gouvernement, néanmoins, dédramatise en affirmant qu’ « à ce stade, aucune impureté n’a été constatée en France et aucune remontée de pharmacovigilance n’a été relevée. Il n’y a actuellement pas d’indication de danger connue pour les patients ayant utilisé cette marque sur le territoire national.

 

« Toutefois, par mesure de précaution, ajoute le communiqué, les lots de vaccins stockés chez les grossistes répartiteurs et dans les pharmacies ont été bloqués dans l’attente de l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMA) ».

 

Agrippal est la seule marque de vaccins contre la grippe de Novartis commercialisée en France. Elle représente moins de 2% du marché français. On peut donc continuer à se faire vacciner contre la grippe saisonnière avec d’autres marques comme Vaxigrip, Fluarix, Influvac ou Immugrip.

 

De surcroît, le directeur général du laboratoire suisse, Joe Jimenez se veut rassurant et estime que cet arrêt imposé par plusieurs pays pèsera peu sur ses ventes globales puisque l’impact devrait être inférieur à 50 millions de dollars

. Au troisième trimestre 2012, Novartis a réalisé avec les produits anti-grippaux plus de 500 millions de dollars de chiffre d’affaires. Durant la même période, le chiffre d’affaires consolidé a atteint 13,8 milliards.

Par ailleurs, Joe Jimenez estime que les particules inhabituelles vues dans les seringues pourraient n’être que des agglutinations de composants ordinaires du vaccin. « Nos enquêtes ont montré qu’il n’y a aucun risque quant à l’efficacité et la sécurité. Nous avons informé les autorités italiennes, et nous coopérons avec Swissmedic », l’autorité suisse en matière de médicaments, a-t-il assuré.

 

Par Les Echos

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 12:06

Source : BastaMag

 

En France, 3,5 millions de personnes ont recours à l’aide alimentaire, ces produits de première nécessité distribués par les organisations caritatives. Financée grâce au budget européen, cette aide est aujourd’hui remise en cause. Les efforts déployés depuis plusieurs années pour améliorer la qualité de ces aliments, et ne pas enfermer les plus précaires dans la malbouffe, seront-ils réduits à néant ?

 

 

120 millions de personnes menacent, en Europe, de sombrer dans la pauvreté. Les gouvernements européens, qui discutent en ce moment du budget 2014-2020, hésitent cependant à prolonger le financement de l’aide alimentaire destinée aux plus pauvres. C’est pourtant une minuscule part d’un énorme budget : 0,4% sur 1 000 milliards d’euros ! Né en 1987, le Programme européen d’aide aux plus démunis prévoit que les excédents agricoles – sous lesquels croule alors l’Europe – soient redistribués à celles et ceux qui en ont besoin. Depuis, les excédents se font rares. L’Europe aligne donc du cash : des subventions versées aux associations au titre de l’aide alimentaire (500 millions d’euros en 2012) et l’achat direct de produits destinés à être redistribués (383 millions) s’ajoutent à la reprise d’excédents agricoles (177 millions).

 

Tous les États membres ne bénéficient pas de cette aide, qui passe par le budget de la Politique agricole commune (PAC). Certains pays, comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni refusent d’y recourir. « L’Angleterre considère que l’Union européenne doit rester un grand marché et l’Allemagne pense que l’Europe ne doit pas s’immiscer dans les politiques sociales, gérées par les Lands », précise Nadège Chambon, chercheuse à l’institut Notre Europe.

 

Austérité pour les plus démunis


Les principaux bénéficiaires sont l’Italie (95 millions d’euros en 2012), l’Espagne (80 millions d’euros), la Pologne (75 millions d’euros), la France (70 millions d’euros) et la Roumanie (60 millions d’euros). « Le montant de l’aide est calculé en fonction de la proportion de la population ayant un revenu inférieur à 60% du « revenu médian » national [1]. Cela a fait passer l’Espagne en tête cette année », indique Nadège Chambon. En France, quatre associations gèrent cette aide : La Croix rouge, les banques alimentaires, le Secours populaire et les Restos du cœur.

 

Mais cette aide n’est pas du goût de tout le monde : plusieurs pays, dont l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Suède [2] considèrent que l’aide aux pauvres relève de l’action de chaque État. Et refusent de payer. Début 2012, l’Allemagne obtient la condamnation de l’aide alimentaire par la Cour de Justice européenne. Le dispositif actuel n’existera donc plus en 2014. Il pourrait être remplacé par un « Fonds européen d’aide aux plus démunis » moins bien doté [3]. Soit « 350 millions par an, à partager entre 28 pays membres, contre 500 millions actuellement, détaille Gaëtan Lassale, de la Fédération française des banques alimentaires. Sachant que de nouvelles thématiques s’ajouteront à l’aide alimentaire : l’achat de biens essentiels à destination des SDF et des enfants en situation de précarité notamment ». Inquiètes, les associations se sont mobilisées pour que ce fonds voit bel et bien le jour.

 

Les pauvres, abonnés à la malbouffe ?


Il faudra donc aider mieux, et plus de familles, avec moins. Alors même que le nombre de personnes poussant les portes des soupes populaires ne cesse d’augmenter. « 3,5 millions de personnes ont bénéficié de cette aide en France l’année dernière, souligne Marianne Storogenko, de la Direction générale de la cohésion sociale, en charge du dossier. 8,5 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté et pourraient donc en bénéficier. En plus des familles monoparentales et des chômeurs, recourent aujourd’hui à l’aide alimentaire les travailleurs pauvres, les étudiants et les personnes à la retraite. »


Autre problème : la qualité de cette aide alimentaire. Les bénéficiaires de cette aide présentent souvent des troubles nutritionnels, pouvant induire des pathologies telles le diabète ou des problèmes cardiovasculaires, selon une étude menée par l’Institut de veille sanitaire [4]. Seule une personne sur dix mange les cinq fruits et légumes par jour recommandés par le Programme national nutrition santé. Suite à cet alarmant constat, les critères d’achat de denrées pour l’aide alimentaire ont été revus. Dans les appels d’offre lancés par les ministères, la qualité nutritionnelle compte pour 30% de la note, les tests gustatifs pour 40% et le prix pour 30%. « S’alimenter est un besoin fondamental, mais c’est aussi une source de bonne ou de mauvaise santé, rappelle Marianne Storogenko. Et puis, recevoir des produits de qualité, c’est nécessaire aussi pour l’estime de soi. Si on vous offre quelque chose de bon, c’est que vous êtes quelqu’un. »


Des alternatives pour un bon repas


Ces appels d’offre ne couvrent qu’un quart de l’aide alimentaire. Les 75% restants sont collectés auprès des particuliers à la sortie des supermarchés ou remis gracieusement par les enseignes de la grande distribution, qui écoulent ainsi des marchandises qu’elles ne peuvent pas vendre, pour des raisons d’ordre esthétique le plus souvent. Une autre partie des produits vient des partenariats passés entre des grandes entreprises et les associations. « Dans la relation avec les donateurs, il faut parfois s’armer de courage pour leur dire : "c’est très gentil, mais nous ne prendrons pas la cinquième tonne de pains au chocolat parce que les gens ne mangent pas que des pains au chocolat. Il nous faudrait plutôt des haricots verts" », poursuit Marianne Storogenko.

 

Des initiatives émergent pour améliorer le contenu de l’assiette de personnes obligées de recourir à l’aide alimentaire. La Fédération des paniers de la mer (PLM), par exemple, travaille avec les criées, lors des retours de pêche, pour valoriser les poissons invendus, créer des emplois sur l’activité de mareyage – l’achat de poissons en gros – et permettre de diversifier les apports en protéines. « Il ne s’agit pas seulement de remettre un produit aux gens, explique Hélènet Rochet, directrice de la fédération des PLM. Mais de leur donner envie de cuisiner, d’offrir un bon repas à leur famille. » A l’aide de fiches recettes, et à force de communication avec les bénévoles des associations, les paniers de la mer remettent au goût du jour le tacot, le congre, la roussette.

 

« Les personnes pauvres ne sont pas condamnées à le rester, estime Hélène Rochet. Et quand leurs moyens le leur permettront, ces personnes pourront reprendre le chemin des poissonneries, et participer à la valorisation de produits qu’elles connaîtront déjà. » La démarche emporte l’adhésion des pêcheurs. « Leur métier est rude. Et savoir que le fruit de leur travail n’est pas perdu est très important pour eux. »


Mieux que le discount, les épiceries solidaires


Un autre acteur a fait son entrée dans le monde de l’aide alimentaire : les épiceries sociales et solidaires (regroupées au sein de l’association Andes). Elles proposent en libre-service des produits de consommation courante, contre une participation financière de 10 à 30% du prix normal. En 2011, 130 000 personnes se sont pressées dans les 240 épiceries solidaires que compte désormais le territoire français (voir la carte.). « Pour lutter dignement contre la faim, il faut permettre aux gens de choisir », affirme Guillaume Bapst, fondateur des épiceries solidaires. « Quand on vous donne un colis, on nie votre identité : ce que vous aimez, votre façon de cuisiner... Et quand on reçoit une seule ration, on ne peut pas inviter quelqu’un à partager son repas. »



Pour remédier au déficit de fruits et légumes, l’Andes lance en 2008 « le potager de Marianne » à Rungis. Un chantier d’insertion dans lequel on trie les fruits et légumes invendus pour approvisionner les circuits de l’aide alimentaire. Des « potagers » qui essaiment à Perpignan, Marseille et Lille. En janvier dernier, une ferme maraîchère solidaire a ouvert ses portes en Basse-Normandie.

 

Des paysans dépendants de l’aide alimentaire


« Il vaut mieux récupérer des produits alimentaires que de les jeter, rappelle Guillaume Bapst. Mais la lutte contre le gaspillage ne doit pas être la seule finalité de l’aide alimentaire. Sinon, on se contente de donner aux pauvres ce que l’on a récupéré. Et on ne s’intéresse pas à leurs besoins nutritionnels. Il faut laisser l’approche purement caritative pour remettre les gens à leur place de citoyen. » Pour Marianne Storogenko, « la fourchette est un excellent outil d’insertion. Il faut faire en sorte que ces personnes se sentent soutenues et pas assistées. »


Jean-Claude Balbot, éleveur dans le Finistère, est plus radical : « L’agro-industrie produit de la pauvreté. Même des paysans deviennent clients de l’aide alimentaire ! Ou ces employés des usines agro-alimentaires qui se retrouvent sans travail. Finalement, l’agriculture n’a pas tenu ses promesses, à savoir nourrir le monde et donner du travail aux gens. » Membre actif de la fédération nationale des Civam (Centres d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural), Jean-Claude Balbot participe à un groupe de travail qui planche sur la question de l’accès à l’alimentation. Pour les Civam, il faut rapatrier l’aide alimentaire vers les territoires. « Cela coûterait moins cher à la collectivité, que ces échanges de conteneurs, de boîtes et de produits transformés », estime Jean-Claude Balbot. Pensée à petite échelle, l’aide alimentaire pourrait passer par la création de potagers collectifs, par le troc, la révision de certains prix, voire du système productif tout entier.

 

Les exclus de la qualité


Assidu de la vente directe, et producteur bio, l’agriculteur regrette le profil trop uniforme de sa clientèle, relativement aisée. « Quand je vais livrer les gens, je sais toujours à quoi m’attendre : le type de maison, de voiture, de journaux.... C’est sympa, mais cet enfermement, pour moi et d’autres collègues, est le signe d’un échec de nos modes de production. Nous tenons à garantir la qualité, mais nous excluons de fait une large partie de la population. »


La solution ? « En tant que producteur, il faut que je m’arrange pour produire quelque chose que tous les consommateurs peuvent acheter. Nous devons réfléchir au prix, très sérieusement. Est-il normal, par exemple, que les consommateurs paient une partie des emprunts que j’ai contracté pour m’installer ? Et qu’ils participent ainsi à l’accroissement d’un capital qui n’appartiendra qu’à moi. » Pour savoir ce que les consommateurs sont en mesure de payer, « il y a un vrai travail de connaissance et de reconnaissance à faire. » Les échanges entre fermes et quartiers, qu’il pratique avec d’autres collègues sont, à ce titre, très riches d’enseignements. « L’aide alimentaire que nous aimerions voir se développer doit s’inscrire dans ces échanges citoyens, dans ce partage, ces discussions où l’on réfléchit ensemble à l’accès à l’alimentation. » Le ministre Stéphane le Foll, pour qui « l’accès à une alimentation de qualité est un élément décisif pour rester inséré dans la société », prêtera-t-il attention à ces expérimentations ?

 

Nolwenn Weiler

 

Photo de une : Alain Curie via Rue 89

Notes

[1] En France, le revenu médian se situe aux alentours de 1 600 euros (il varie de 1431 euros pour une personne seule à 3 700 euros pour un couple avec trois enfants) : la moitié de la population, en fonction du type de ménage, a des revenus inférieurs et l’autre moitié dispose de revenus supérieurs.

[2] Ainsi que le Danemark, les Pays-Bas et la République tchèque.

[3] L’éventuel Fonds européen d’aide aux plus démunis (FEAD) s’élèverait à 2, 5 milliards d’euros sur 7 ans.

[4] Voir l’étude menée en 2005.

 

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 11:27

 

Source : le monde

Un étudiant du Centre de recherche et de formation sur les nanotechnologies à Tampa, en Floride, en juillet 2012.

C'est une première en Europe. Une amorce de régulation qui laisse encore à désirer, mais qui vient, tardivement, combler un vide alarmant. A compter du 1er janvier, les fabricants et distributeurs de produits contenant des nanoparticules devront les déclarer à l'Agence nationale de sécurité sanitaire afin d'assurer un minimum de traçabilité, d'informations au public et un recensement des produits mis sur le marché.

 

Alors que les nanotechnologies se répandent depuis des années dans des champs aussi variés que la médecine, l'électronique, l'énergie ou l'alimentation, cette initiative de la France ne manque pas d'inspirer d'autres pays européens, comme le Danemark – qui pourrait adopter une déclaration obligatoire dès 2014 –, la Belgique, les Pays-Bas, ou encore l'Italie, qui réfléchit à une déclaration basée sur le volontariat.

 

Si les Etats européens se mettent à agir chacun de leur côté, c'est que l'UE n'a pas élaboré, jusqu'ici, de régulation spécifique pour encadrer ces nanomatériaux aux propriétés nouvelles – et ce, malgré un grand flou autour des risques potentiels qu'ils font courir sur la santé et l'environnement.

 

En 2009 déjà, le Parlement européen demandait à la Commission de "réviser toute la législation en la matière d'ici à deux ans afin de garantir la sécurité de toutes les applications de nanomatériaux". Il estimait notamment que "la notion d'approche 'sûre, responsable et intégrée' prônée par l'Union européenne est compromise par l'absence d'informations sur les nanomatériaux qui sont déjà sur le marché".

 

SECRET INDUSTRIEL ET MANQUE DE SENSIBILISATION


S'il devenait urgent, ce premier pas de la France en laisse déjà certains sur leur faim. Comme Rose Frayssinet, du réseau écologiste Les Amis de la Terre, qui doute que, même s'il en aura désormais la possibilité, "le consommateur, bien peu sensibilisé aux nanoparticules, prenne l'initiative de rechercher s'il y en a dans sa barre chocolatée". Le gouvernement a toutefois promis "un étiquetage systématique des ingrédients nanoparticulaires" dès 2014. Une plus grande transparence donc, mais qui ne signifie pas forcément un plus grand contrôle des produits "nano" avant qu'ils ne soient mis sur le marché.

 

Autre point qui focalise les critiques : les seuils retenus pour qu'un produit soit soumis à la déclaration obligatoire. Il doit contenir au moins 50 % de nanoparticules – quand le Comité scientifique européen des risques sanitaires émergents recommandait une concentration de 0,15 %. Et ces nanoparticules doivent mesurer entre 1 et 100 nanomètres (nm). Aux Etats-Unis, la limite retenue par la Food and Drug Administration est de 1 000 nm, selon VeilleNanos.

 

Enfin, relève Rose Frayssinet, "les industriels peuvent se cacher derrière la clause de confidentialité. Donc c'est pipeau." Le secret industriel et commercial peut en effet être brandi et dispenser un producteur de déclarer la composition de son produit, ce qui rend l'obligation toute relative. Surtout si l'on considère par ailleurs le montant de la sanction en cas de non respect de la loi : 3 000 euros, avec une astreinte journalière de 300 euros. Et si l'on considère, enfin, la difficulté à contrôler les déclarations des industriels – face à une avalanche de produits divers et variés, et à des nanoparticules difficiles à détecter.

 

 LA "PARALYSIE" FACE À UNE NANO-RÉGLEMENTATION


Dans l'industrie alimentaire, les nanomatériaux sont principalement soumis, au niveau européen, au règlement "Novel Food" : les nouveaux aliments doivent recevoir une autorisation avant d'être mis sur le marché. Toutefois, comme le relève le ministère, jusqu'ici, "aucune demande d'autorisation (...) n'a été recensée au niveau européen"

 

Ils sont aussi soumis, sans disposition spécifique, au règlement européen sur les substances chimiques,"Reach", en vigueur depuis 2007. Mais, selon VeilleNanos, "en réalité, les nanomatériaux sont mis sur le marché (...) sans enregistrement préalable ni suivi, en contradiction avec le principe directeur de Reach : 'Pas de données, pas de mise sur le marché'". D'une part, parce qu'il ne s'applique pas en dessous d'une production d'une tonne par an, rarement atteinte chez les "nanos". D'autre part, parce qu'il n'oblige pas à différencier le nanomatériau de son cousin existant à l'échelle macroscopique, depuis bien plus longtemps en général (par exemple, le nanoargent de l'argent). Et ce, quand bien même leurs propriétés sont différentes.

 

En octobre, la Commission européenne a pourtant répété que Reach était "le meilleur cadre possible pour la gestion des risques liés aux nanomatériaux", tout en concédant le besoin "d'exigences plus spécifiques", auquel elle entend répondre en modifiant des annexes "après 2013". Le Conseil européen de l'industrie chimique a applaudi cette approche. Plusieurs associations, les Verts européens et la société civile un peu moins. Le Bureau européen des unions de consommateurs, par exemple, a déploré qu'"une nouvelle fois, consommateurs et environnement aient perdu face aux objectifs d'innovation et de croissance économique".

 

Lire : Les nanomatériaux vont-ils échapper au filet sanitaire européen ?


En décembre, ce sont plusieurs Etats membres, dont la France, qui ont exprimé à la Commission qu'ils ne se satisfaisaient pas d'une modification annexe de Reach pour encadrer les nanomatériaux. Les voix n'en finissent plus de se joindre pour pousser l'Europe à davantage de régulation des nanotechnologies.

 

En juillet, ce sont des scientifiques qui, dans un article de Nature intitulé "Enough is enough" (c'en est assez), dénonçaient le flot de commandes d'études scientifiques qui, au lieu de déboucher sur l'action de l'UE, ne faisait que l'enfoncer dans la "paralysie".

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 15:10

 

http://www.lefigaro.fr/medias/2010/09/01/30694030-b6ae-11df-a563-ef3372fd67d0.jpg

 

La multinationale Monsanto a fait de l’Inde le principal champ d’expérimentation de ses semences transgéniques. Mais au lieu de records de productivité, on enregistre plutôt des records de suicides: celui des paysans indiens surendettés.

 

Extrait : Figaro 09/09/2010

Dans les premières années de son utilisation, le coton Bt a suscité beaucoup d'enthousiasme de la part des observateurs. L'Inra en 2001 évoquait une hausse du rendement pouvant aller jusqu'à 80% pour une baisse de 70% de l'épandage des pesticides. Aux Etats-Unis, une étude du Conseil national du Coton, datant de 2000, fait état d'un avantage économique de 50 dollars par acre pour la culture du coton Bt.

 

Dix ans plus tard, les publications font preuve de plus de méfiance. «L'efficacité du coton-Bt n'est plus suffisante», note Michel Fok, chercheur au Cirad, dans une étude publiée en juillet dernier. Le Bt a en effet eu l'effet pervers d'ouvrir les champs à de nouvelles générations d'insectes plus résistants. Chenilles, araignées, punaises se multiplient et la sophistication des semences OGM pour faire face à ces menaces fait flamber les prix.

 

Les graines sont devenues quatre fois plus chères que les semences classiques, à 85 dollars par acre en 2009 contre 20 dollars en 2005. Le marché, inondé par Monsato, n'offre pas beaucoup de choix aux fermiers. «Le Bt est une solution à court terme. Son utilisation se transforme en un cercle vicieux d'endettement pour l'agriculteur», confirme Arnaud Apoteker, responsable de la campagne OGM de Greenpeace.

 

L'enjeu est aussi environnemental. Les produits utilisés pour traiter ces nouvelles menaces sont accusés d'appauvrir les sols. «Le changements n'était pas clairement anticipé mais il intervient aujourd'hui en Chine et aux Etats-Unis à tel point que le besoin de le contrôler chimiquement peut menacer la poursuite de la production», concluaient des chercheurs lors d'une conférence sur les OGM en Australie en 2009.

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 15:05

Depuis : les moutons enragés

 

http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2013/01/Brzezinski.jpg

 

La montée d’un « activisme populiste » est une menace au « contrôle extérieur » . Durant un discours récent en Pologne, l’ancien conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski a prévenu ses coreligionnaires élitistes qu’un mouvement de « résistance » mondial mené par un « activisme populiste » contre « le contrôle extérieur » est en train de menacer de faire dérailler la poussée vers le nouvel ordre mondial.

 

Notant au passage que la notion du XXIème siècle devant être le siècle américain est une « folie partagée », Brzezinski a déclaré que la domination américaine n’était plus possible du fait d’un changement social allant en s’accélérant par le moyen « de communication de masse instantannée telle la radio, la télévision et l’internet », qui ont ensemble stimulés cumulativement « un réveil universel de la conscience politique de masse ».

 

L’ancien conseiller à la sécurité a ajouté que « cette montée d’un activisme populiste mondial prouve être insensible à une domination extérieure du même type que celle qui a prévalu dans l’âge du colonialisme et de l’impérialisme. » Brzezinski a conclu en disant que « la résistance populiste persistante et hautement motivée de la part de gens politiquement éveillés et historiquement hostiles à tout contrôle extérieur est de plus en plus difficile à supprimer. »

 

Bien que Brzezinski a expliqué tout ceci d’une voix neutre, le contexte de l’environnement dans lequel il a fait ces déclarations, ajouté à ses commentaires précédents indiqueraient que ceci n’est pas du tout une célébration de la « résistance populiste », mais bien une lamentation au sujet de l’impact que cette résistance a sur le type de « contrôle extérieur » dont Brzezinski fut un avocat de la première heure.

 

Ces remarques furent faites au cours d’un évènement de l’European Forum For New Ideas (EFNI), une organisation qui se fait l’avocat de la transformation de l’Union Européenne en un super-état fédéral anti-démocratique, le type même de « contrôle extérieur » bureaucratique dont Brzezinski disait dans son discours, qu’il était en danger.

 

Dans ce contexte, il doit bien être compris que Brzezinski montre que la « résistance populiste » est un obstacle majeur à l’imposition d’un nouvel ordre mondial et ceci doit être plus pris comme un avertissement que comme une célébration.

 

Considérons également ce que Brzezinski a écrit dans son livre: « Between two ages: America’s role in the Technotronic Era« , livre dans lequel il se faisait l’avocat du contrôle des populations par une élite politique au moyen d’une manipulation technotronique (NdT: technocratique + électronique).

 

Il écrivait: « L’ère technotronique implique l’apparence graduelle d’une société bien plus sous contrôle. Une telle société serait dominée par une élite qui ne serait plus contrainte par des valeurs traditionnelles. Bientôt il sera possible d’exercer une surveillance presque continue sur tous les citoyens et de maintenir des fichiers mis à jour contenant jusqu’aux informations les plus personnelles de chaque individu. Ces fichiers pourront être consultés de manière instantannée par les autorités… »

 

« Dans la société technotronique, la tendance sera vers l’agrégation du support individuel de millions de citoyens incoordonnés, qui seront des proies faciles pour des personnalités attractives et magnétiques (NdT: du genre Obama ??..), exploitant les toutes dernières techniques de communication afin de manipuler les émotions et de contrôler la raison », écrivait-il dans le même livre.

 

La préoccupation soudaine de Brzezinski au sujet de l’impact d’une population mondiale politiquement éveillée n’est pas née d’une quelconque notion qu’il s’identifie avec la cause de cette population, bien au contraire. Brzezinski est l’ultime initié élitiste, l’homme de l’intérieur, le fondateur de la puissante commission trilatérale (NdT: aux ordres de son maître David Rockefeller, financier derrière la trilatérale et le CFR), un membre éminent du Council on Foreign Relations (CFR) et un participant très régulier des réunions du groupe Bilderberg. Il fut décrit par le président Obama comme étant « un de nos meilleurs penseurs ».

 

Ce n’est pas la première fois que Brzezinski se plaint du bourgeonnement d’une opposition populiste à la domination d’une élite infinitésimale.

 

Pendant son discours du CFR à Montréal en 2010, Brzezinski avait mis en garde les mondialistes que « le réveil politique mondial », combiné avec les luttes intestines, au sein de l’élite même, menaçaient de faire dérailler la poussée vers le gouvernement mondial.

 

Paul Joseph Watson

 

url de l’article original: avec vidéo en anglais http://www.infowars.com/brzezinski-populist-resistance-is-derailing-the-new-world-order/

 

Traduit de l’anglais par Résistance 71

 

 


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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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