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Encore une bonne claque à ce qu'on nous à apprit au sujet de la seconde guerre mondiale..
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- Source : France-éternelle
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8 mai 1945: c'est la fin des hostilités en Europe. Cependant, aussi choquant que cela puisse paraître aujourd'hui, la guerre contre l'Allemagne se poursuit. Roosevelt, Staline et Churchill ont décrété que le peuple allemand devait souffrir et c'est exactement ce qui se produisit. Expulsés de leurs maisons, dépouillés de leurs biens, décimés par la famine et la maladie, violés, volés, emprisonnés et réduits en esclavage, des millions d'Allemands — en majorité des femmes et des enfants — vont subir ce que le magazine Time qualifiera de "paix la plus terrifiante de l'histoire".
Cruelles Moissons fut l'un des premiers ouvrages publiés aux États-Unis à tenter d'alerter l'opinion publique sur la guerre menée par les Alliés contre les Allemands après le 8 mai 1945. Appuyé sur les documents de l'époque et rempli d'une indignation à la fois humanitaire et patriotique, ce classique ose dévoiler de quelle façon les responsables politiques américains et alliés entreprirent la destruction politique, économique et sociale du peuple allemand dans le même temps qu'ils prétendaient lui enseigner la "justice" et la "démocratie". Le constant est accablant.
Aujourd'hui, alors que la guerre de la propagande fait toujours rage contre les Allemands
dans les médias et jusque dans les universités, Cruelles Moissonsnous parle d'une période honteuse oubliée des Français et de la plupart des Européens qui mérite d'être rappelée
dans sa réalité et non certains esprits pieux voudraient nous la raconter.
Cruelles MoissonsRalph Franklin Keeling
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L'épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale,
1945-1948
Heinz Nawratil
Entre 2 et 3 millions d'Allemands sont morts après la seconde guerre mondiale, au coeur de l'Europe, victimes d'une des plus terribles épurations ethniques de
l'histoire. On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des
expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux,
individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de
souffrances humaines. "Ce livre est un pavé de 300 pages dans la mare de notre conformisme et de nos habitudes historiques. [...] Il est extrêmement bien documenté et il laissera sa trace dans
les livres d'histoire" (Histoire événement, janvier 2002). Un "ouvrage fondamental" (Nouvelle Revue d'Histoire, n° 2, septembre-octobre 2002).
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Dans Le livre noir de l'expulsion (paru en Allemagne en 1999), unique en son genre en langue française sur ce thème, Heinz Nawratil retrace le calvaire des 20 millions d'Européens de l'Est d'origine allemande (parfois installés depuis plus de quatre cents ans) qui durent fuir l'Armée rouge ou furent expulsés. Cette expulsion eut son cortège macabre de meurtres, viols et tortures commis par les troupes soviétiques, les milices polonaises, les résistants tchèques et les partisans yougoslaves. De 2 à 3 millions y trouvèrent alors la mort.
L'auteur démontre que l’épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale de 1945 à 1948 ne visait pas seulement les fonctionnaires nationaux-socialistes, les membres et sympathisants du parti, mais l’ensemble des Allemands (hommes, femmes, enfants, vieillards, malades extraits des hôpitaux) rabaissés à l'état de sous-hommes. Cette accumulation de crimes révèle “un plan d’extermination et d’expulsion des Allemands” des territoires de l'Est savamment préparé par certains cercles dirigeants de l'URSS et des autres États socialistes…
On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux, individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de souffrances humaines.
livres disponibles sur http://www.librairiefrancaise.fr/
Tous ces crimes d'après guerre n'ont jamais été reconnu par les salauds qui gouvernèrent l'Europe depuis 1945. Et Dieu de miséricorde dans tout ça ? absent, indifférent comme d'habitude !...
Trois idées-force peuvent être retenues :
- 1 - La vérité historique est indivisible. Les crimes contre l'humanité, surtout lorsqu'ils ont l'ampleur et l'importance d'un génocide, restent des crimes quelle que soit l'identité de leurs auteurs et responsables.... La mise au jour des chapitres les plus sombres de l'histoire humaine, sans égard pour la nationalité des responsables de cette tragédie, est un commandement de la vérité et de la justice ; elle seule peut poser les bases d'un pardon mutuel et d'une compréhension authentique. (Ludwig Martin, avocat général en retraite, président d'honneur de la Société internationale pour les droits de l'homme). (Préface)
- 2 - Le cours des esclaves était bas. Près d'un million de civils allemands furent ainsi déportés vers des camps de travail dans des conditions inhumaines. Parmi ceux qui avaient été déportés au titre des réparations (c'était le groupe de déportés le plus important), 45 % moururent, quasiment la moitié. Le gouvernement soviétique alla chercher ses esclaves dans plusieurs pays de l'Europe de l'Est, notamment en Roumanie, en Hongrie, en Pologne et dans les anciens Etats baltes. ...Près de 10% des déportés périrent de faim, de froid et de mauvais traitements au cours de leur transport vers la Russie ; généralement en queue de train, deux wagons étaient réservés aux morts du convoi. ...On estime qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, au moins douze millions de personnes, Russes et étrangers, civils et prisonniers de guerre, peuplèrent le monde lugubre des camps de travail soviétiques, l'archipel du goulag. (Chapitre Les victimes de l'armée rouge, La déportation et les travaux forcés, p. 52-53)
- 3 - Pour chiffrer les pertes de l'après-guerre consécutives à l'expulsion, l'Office fédéral de la statistique (de la RFA) s'attacha à retrancher du bilan démographique toutes les pertes de guerre (soldats tombés au front, victimes des bombardements, etc.) Il est parvenu aux chiffres suivants : Pertes allemandes dues à l'expulsion (abstraction faite des Allemands de Russie et de la population provenant d'autres régions ; tous les chiffres sont arrondis)... Soit un total d'environ 2.230.000 victimes.
Récit succinct des souffrances de la Silésie en 1945-1946
Johannes Kaps
Un déferlement de violence plongea la Silésie en 1945 dans les ténèbres de l’Apocalypse. Les gens de ce pays semblaient promis à l’anéantissement. Les défenseurs épuisaient leurs dernières
forces. Des soldats cruels, obéissant aveuglément aux mots d’ordre de la propagande soviétique, forcèrent les portes des domiciles. Leur volonté de détruire anéantit non seulement l’œuvre des
hommes de cette terre mais empoisonna aussi la source de toute vie humaine en faisant des femmes un véritable gibier pour la satisfaction de leurs instincts lubriques. La Silésie fut en ce
temps-là une arène de martyrs et nul ne sait combien de femmes silésiennes et de l’Allemagne orientale ontpréféré perdre leur vie plutôt que de sacrifier volontairement leur chasteté.
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