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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 03:38
 The Great Culling : Our Water / La Mise à Mort : Notre Eau (Doc) [VO]

The Georgia Guidestones is a large granite monument in Elbert County, Georgia. It has been referred to as an American Stonehenge. The person or group that paid for its construction is a mystery. Inscribed on its stones are ten commandments, written in twelve languages, for what it describes as an Age of Reason. Many believe it is an agenda for the New World Order.

The first commandment is: "Maintain humanity under 500 million in perpetual balance with nature." Since the world population now stands at over seven billion, that means the commandment calls for the elimination of 93% of the world's population.

 

 The Great Culling : Our Water / La Mise à Mort : Notre Eau (Doc) [VO]

 

THE CULLING ALREADY HAS BEGUN


The Great Culling of the human race already has begun. It is being done through chemicals added to our drinking water, food, medicines, and the air we breathe -- chemicals that have the known effect of reducing fertility and shortening lifespan. This message can no longer be dismissed as conspiracy theory. The facts are in plain view.

This documentary is the first of a three-part series. It shows how additives to our drinking water, such as fluoride, supposedly to combat tooth decay, in reality are covert doses of death. It also shows how you can protect yourself and your family.

Order the Paul Wittenberger Collection

http://thegreatculling.bigcartel.com/...

 

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16 août 2013 5 16 /08 /août /2013 16:12
Albert Hofmann - Perceptions (Doc) [VostFR]

<« Albert Hofmann - Perceptions » est un portrait du docteur Hofmann, connu principalement comme père du LSD. Travaillant toute sa vie au sein des laboratoires Sandoz à Bâle, Albert Hofmann eut en apparence une vie très modeste et rangée. Pourtant, sa découverte le fascina dès les premiers instants et il se battit toute sa vie, pour la juste utilisation de « son enfant terrible ».

 

Le film s'intéresse aux rapports entre le chimiste et sa drogue, aux prises de positions qu'il a eues tout au long de sa vie, aux différents chemins qui ont pu être tracés, en partant de cette première découverte.

 

Les choix qui ont mené le docteur Hofmann à la chimie découlaient déjà d'un certain rapport à la nature, imprégné de mysticisme, et cet intérêt – renforcé par la découverte du LSD – se lit comme une trame dans la vie du chimiste.

 

Le chimiste argovien a fait carrière dans les laboratoires Sandoz à Bâle. Le travail d'Albert Hofman est nourri par une relation à la nature empreinte de mysticisme; un rapport renforcé par la découverte du plus célèbre psychotrope hallucinogène. Sa vie est racontée ici par ses proches et grâce à des archives surprenantes et cocasses.

 

En travaillant avec des images de conférences données par A. Hofmann, et des archives des télévisions suisses et américaines, le film ouvre une fenêtre sur l'histoire de cette aventure, qui continue aujourd'hui à Soleure avec l'utilisation du LSD en psychothérapie.

 

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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 19:26
 LE SIDA - LE PLUS GROS MENSONGE DU 21EME SIECLE (ITW) [VF]

Via : Partageons le savoir et les peuples vaincront (FB)

 

Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, découvreur du soit disant virus du Sida retourne sa veste.

 

Il annonce la fin de la supercherie très lucrative du SIDA qui en plus d'avoir conduit à la mort médicamenteuse des millions d'êtres humains à travers le monde, rapporte encore des milliards de dollars...

 

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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 19:00
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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 18:26
 Microbiote : ces bactéries qui nous gouvernent (Doc) [VF]

Source : inexpliqué en débat

Merci à lasorciererouge pour le documentaire.

 

Microbiote : ces bactéries qui nous gouvernent, est un reportage scientifique (0h35) qui expose la découverte d'un nouvel organe, non pas composé de cellules humaines, mais de bactéries, bouleversant ainsi la perception que l'on avait du corps humain et ouvrant la porte à la compréhension de maladies très diverses.

 

Les bactéries ne sont pas que des microbes nocifs, au contraire ! Celles qui peuplent notre tube digestif, le microbiote, ou nommé flore intestinale, sont vitales à notre santé. Essentiel au système immunitaire, le microbiote pourrait être lié à de nombreuses maladies. Elucider son fonctionnement offrirait de nouvelles pistes de traitements.


Aujourd'hui, la fameuse flore intestinale ou flore bactérienne dont on entend souvent parler, a été rebaptisée microbiote, d'après le nom anglo-saxon microbiome. Ainsi, le microbiote correspond à l'importante population bactérienne qu'abrite notre corps et notamment le tube digestif. Selon les estimations, il y aurait de 10 à 100 bactéries pour une cellule, c'est dire si nous en avons.


Il est donc particulièrement important d’être attentif à nos intestins, notre digestion, à ce que nous mangeons et nous ingérons. Maintenir un bon équilibre, c’est aussi faciliter le fonctionnement du corps entier.


En particulier, la majorité des bactéries de notre système digestif se trouve dans le côlon. "Au total, nous avons 1 kg de bactéries dans notre tube digestif, souligne Gérard Corthier, directeur de recherche à l'INRA, Institut National de la Recherche Agronomique, et c'est le côlon qui concentre le plus de bactéries puisqu'on y trouve 100 milliards de bactéries dans un gramme de selles !".
Le microbiote n'est pas inné, on ne naît pas avec. C'est au cours de ces premières années de vie qu'un enfant va constituer sa population bactérienne à partir des bactéries de son environnement, par contact avec le microbiote de la peau des adultes, l'alimentation, etc. A deux ans, chacun de nous a un microbiote "adulte".


Par la suite, ce microbiote change tout au long de sa vie, se renouvelle et se fragilise avec l'âge. Ainsi, chacun d'entre nous a son propre microbiote, sa signature bactérienne en quelque sorte, fruit de son histoire personnelle selon son alimentation, son âge, son sexe, sa corpulence, son mode de vie… Au final, les 2/3 des bactéries intestinales sont propre à chacun de nous, et le dernier tiers est commun.


A quoi servent ces milliards de bactéries qui peuplent notre organisme ? Elles ont quatre grandes fonctions principales : la dégradation de composés d'origine alimentaire, les fibres par exemple, la production de vitamines K, B12, B8…, le développement du tube digestif et surtout la défense immunitaire.


D'après le chercheur, 90 % du système immunitaire est digestif ! Le microbiote joue un rôle de barrière antimicrobienne en empêchant et en prévenant l'implantation de bactéries dangereuses, et surtout, nos bactéries interagissent avec les cellules du système immunitaire pour une réponse efficiente. "Sans microbiote, le système immunitaire est atrophié", insiste le chercheur. D'ailleurs, cette interaction est essentielle pour stimuler les défenses immunitaires. "Un contact dans la petite enfance avec des micro-organismes différents du microbiote pourraient avoir une influence positive sur la maturation du système immunitaire", confirme Gérard Corthier.


Cela va dans le sens de la théorie hygiéniste développée depuis les années 1980 et selon laquelle des conditions hygiéniques très strictes dans l'enfance exposeraient à des maladies à l'âge adulte. Au final, un peu de crasse ne peut pas de faire de mal à votre enfant…


Sensible à notre histoire personnelle, notre microbiote évolue sans cesse et peut se fragiliser. Bien que son fonctionnement reste en partie mystérieux, les chercheurs soupçonnent néanmoins qu'un déséquilibre de ce microbiote pourrait être à l'origine de diverses pathologies : maladies inflammatoires, dont la maladie de Crohn, syndrome du côlon irritable, troubles fonctionnels intestinaux, obésité…


Les antibiotiques déséquilibrent notre microbiote. En effet, il a été montré que le microbiote pouvait favoriser le stockage des graisses chez la souris. Par ailleurs, les personnes obèses présenteraient un ratio plus important Firmicutes/Bacteroidetes, donc une faible proportion des Bacteroidetes, par rapport aux personnes minces, et on soupçonne qu'au cours de l'évolution, le microbiote humain a acquis la capacité à extraire des aliments le plus d'énergie possible. A une certaine époque, cette propriété permettait d'optimiser le peu de nourriture disponible, mais aujourd'hui, elle jouerait contre nous et serait l'un des nombreux facteurs expliquant la forte prévalence actuelle de l'obésité.


Plusieurs facteurs peuvent favoriser ces déséquilibres : prise d'antibiotiques, qui éliminent les bactéries comme leur nom l'indique, "Les principaux responsables" selon Gérard Corthier, alimentation riche en fibres et la coloscopie. Néanmoins, ces seuls facteurs ne suffisent pas à tout expliquer.


L'étude de ce microbiote reste récente, ces bactéries sont donc loin d'avoir dévoilé tous leurs secrets. "Nous sommes loin d'avoir identifié toutes les espèces présentes, avoue le chercheur, mais surtout, on ne sait pas grand-chose de leur mode de fonctionnement".


Pour caractériser l'ensemble de ce "génome-bis" qu'abrite notre corps, deux projets ont vu le jour de part et d'autre de l'Atlantique : en Europe, c'est le projet MetaHIT, pour Metagenomics of the human intestinal tract, coordonné par Dusko Ehrlich, de l'unité génétique microbienne de l'INRA, et aux Etats-Unis, le projet s'intitule Human Microbiome Project.


Mieux connaitre le microbiote permettrait d'accroitre nos connaissances sur les mécanismes à l'oeuvre dans de nombreuses pathologies comme l'obésité, maladies inflammations chroniques, etc. Leur compréhension ouvrirait alors de nouvelles perspectives thérapeutiques.


(doctissimo.fr)

 

Documentaire en entier ci dessous via RTS.ch

 

Les scientifiques viennent de découvrir un nouvel organe. Un organe non pas composé de cellules humaines, mais de bactéries. Une découverte qui bouleverse la perception que l’on avait du corps humain et ouvre la porte à la compréhension de maladies à priori aussi éloignées l'une de l'autre que l'obésité et l'autisme.

 

Selon plusieurs études, 10% de la population vivrait, au moins une fois dans sa vie, un état modifié de conscience non ordinaire comme, par exemple, des sorties de corps. 20% de ceux qui survivent à un arrêt cardiaque feraient une expérience de mort imminente. Aujourd'hui, des équipes de chercheurs essayent de mieux comprendre et d'expliquer ces phénomènes décrits comme merveilleux mais aussi parfois traumatisants par ceux qui les vivent.

 

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13 août 2013 2 13 /08 /août /2013 18:47
&quot;Les immangeables : La vérité sur les bonbons&quot; avec Corinne GOUGET  (VidZ) MAJ 14/08

"Bonbons ou cadeaux empoisonnés?"

 

Message de Corinne GOUGET aux parents,tontons, grands-parents et institutrices pensant leur faire plaisir !

 

L'histoire incroyable de Corinne Gouget, auteure du guide "Additifs alimentaires : danger", qui s'est fait enlever ses deux filles à cause de son combat pour dénoncer les additifs alimentaires et en particulier l'aspartame et le glutamate monosodique.

 

 

 

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 11:27
Sylvie Simon : LA NOUVELLE DICTATURE MÉDICO-SCIENTIFIQUE (PDF)

Loin d'être un réquisitoire contre la science ou la médecine, ce livre pointe du doigt l'inquiétante corruption de ces milieux, cause de scandales et de mensonges institutionnalisés : médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones, les vaccinations... Sylvie Simon indique clairement à qui profite cette désinformation.


Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Depuis quelques années, elle combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d'écologie, sujets de brûlante actualité. Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins etc.), générés par la corruption de certains milieux et d'experts dits " scientifiques ".

 

 

 

Lien de téléchargement

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 19:29
La vérité très indésirable sur la chimiothérapie

Source : NaturaVox

 

Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

 

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)



 

Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

 

À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

 

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).

 

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

 

Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)

 

Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. »

 

Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. » Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

 

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […]

 

Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

 

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4].

 

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

 

En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire. L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

 

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. « Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.

 

Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux. Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
 La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre.

 

De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].
 L

 

’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu'une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n'arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n'ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables.

 

Ce n'est pas une nouveauté d'ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan's Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l'industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ».

 

Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

 

Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. » Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main.

 

Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l'idée que l'on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d'une protéine alimentant les tumeurs. Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

 

La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. « Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
 Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. »

 

Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades. Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans.

 

L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée. Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis.

 

Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. » 
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr 
Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire nous tous, fera plier ce système.


 

[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

[2] Equinox Press, 1996.

[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.

[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[8] Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.

[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M. 

[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 00:27
Stanley Kubrick à propos de la fluorisation de l'eau - Extraits du Dr Stangelove (1964) [VostFR]

 

No comment..

 

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 23:10
Là où il n'y a pas de docteur (PDF)

PDF trouvé sur : Le FIRAGO

 

Ce livre s'adresse aux villageois qui se trouvent loin des centres médicaux. Il essaie de répondre au besoin qu'ils éprouvent d'un livre simple qui leur explique ce qu'il faut faire pour se soigner. Il est écrit dans un langage simple, à la portée des gens qui ont peu d'instruction. Les mots qui présentent un problème de compré- hension sont expliqués dans le courant du livre

 

Au début, le guide explique quels sont les bons et les mauvais remèdes et pourquoi. Il parle du bon et du mauvais emploi des médicaments que l'on trouve sur le marché sans ordonnance médicale. Il explique l'importance d'un bon régime et des soins corporels pour éviter de nombreuses maladies. Il explique aussi aux parents pourquoi il faut faire vacciner les enfants. En plus des explications sur ce qu'il faut faire pour résister à certaines maladies ou pour les soigner là où il n'y a pas de docteur, le guide décrit clairement les maladies qui nécessitent sans faute une attention médicale urgente. Il explique ce qu'on doit faire et ce qu'on ne doit pas faire en attendant l'arrivée du médecin. Il indique aussi les situations urgentes qui justifient qu'une personne sans expérience fasse une piqûre. Il explique comment la faire et met en garde sur les précautions et les risques.

 

Pour le PDF cliquez ici
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23 juillet 2013 2 23 /07 /juillet /2013 00:02
La disparition des maladies infectieuses n'est pas due aux vaccins

Source : Sylvie Simon

 

Article paru dans © N E X U S  N° 84 de janvier-février 2013

     Les chiffres le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies d’autant plus redoutables qu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli.
 
Il existe actuellement un rejet très net du principe vaccinal à cause des nombreux effets secondaires graves qu’il génère. Cependant, même les victimes de l’obligation vaccinale persistent à affirmer que, malgré les risques, les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète.
 
   Or, dès que l’on se penche sur la question, on s’aperçoit qu’il n’en est rien et que certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins semblent ignorer. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l’on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d’autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie.
 
D’une manière générale, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.
 
 
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Tuberculose et BCG
 
  Un certain nombre de pays ne vaccinent pas contre la tuberculose, notamment les États-Unis, car 
le fait d'avoir reçu le BCG entraîne un test tuberculinique positif qui brouille le diagnostic de la maladie en cas de tuberculose. Le fait de vacciner contre le BCG rend plus difficile l'identification de l'infection. On ne peut donc attribuer la diminution spectaculaire des cas de tuberculose au vaccin.
 
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En 1975, la Suède a décidé d'interrompre la vaccination systématique des nouveau-nés. L'incidence de la tuberculose a continué à décroître au même rythme.
 
Dans son numéro spécial de février 1997, le Bulletin Epidémiologique signalait que sur « 7 594 cas de tuberculose déclarées en France en 1996, parmi les 293 enfants de moins de 15 ans atteints, dont le statut vaccinal est connu, 70 % ont été vaccinés [...]. De nombreuses études montrent que lors d'une épidémie il y a autant de personnes atteintes chez les vaccinés ou les non vaccinés. »
 
 Et si l’on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination.
 
 
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Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l’introduction du vaccin en 1955.
 
En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l’OMS en 2003, 1980 il y avait 29 991 cas en Allemagne et 17 199 cas en France. Or la RFA a supprimé en 1973 l'utilisation du BCG, et la RDA en 2001, il n'y a plus que 6 959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d'habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l'obligation vaccinale qui n’a été supprimée qu’en 2007, on trouve encore 96 cas par million d'habitant soit un total de 5 814 cas. D’ailleurs, contrairement aux « craintes » des services de santé, lorsque ce vaccin n’a plus été obligatoire et que l’incidence du vaccin a très fortement chuté, on n’a pu déceler le moindre signe d'augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s’est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées.
 
   L’un des arguments avancés pour le maintien du BCG est qu'il protégeait efficacement de la méningite tuberculeuse. Or, dés 1973, le Dr F. Freerksen, directeur de l’Institut de Biologie Expérimentale, précisait : « Le dogme de l’absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés). » (cf. Le Concours médical, 20 avril 1974, t. 96 [16], p. 2 529-2 530). L’année même, la République Fédérale allemande supprimait ce vaccin. Pour sa part, le Pr. Costil, de l’hôpital Trousseau à Paris, a pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG (cf. Profil du 13 juillet 1989).
 
On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on « oublie » toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.
 
 
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Le cas de la diphtérie
 
   Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas.
 
La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l’office intérieur d’hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l’OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis (fig. 3).
 
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Quant au Japon non vacciné et au Canada vacciné, l’incidence n’est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire (fig. 4). Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l’arrêta à la suite d’une quarantaine d’accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite  : sou alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L’Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».
 
   En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas. Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas. L’étude la plus complète sur l’incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression “spectaculaire” a plus ou moins coïncidé avec l’extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c’était l’anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »
 
Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélite directement liées à la vaccination anti-diphtérique.
 
 
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Poliomyélite et tétanos
 
   Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l’injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique (fig. 5).
 
    Pour le tétanos, la situation est différente. La maladie n’étant pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d’individu à individu, et elle n’est pas immunisante. « Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux pro- téger de la maladie ? » demandait en 1949 le Dr Robert Rendu, de la faculté de médecine de Lyon, dans La Presse médicale. Entre 1943 et 1947, cinq millions au moins d’enfants ont été vaccinés, soit plus de la moitié de la population âgée de 1 à 14 ans. « Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n’a guère varié de 1943 à 1947 (un décès en moyenne par département et par an). »
 
La courbe de la mortalité moyenne annuelle due au tétanos en Grande-Bretagne et au pays de Galles montre que celle-ci avait amorcé sa descente des décennies avant le début de la vaccination (fig. 6).
 
En résumé, ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, alors que dans ces deux pays, cette vaccination est obligatoire.
 
Chlorure de magnésium
 
  L’enseignement médical nous prévient que la maladie succède à une plaie profonde, souillée de terre ou à une brûlure profonde. Mais il existe des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance. Il semblerait que le tétanos, comme la diphtérie, soit une conséquence d’un manque de magnésium.
 
Il faut savoir que les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu et du Pr Delbet. Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C’est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu’il révèle : «La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »
 
Il ressort de ce rapport que l’Académie de médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins.
 
    Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, et concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues : ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm3 de sérum physiologique par voie intraveineuse.
 
Selon l’OMS, le taux d’anticorps (ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré comme protecteur. Mais la présence d’anticorps n’est pas une garantie de sécurité, aussi impose-t-on des rappels tous les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour « assurer » la restauration de l’immunité. Or, dans le journal médical Neurology (t. 42, 1992), Crone et Rider citent le cas d’un patient âgé de 29 ans atteint d’un tétanos sévère alors qu’il avait été hyper-immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. Son taux d’anticorps était de 3 300 fois le taux considéré comme protecteur.
 
L’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses de vaccins anti tétanos en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.
 
De même, en 1991 à l’hôpital de Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d’anticorps suffisants pour protéger le bébé (jusqu’à 400 fois le taux protecteur).
 
En août 1987, eut lieu à Leningrad la VIIIe conférence internationale sur le tétanos. Ce fut l’occasion de faire le point sur le vaccin que les représentants de l’OMS voulaient inclure dans un vaste programme de vaccination. Le Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés. D’ailleurs, l’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.

 

 

 
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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 16:40
ENFER NANOTECHNOLOGIQUE (Doc) [VF]

 

Documentaire sur la maladie des MORGELLONS et réflexion sur ses origines. Merci à Philippe pour les liens.

 

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 19:15
Les sacrifiés des ondes (Doc) [VF]

Depuis : films et documentaires

 

Pollutions Electromagnétiques et Electro-hypersensibilité


Nous sommes tous "électrosensibles". Des êtres sensibles aux ondes électromagnétiques traversant notre environnement. Micro-ondes 3G, Wi-fi, téléphones mobiles, réseau électrique...


Intangibles, invisibles, ces ondes électromagnétiques aujourd'hui sont partout et ont envahi notre quotidien. La France compte par exemple 64 millions de téléphones portables. Cette pollution insidieuse provoque une électrocution progressive...

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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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