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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 14:25

http://uploads.zone-numerique.com/uploads/News/120605/venus_150.jpg

 

Le transit de Vénus 2012 a été filmé en très haute définition et en time lapse par le module spatial d'observation du soleil, Solar Dynamic Observatory. Vidéo d'exception du transit de Venus par la NASA.

 

Phénomène rare, le transit de Vénus correspond au passage de la planète entre la Terre et le Soleil quand les trois astres sont parfaitement alignés. C'est un événement rare qui arrive tous les 105 ou 121 ans par paires de deux transits à huit ans d'intervalle. Le dernier remontait à 2004. Pour le prochain, patience, il faudra attendre 2117. Dans cette splendide vidéo, qui est un assemblage de prises de vues haute définition en time-lapse, le module SDO a capturé l'ombre de Venus sur le soleil dans différentes longueurs d'onde dont certaines normalement invisibles à l'oeil humain, le 5 juin dernier.

Le module Solar Dynamic Observatory, lancé en février 2010, est un satellite voué à l'observation de notre soleil. Durant sa mission de 5 ans, il est en charge d'examiner l'atmosphère du soleil, ainsi que ses champs magnétiques. Il pourra nous éclairer sur le rôle du soleil sur les changements dans l'atmosphère terrestre et le climat. Les images du satellite SDO sont de grande qualité, équivalentes à huit fois la définition de nos téléviseurs Full HD. Ce sont pas moins de 1 To de données que le module d'observation du soleil envoie chaque jour.


 

 

 


 

Source :

http://www.zone-numerique.com

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 19:52

http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/objets/Images/draconides-2011/pluie-etoiles-filantes-1872-Flammarion.jpg

 

Images extraordinaires de la chute de centaines de météores dans l'atmosphère terrestre.

A bord de la Station Spatiale Internationale (ISS), l'astronaute Don Pettit a réalisé d'extraordinaires photos de la chute de météores dans l'atmosphères terrestre.

 

Cela s'est passé le 21 avril 2012, tandis que la Terre traversait le nuage de poussières cométaires à l'origine des Lyrides. Les étoiles filantes pleuvaient dans le ciel et, une fois n'est pas coutume, elles furent photographiées depuis l'espace !

 

La vidéo ci-dessous compile 310 photos capturées au plus fort de l'activité de l'essaim météoritique. Au-dessus des strass et des paillettes des villes tentaculaires, on perçoit les éclats de centaines de météores fendant l'armure de notre atmosphère !

 

 




 


Via :

http://fr.sott.net

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 01:42

Traduction SOTT

Je vais commencer cet épisode du palmarès des Cassiopéens en reprenant là où on s'était quittés dans le précédent : l'idée que notre soleil a une étoile compagne. Après avoir publié le palmarès des Cassiopéens n°6 et en y réfléchissant un peu plus, je me suis rendu compte que mon argument pour expliquer que notre soleil pourrait avoir une étoile compagne - simplement que c'est statistiquement probable - était un peu pauvre. Il y a en réalité bien plus que cela à ce sujet, même si un tel compagnon doit encore être découvert. (En supposant qu'il est là, bien sûr, et qu'on nous le dirait si on le découvrait vraiment !)

En fait, ce n'est pas une idée nouvelle. Lisez la page de Wikipedia sur l'hypothèse dite Némésis. (Et voyez ici pour des ressources supplémentaires.). Elle a été présentée en 1984 par deux équipes d'astronomes (Whitmire & Jackson, et Davis, Hut & Muller) pour expliquer les extinctions périodiques observées dans la collection des fossiles terrestres. L'idée était qu'un soleil compagnon passant à travers ou à proximité du nuage d'Oort sphérique enverrait un essaim mortel de comètes en direction de la Terre tous les 26 millions d'années environ. Sa présence peut aussi expliquer les trajectoires non aléatoires de certaines comètes à longue période, ainsi que l'orbite elliptique étrange et inattendue de l'objet transneptunien Sedna récemment découvert.

Récemment, les astrophysiciens Daniel Whitmire et John Matese ont plaidé pour un modèle Planète X pour expliquer ces phénomènes, c'est-à-dire une dixième planète non découverte existant au-delà de Pluton, peut-être jusqu'à quatre fois la masse de Jupiter. Peut-être de manière prématurée, étant donné que c'est purement théorique jusqu'ici, il lui ont même donné un nom - « Tyché ». En utilisant le même mécanisme perturbateur d'Oort que Némésis, la géante gazeuse hypothétique pourrait expliquer l'angle avec lequel les comètes entrent dans le système solaire, avec « un cinquième du nombre attendu depuis 1898 qui entre avec une valeur plus élevée que prévu. » Matese et Whitmire espèrent que le télescope de la NASA Wide-field Infrared Survey Explorer (WISE), qui a la capacité de détecter ce type d'objet, mettra Tyché en évidence, une fois que les données déjà enregistrées seront analysées. (D'ailleurs, WISE a aussi la capacité de détecter une naine brune.)



On pense que Némésis a son point d'orbite le plus éloigné entre 25 000 et 88 000 unités astronomiques (UA) du Soleil. On pense toutefois que Tyché orbite « bien en deçà » (comme le dit Wikipedia) du nuage d'Oort, à 15 000 UA avec sa gravité qui entraîne des comètes dans le système solaire. (On pense que le nuage d'Oort externe sphérique commence entre 20 000 et 50 000 UA du Soleil). Toutefois, le nuage d'Oort interne en forme de tore, ou « nuage de Hills », qui s'étend vers l'extérieur le long du plan de l'écliptique pour rejoindre le nuage externe, est supposé être aussi près que 3 000 UA. (Le 4 juillet 1998, les Cs ont dit que la limite la plus proche du nuage d'Oort était en moyenne environ à 820 milliards de kilomètres soit environ 5 500 UA.) Donc si l'orbite de n'importe quelle « Planète X » ou étoile compagne l'amène à travers ce « disque » de comètes, le nuage de Hills pourrait être une autre source de munitions cométaires, pas seulement le nuage externe, comme certains articles que j'ai lus sur le sujet semblent le sous-entendre. Gardez en tête ces chiffres à mesure que vous lisez le résumé suivant d'un article récent de l'astrophysicien italien Lorenzo Iorio :


Une récente analyse des données du Lunar Landing Ranging (LLR) s'étendant sur 38,7 années a révélé un accroissement anormal de l'excentricité [e] de l'orbite lunaire ... Les modèles actuels des phénomènes dissipatifs qui se produisent dans les intérieurs de la Terre et de la Lune ne sont pas capables de l'expliquer. Nous examinons plusieurs effets dynamiques, non modélisés dans l'analyse des données, dans le cadre des modèles de gravité à longue portée modifiés et du paradigme newtonien/einsteinien standard. Il s'avère qu'aucun d'entre eux ne peut concilier les mesures de/dt. Nombre d'entre eux n'induisent même pas de changements à long terme de e ; d'autres modèles produisent un tel effet mais les magnitudes qui en résulte sont en désaccord avec les mesures de/dt [c'est « la variation temporelle de l'excentricité (le caractère « oval » de l'orbite de la Lune) »]. En particulier, l'accélération gravitomagnétique relativiste générale de la Lune due au moment cinétique de la Terre a le bon ordre de magnitude, mais l'effet séculaire de Lense-Thirring qui en résulte quant à l'excentricité disparaît. Un candidat newtonien potentiellement viable serait un objet massif trans-plutonien (Planète X/Némésis/Tyché) puisqu'il affecterait réellement e avec une variation à long terme qui ne disparaît pas. D'un autre côté, les valeurs des paramètres physiques et orbitaux d'un tel corps hypothétique nécessaires pour obtenir l'ordre de magnitude correct pour de/dt sont complètement irréalistes. En outre, elles sont en net désaccord à la fois avec les scénarios les plus récents qui envisagent l'existence d'un corps éloigné, de la taille d'une planète et avec les contraintes indépendantes du modèle sur elles, dynamiquement déduites d'après les mouvements planétaires. Donc, la question de trouver une explication satisfaisante au comportement anormal de l'excentricité de la Lune reste ouverte.

Donc, un objet compagnon peut expliquer l'anomalie, mais sans utiliser les tailles et orbites admises pour les objets hypothétiques de type Planète X. Comme l'écrit Iorio dans son article : « Par exemple, un corps de la taille de la Terre devrait être situé juste à 30 UA, alors qu'un objet de la masse de Jupiter devrait être à 200 UA. » (Un objet de la taille du Soleil serait à environ 9 000 UA.) Autrement dit, pas là où Matese et Whitmire disent qu'il est (ou plutôt, devrait être). Mais quid d'un objet bien plus grand, peut-être avec une orbite bien plus éloignée ? Bien que soumises à un certain niveau de « bruit », des orbites apparemment aussi excentriques et longues sont possibles, et assez stables pour persister sur de longues périodes. En prenant en compte tout cela, le modèle du compagnon du Soleil peut être plus que probablement une géante gazeuse. (Mais même là, ce n'est pas mutuellement exclusif ; je suppose que des extra-planètes pourraient exister mais elles peuvent ne pas rendre compte de certains phénomènes associés à « Némésis ».) Il serait intéressant de savoir exactement quels autres chiffres concordent avec les calculs de Iorio et s'ils correspondent à ceux compatibles avec une naine brune ou non. (Les mathématiciens, au boulot !)

Donc, il se passe quelque chose. Lorsque nous considérons le ralentissement continu de la rotation de la Terre, l'ondulement progressif de ses pôles magnétiques, le changement climatique, le taux croissant de « précession axiale », le nombre croissant d'observations de bolides et de météorites, les phénomènes électromagnétiques étranges et des effets et anomalies similaires sur des planètes dans tout le système solaire, y compris l'inversion asymétrique troublante du champ magnétique solaire, je me demande si nous ne voyons pas les effets multiples, qui s'intensifient progressivement, d'une cause commune ?

Une « confirmation révélatrice » de l'hypothèse de la naine brune a déjà été annoncée, mais malgré le fait qu'elle inclut de nombreux éléments du modèle des Cs (par ex., naine brune, approche au plus près au-delà de Pluton, etc.), et malgré le rejet assez maladroit de la NASA en tant que canular, cela me semble « trop beau pour être vrai ». Pour autant que je puisse le dire, l'équipe Star Viewer d'astronomes espagnols qui a fait l'annonce, n'a jusqu'à présent pas réussi à publier son « rapport final » contenant leur présumée preuve à ce sujet, qui devait à l'origine paraître en février 2010. (Vous pouvez lire des traductions de certains écrits de Star Viewer ici et ici.) Je laisserai au lecteur le soin de tirer ses propres conclusions sur la question.

Amas cométaires et Dinosaures

Même si l'idée d'un corps qui perturbe le nuage d'Oort existe depuis presque 30 ans et suggère au moins la possibilité d'essaims denses de comètes (un autre modèle étant la fragmentation d'une comète géante, de Clube & Napier), et même si 1994 a vu Shoemaker-Levy-9 se briser et se fragmenter avant son impact sur Jupiter, la plupart des discussions sur un bombardement de comètes ou d'astéroïdes dans les médias insiste toujours sur le danger d'un impact unique, c'est-à-dire un corps cosmique géant qui s'écrase sur Terre avec une explosion gigantesque aboutissant à une couverture de poussière qui amène le froid et entraîne des extinctions. Et même là, « l'école américaine » a eu tendance à écarter le danger que posent les comètes, se focalisant à la place sur les astéroïdes. Mais dès le 30 septembre 1994, les Cs ont avancé l'idée que des amas cométaires étaient au moins partiellement responsables des catastrophes périodiques sur Terre, faisant écho aux travaux cités ci-dessus :

Q : (L) Le Soleil n'est pas la source de la périodicité des « morts », est-ce exact ?

R : Parfois. Nombreuses causes.

Q : (L) Et bien, quelle est la cause qui revient comme une horloge ? Y a-t-il une cause qui soit une pulsation régulière ?

R : Pluies de comètes.

Q : (L) D'où viennent ces pluies cométaires ?

R : Amas en orbite propre. [HK : Notez que c'est amas au pluriel. Un soleil compagnon à longue période peut déclencher n'importe quel nombre d'amas à période plus courte. Selon les Cs, un de ces amas a une période de 3 600 ans, comme j'en ai discuté dans le Palmarès des Cassiopéens n°3.]

Le 7 octobre 1994, Laura a abordé la question spécifique de l'extinction des dinosaures (située à 65,5 millions d'années dans la chronologie conventionnelle) :

Q : (L) Qu'est-ce qui a anéanti les grands dinosaures ?

R : Impact cométaire.

Q : (L) Quelle était la source de cette comète ?

R : Amas.

Q : (L) Depuis combien de temps cet amas cométaire est-il avec nous dans le système solaire ?

R : 890 millions d'années.

Le 27 août 2010, la BBC a publié cet article sur son site web :

Une nouvelle étude suggère que les dinosaures ont été anéantis il y a 65 millions d'années par au moins deux impacts de météorites, plutôt qu'un seul.

Auparavant, les scientifiques avaient identifié un énorme cratère d'impact dans le Golfe du Mexique comme l'événement qui avait condamné les dinosaures.
Maintenant on a découvert la preuve d'un second impact en Ukraine. ...

Les nouvelles découvertes sont publiées dans le journal Geology par une équipe dirigée par le professeur David Jolley de l'Université d'Aberdeen.

Lorsqu'elle fut proposée d'abord en 1980, l'idée qu'un impact de météorite avait tué les dinosaures s'était avérée extrêmement controversée. Plus tard, la découverte du cratère Chicxulub dans le Golfe du Mexique, fut saluée comme la preuve irréfutable qui confirmait la théorie. ...

Le professeur Kelly poursuit : « Il est tout à fait possible que dans l'avenir nous trouvions des preuves d'autres impacts. »
Plutôt que d'avoir été anéantis par un seul impact, les chercheurs pensent que les dinosaures ont pu avoir été victimes d'une pluie de météorites tombant pendant des milliers d'années.

Ce qui pourrait avoir causé ce bombardement est hautement incertain.

Ainsi, certains scientifiques commencent au moins à regarder dans cette direction et l'idée de pluies de fragments de comète a été récemment relancée avec la publication de l'article PNAS d'Isabel Israde- Alcántara et al « Preuve au centre du Mexique soutenant l'hypothèse de l'impact extraterrestre du Dryas récent ». Il semble que ce genre d'événements soit bien plus commun que les scientifiques ne l'ont cru dans le passé et que les Cs avaient raison sur un des mécanismes impliqués dans ces rencontres catastrophiques.

Nourriture pour la Lune

Les amas cométaires sont apparus dans un autre contexte le 22 octobre 1994, cette fois-ci en relation avec la Lune :

Q : (L) Quand et comment la planète Terre a-t-elle acquis sa lune ?

R : Fut causée par le passage régulier d'un grand amas de comètes qui a entraîné une rupture gravitationnelle permettant à un grand morceau de la surface originelle de la Terre, qui était légèrement moins solide à ce moment de l'espace/temps, de se séparer du corps principal et d'emprunter une orbite verrouillée autour du corps principal.

Q : (L) Quand cela s'est-il passé ?

R : Cela s'est produit il y a environ 3 milliards d'années.

Au mois de mars, Science Now a annoncé :

La plupart des scientifiques croient que la Terre est entrée en collision avec une planète hypothétique de la taille de Mars appelée Theia au début de son existence, et que le télescopage résultant a produit un disque de magma orbitant autour de notre planète qui a plus tard fusionné pour former la Lune. ...

Un moyen de tester l'hypothèse est de regarder les isotopes d'éléments particuliers dans les roches rapportées de la Lune. ... Les proportions trouvées dans les échantillons de météorites et d'autres planètes comme Mars, toutefois, sont habituellement différentes. Donc si vous trouvez qu'un échantillon a la même composition isotopique en oxygène qu'un échantillon de la Terre, alors il est très probable que l'échantillon vienne de notre monde.


Une recherche antérieure a établi que la composition isotopique en oxygène des échantillons lunaires est indiscernable de celle de la Terre. Puisque 40% de la Lune sont censés provenir de Theia (qui vraisemblablement aurait eu une composition isotopique différente), cela pourrait semer le trouble quant à l'hypothèse d'un impact géant. ...

Dans la nouvelle recherche, publiée en ligne aujourd'hui dans Nature Geoscience, les géochimistes dirigés par Junjun Zhang à l'Université de Chicago en Illinois, de concert avec un collègue de l'Université de Berne en Suisse, ont examiné les isotopes de titane de 24 échantillons séparés de roches et de sol lunaires. La proportion de 50Ti et 47Ti est un autre bon indicateur pour savoir si un échantillon vient de la Terre, et, tout comme avec l'oxygène, les chercheurs ont trouvé que la proportion de la Lune était effectivement la même que celle de la Terre et différente de n'importe où ailleurs dans le système solaire. Zhang explique qu'il est improbable que la Terre puisse avoir échangé du titane gazeux avec le disque de magma parce que le titane a une température d'ébullition très élevée. « La composition isotopique en oxygène serait très facilement homogénéisée parce que l'oxygène est bien plus volatil, mais nous nous attendrions à ce que l'homogénéisation du titane soit très difficile. »

Aussi, si l'hypothèse d'un impact géant n'explique pas la Lune, comment est-elle arrivée là ? Une possibilité est qu'un souffle oblique d'un corps de passage ait fait tourner la Terre tellement rapidement qu'elle a envoyé une part d'elle-même dans l'espace comme on lance un poids, formant le disque qui s'est fusionné en la Lune. Cela expliquerait pourquoi la Lune semble être faite entièrement de matière terrestre. Mais il y a aussi des problèmes avec ce modèle, comme la difficulté d'expliquer où tout le moment cinétique supplémentaire est passé après la formation de la Lune, et les chercheurs ne prétendent pas avoir réfuté l'hypothèse d'un impact géant.

Pierres qui chantent et Visions du Passé

Et cela nous amène d'une manière indirecte à Stonehenge. Les théories abondent quant à son but originel : temple rituel, chambre de guérison, observatoire astronomique, site funéraire, aire d'atterrissage d'OVNI. Bien que les options disponibles ne s'excluent pas nécessairement les unes les autres, il n'y a guère de consensus académique sur le sujet, bien que l'hypothèse de site funéraire semble être en vogue. (C'est une sacrée pierre tombale !) Personnellement, je pense que Christopher Knight et Robert Lomas présentent le scénario le plus probable dans leur livre Uriel's Machine. Vous devez vraiment le lire pour suivre leur argumentation, mais en résumé cela donne quelque chose comme ça : Stonehenge a une fonction et une conception similaires à la « Machine d'Uriel », un dispositif dont la construction simple mais ingénieuse est décrite dans le Livre d'Enoch apocryphe. De telles « machines » sont des observatoires parfaits des phénomènes célestes et sont donc parfaites pour calibrer un calendrier. Elles peuvent non seulement être utilisées pour marquer les saisons et suivre le passage des étoiles et des planètes mais aussi pour observer et suivre les comètes en approche, qui comme nous l'avons vu dans les précédents articles, auraient été bien utiles durant cette période de l'histoire. Knight et Lomas prétendent que Stonehenge a été bâti dans ce but - un genre de « station d'avertissement cométaire » - après qu'un cataclysme cométaire il y a environ 10 000 ans ait nécessité le développement d'une connaissance astronomique précise pour prédire quand il se reproduirait (c-à-d. approximativement il y a 3 150 ans, selon K&L).

Maintenant, comme je l'ai mentionné, il n'y a aucune raison pour que Stonehenge n'ait pu servir à des buts duels ou même multiples, et c'est là qu'interviennent les transcriptions suivantes des Cs. Mais d'abord, un petit avertissement. Si vous êtes un athée/matérialiste pur et dur, préparez-vous à avoir vos sensibilités de « sensationnistes » agressées par des termes comme « esprits », « ondes de pensées », « télépathie » et (gasp !) « chakras », dans les transcriptions suivantes :

23 octobre 1994 :

Q : (L) Comment [les bâtisseurs de Stonehenge] ont-ils déplacé et érigé les pierres ?

R : Concentration d'onde sonore ; essayez-vous-même ; Château de Corail. [...]

Q : (L) Pour quoi faire ou pour quelle utilisation Stonehenge fut-il bâti ?

R : Directeur d'énergie.

8 décembre 1996 :


R : La situation [de Stonehenge] attirait ces types d'esprits sur la fréquence appropriée, qui, en retour, plaçaient les pierres à l'endroit approprié pour recevoir télépathiquement les communications codées, pour ne pas avoir à battre la campagne pour lire des pictographes encodés.

Q : (L) Quelle était la technique utilisée dans le cercle pour recevoir l'information télépathiquement ? [la planchette fait des spirales vers l'intérieur et des spirales vers l'extérieur.]

R : Séparation d'onde de pensée focalisée transcendante.

Q : (L) OK, donc vous dites que se déplacer dans une spirale ...

R : La spirale sert à traduire le message en ralentissant l'onde et en concentrant l'énergie de transmission de l'onde de pensée. Utilise/transduit les ondes électromagnétiques, le conduit, en décomposant le signal d'une langue d'intention universelle en langage de profil phonétique. C'est par nécessité d'utilisateur multiple.

Q : (L) Nécessité d'utilisateur multiple implique qu'un certain nombre de personnes doivent faire la spirale. Est-ce correct ?

R : Non. Doivent entendre, sentir et comprendre précisément la même chose. La structure moléculaire de la roche, lorsqu'elle est sculptée correctement, chante pour vous.

22 août 1998 :

R : Stonehenge est un vecteur d'énergie dérivée des rayons solaires et cosmiques.

19 février 2000 :

Q : Est-ce qu'il arrivait que certains d'entre eux communiquaient avec des êtres de densité supérieure via Stonehenge, et que ces communications qu'ils recevaient...

R : Stonehenge résonnait autrefois avec un ruisselet tonal, enseignant ce qui ne peut être enseigné avec des sagesses entrées psychiquement par le système d'émission-réception du chakra coronal. [ruisselet : un petit ruisseau, un canal peu profond creusé dans le sol par de l'eau courante ; couler en ou comme un ruisselet.]

Le Château de Corail


Si nous laissons de côté l'idée spéculative de « transmission d'onde de pensée » télépathique pour le moment, nous avons des idées liées au son (concentration d'ondes sonores, ruisselet « tonal », pierres « qui chantent »), à la résonance, au stockage d'énergie et à l'électromagnétisme, toutes associées à la construction et au but de Stonehenge. Lorsque j'ai rencontré la première fois l'idée de lévitation par le son, j'ai pensé que c'était dingue, pour être honnête. Puis j'ai vu cette vidéo, entre autres. Il s'avère que la lévitation acoustique est assez commune, et Wikipedia nous dit : « Il n'y a pas de limite théorique connue à ce que peut soulever la lévitation acoustique s'il y a suffisamment de son vibratoire, mais en pratique la technologie actuelle limite la quantité qui peut être soulevée par cette force à quelques kilogrammes tout au plus. » Aussi, peut-être que ce n'est pas si dingue, surtout en considérant que Edward Leedskalnin a été capable de créer le Château de Corail en utilisant des outils assez grossiers et une technique toujours inconnue de la science moderne. Selon la rumeur, Leedskalnin chantait à ses blocs de corail massifs, qui lévitaient...

Quant à la résonance acoustique, Aaron Watson et David Keating ont publié en 1999 un article sur leurs travaux en « archéoacoustique » intitulé « Architecture et Son : une analyse acoustique des monuments mégalithiques de l'Angleterre préhistorique ». Un article du Sunday Times rapportait leur travail :

Newgrange, [au nord de Dublin] la chambre funéraire néolithique la plus célèbre d'Irlande, pourrait avoir servi de « chambre d'écho » préhistorique lors de cérémonies religieuses, selon deux scientifiques qui ont découvert que la tombe vieille de 5 000 ans a la capacité de modifier les sons.
Aaron Watson, archéologue, et David Keating, expert en acoustique, ont réalisé jusqu'à 10 heures de tests sonores à Newgrange le mois dernier conjointement avec la BBC. Les tests comprenaient bourdonnement, ballons qui éclatent, tambours frappés et « ondes stationnaires » jouées vers les pierres. Les scientifiques de l'Université de Reading ont conduit des tests similaires à Stonehenge et sur d'autres sites néolithiques. « Nous avions un haut-parleur qui faisait un bourdonnement et lorsque vous avanciez vers le son, il devenait plus faible. C'était très inhabituel, » dit Keating.

« Cependant, si vous vous éloigniez vers les parois de la chambre, le son devenait plus fort. Même avec une connaissance moderne de l'acoustique, c'est un effet tout à fait mystérieux et bizarre. »

Après Watson et Keating, Rupert Till et Bruno Fazenda ont ensuite suivi le même chemin, en continuant le travail sur l'acoustique de Stonehenge. (Entre parenthèses, j'ai été très amusé lorsqu'un membre du forum a noté le nom du chercheur : R(upert) TILL. T(onal) RILL ? [ruisselet se dit « rill » en anglais - NdT) Le Telegraph a relaté la recherche de Till en 2009 :

M. Till, un expert en acoustique et technologie de la musique à l'Université d'Huddersfield dans le West Yorkshire, croit que les pierres levées avaient l'acoustique idéale pour amplifier un « rythme de transe répétitif ».

Le Stonehenge original avait probablement une « acoustique très plaisante, presque comme pour un concert », que nos ancêtres ont perfectionné lentement sur de nombreuses générations. ...


"Nouveau" Stonehenge, alias Maryhill Stonehenge
Les découvertes les plus excitantes sont apparues lorsque lui et son collègue, le Dr Bruno Fazenda, ont visité une réplique à l'échelle de Stonehenge en béton, avec toutes les pierres d'origine intactes, un mémorial de guerre édifié par le constructeur de routes américain Sam Hill à Maryhill dans l'état de Washington. ...

[Till] a déclaré : « Nous avons pu obtenir des résultats intéressants lorsque nous avons visité la réplique en utilisant un logiciel informatique d'analyse acoustique, un microphone 3D soundfield, un haut-parleur dodécahédrique et une énorme enceinte de basses d'une société de Pennsylvanie.

« En comparant les résultats des calculs sur papier, des simulations informatiques basées sur des modèles numériques et les résultats provenant de la copie de Stonehenge en béton, nous avons pu aboutir à certaines de ces théories sur les utilisations de Stonehenge. ...

« Le plus intéressant est que nous avons réussi à faire résonner tout l'espace (à Maryhill), presque comme un verre de vin résonnera si vous passez un doigt sur son pourtour.

« Pendant que cela se passait, un simple battement de tambour sonnait de manière incroyablement dramatique. L'espace avait un vrai caractère ; c'était comme si nous étions allés dans un endroit spécial. »

Vous pouvez écouter un très bel enregistrement qu'ils ont réalisé à Maryhill, avec des chants et des tambours, à la fin de cet article récemment publié dans le Daily Mail, ainsi que certains des sons simulés sur le site Internet de Till ici, qui comprennent des tambours, des claquements de main et une flûte. Regardez aussi les flammes des bougies. Vous parlez d'un inducteur de transe ! Si ces propriétés acoustiques étaient utilisées par les visiteurs néolithiques de Stonehenge, cela correspondrait très bien aux théories de l'archéologue cognitif David Lewis-Williams. Dans son livre (écrit avec David Pearce) Inside the Neolithic Mind: Consciousness, Cosmos, and the Realm of the Gods [Au coeur de l'Esprit Néolithique : Conscience, Cosmos et le Royaume des Dieux - NdT], il plaide que les sites de pierre néolithiques étaient utilisés pour provoquer des états de conscience modifiés et des visions hallucinatoires, produits et inspiration d'une religion et d'une vision du monde chamaniques. Mais peut-être y a-t-il encore davantage de choses que cela ? Prenez les extraits suivants du livre de Lyall Watson The Nature of Things: The Secret Life of Inanimate Objects [La Nature des Choses : La Vie Secrète des Objets Inanimés - NdT] :

Une certaine pierre semble avoir la capacité d'emmagasiner et libérer de l'énergie. Cela demande de l'attention, transporte des échos et réveille des souvenirs, de manière qui rendent les morceaux sacrés et donnent des arrangements plus grands et plus formels, tel un fort esprit des lieux. ... Cette conscience a toujours été répandue, mais elle restait secrète, quelque chose de pas très convenable pour une discussion scientifique (p. 30)

Il raconte ensuite l'histoire qui a inspiré le chimiste en semi-conducteurs Don Robins pour commencer ses recherches sur cette capacité des matériaux non organiques à emmagasiner et transformer l'énergie. Dans les années 1970, un zoologue traquait des chauve-souris avec un détecteur à ultrasons à l'approche de l'aube, lorsqu'il a entendu un signal fort venant d'un groupe de pierres levées. Pour autant qu'il puisse le dire, les pierres elles-mêmes étaient la source du bruit :

Il chercha des signes de vie dans le secteur, ne trouva rien et resta avec le sentiment étrange que les mégalithes eux-mêmes étaient la source du son vibrant, chantant au lever du soleil comme la statue colossale de Memnon semble le faire dans l'ancienne Thèbes. Je l'ai entendue. Peu avant l'aube, il y a un bourdonnement insistant. Un son de poitrine plutôt que de gorge, qui émane de la pierre et monte d'un ton quand la statue est frappée par les premiers rayons du soleil. Cela pourrait être le résultat de l'énergie, peut-être piézoélectrique, qui surgit quand la substance s'échauffe. Certaines roches sont connues pour faire cela naturellement. Peut-être que d'autres peuvent être amenées à le faire et façonnées de manière à amplifier le son ? De telles possibilités ont été explorées en 1978 et 1982 par le Projet Dragon, un groupe informel de scientifiques qui s'intéressait aux énergies anormales. Ils emportèrent des détecteurs sensibles à large bande et des compteurs Geiger sur de nombreux sites mégalithiques et trouvèrent que de nombreuses mesures ne pouvaient être expliquées en termes de radiation fortuite ou de bruit aléatoire. Certaines ... s'avérèrent être la source de signaux saisonniers qui atteignaient un pic puissant la plupart des matins à l'aube...

Depuis lors, Don Robins ... a continué à étudier de plus près toute la question du stockage et de la transformation de l'énergie dans les matériaux inorganiques. Il a commencé avec la découverte que les rayons X peuvent être utilisés pour révéler la symétrie et le motif au sein de la structure atomique des cristaux. Vu de cette manière, chaque élément inorganique consiste, semble-t-il, en une ossature à trois dimensions caractéristique ou un treillis d'atomes, dont l'architecture précise dépend de la pureté des éléments. ... cette condition ... fournit un moyen de piéger et stocker une information qui arrive. ... Il y a selon les mots de Robbins, « une énergie sauvage au cœur du cristal » et on soupçonne que cela pourrait fonctionner comme une forme rudimentaire de mémoire inorganique.

Toute matière est sujette à perturbation par une radiation naturelle venant de diverses sources. Cela transforme certaines molécules en une sorte de ruines d'atomes, libérant une frénésie d'électrons libres qui subissent diverses destinées. Certains sont perdus entièrement, mais quelques-uns au moins sont capturés dans les remous énergétiques [HK : ruisselets ?] qui entourent l'architecture du cristal, à la manière des vents isolés qui semblent être créés par certains grands bâtiments. Des cristaux impurs, comme des tours mal conçues, en arrivent bientôt à vibrer de la musique étrange de ces esprits sauvages qui peuvent être piégés et retenus captifs pendant des milliers d'années. Mais ils peuvent aussi être persuadés dans certaines circonstances de libérer leurs énergies et l'information qu'ils contiennent, à la demande.

...ce que Robbins suggère est que toute pierre, qui est après tout largement cristalline, devrait être considérée comme une sorte de macropuce. Un système électronique naturel, quoique fortuit, capable de stocker des énergies et, dans des circonstances appropriées, les rejouer plus tard. (p. 31-32)
Les découvertes du Projet Dragon établissent clairement que des forces électromagnétiques et mécaniques se comportent étrangement sur certains sites préhistoriques et que ces anomalies sont directement liées aux pierres elles-mêmes.

Il est intéressant que notre première conscience instrumentale d'une telle singularité ait due provenir d'une machine conçue pour détecter le son. Et il est fascinant d'apprendre à partir des découvertes récentes en microélectronique que les motifs au cœur du treillis de cristal sont perturbés par les ondes sonores presque aussi facilement qu'ils le sont par l'énergie électrique. Comme le fait remarquer Don Robbins, certains cristaux, dont le quartz, se trouvent être simplement des amplificateurs électroacoustiques naturels. [HK : le quartz est présent dans les pierres bleues de Stonehenge.] Tout à coup il semble merveilleusement opportun que notre relation avec des pierres spéciales ait toujours dû être si sonore, si généreusement accompagnée d'une cérémonie rythmique et de chants, si entrelacée de chants et de prières répétitifs. (p. 35)

© Thomas Sheridan
Nous sommes, suggère [Robins], lié à notre environnement, à nos bâtiments, pierres et objets, par une boucle de rétroaction qui relie l'énergie des deux. ... Nous avons la capacité non seulement d'imprimer une trace électronique dans le cristal et la pierre, mais aussi la capacité de déclencher la libération de cette mémoire lithique dans certaines circonstances. Robins croit que le couplage est le plus souvent acoustique et que l'enregistrement est le résultat direct de signaux sonores structurés comme ceux produits par la musique, les chants, les prières, la danse, les applaudissements et les chansons rituels.

Robins prend soin de ne pas sous-entendre que l'énergie piégée est organisée d'une manière analogue à l'esprit. Elle n'est pas créative ou consciente, mais néanmoins porte un motif qui peut modeler ou induire un certain état d'esprit. Autrement dit, en présence d'une telle pierre nous pouvons devenir conscients « des échos du passé » ce qui peut mener à une imagerie mentale particulière, peut-être même à une hallucination chez un individu ou même à une illusion collective. (p. 40-41)

Le quartz est apparu dans une autre source alors que je faisais des recherches sur les sujets de cet article. Dans son livre Le Serpent Cosmique, l'anthropologue Jeremy Narby écrit :

Le quartz est un cristal, c'est-à-dire un arrangement extrêmement régulier d'atomes qui vibre à une fréquence très stable. Ces particularités font de lui un excellent récepteur et émetteur d'ondes électromagnétiques ... Les cristaux de quartz ont joué un rôle dans le chamanisme dans le monde entier. ... Les chamanes amazoniens ... considèrent que les esprits peuvent se matérialiser dans ces cristaux de quartz, et devenir visibles. (p. 128)

Nous en lirons un peu plus sur Narby plus tard, mais la raison pour laquelle il discute du quartz est qu'il est utilisé dans presque toutes les expériences qui impliquent des biophotons, les photons émis par les organismes vivants. Bien que le mécanisme par lequel les biophotons sont émis ne soit pas connu, il a été observé expérimentalement et suggère des capacités à la fois d'émission et de réception. En fait, on l'a appelé langage « cellulaire » ou « biocommunication non-substantielle ». Des cellules séparées par un écran de quartz sont mutuellement influencées par les processus de multiplication des unes et des autres. Il n'y a aucune influence mutuelle avec un écran en métal.

En fait, l'ADN émet constamment des biophotons dans le spectre visible. Leur lumière, quoique très faible, est très cohérente, comme un « laser ultra-faible ». Un des collègues de Narby a décrit de telles sources : « Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu'un sentiment de profondeur holographique. » (p. 125) Narby spécule qu'il peut y avoir un lien entre les biophotons et le phénomène de conscience et que cette lumière peut être la source d'hallucinations visionnaires, qui sont à la fois en 3D et extrêmement colorées. La stimulation de l'ADN peut provoquer l'émission d'ondes lumineuses visibles. Un des principaux chercheurs sur le phénomène, Fritz-Albert Popp, a écrit à Narby : « Oui, la conscience pourrait être constituée par le champ électromagnétique formé par l'ensemble de ces émissions. » (p. 127) Narby se demande si ces biophotons sont en fait les « esprits » vus par les chamanes amazoniens, « des êtres de lumière pure ». Narby fait aussi remarquer que l'ADN est en réalité un cristal unidimensionnel et que les séquences répétées d'ADN non-codant forment un cristal périodique qui peut agir comme un récepteur de biophotons. Si Narby a raison avec son idée que l'ADN peut avoir « la capacité de capter des photons en provenance du réseau mondial formé par l'ensemble des êtres vivants à base d'ADN » (p. 129), peut-être que Stonehenge était vraiment un « directeur d'énergie » ?

En poursuivant, j'ai lu récemment un autre article sur les recherches acoustiques conduites sur des sites en Irlande, à Malte, en Turquie et au Pérou qui pourrait compléter le tableau. Les recherches à l'Hypogée de Hal Saflieni à Malte ont amené les scientifiques impliqués à suggérer « que certaines fréquences de vibration sonore créées lorsque le son est émis dans l'enceinte des murs modifient réellement les fonctions cérébrales humaines de ceux qui sont à portée d'audibilité. » Dans son article dans le journal Popular Archeology, Linda Eneix écrit :

L'activité cérébrale régionale chez nombre de volontaires en bonne santé fut surveillée par EEG au cours de l'exposition à différentes fréquences vibratoires sonores. Les résultats ont indiqué qu'à 110 Hz les modèles d'activité du cortex préfrontal changeaient brusquement, aboutissant à une désactivation relative du centre du langage et à un glissement temporaire de la dominance cérébrale de la gauche vers la droite, liée au traitement émotionnel et à la créativité. Ce changement ne se produisait pas à 90 Hz ou à 130 Hz...... En plus de stimuler leurs côtés plus créatifs, il semble qu'une atmosphère de son en résonance dans la fréquence de 110 ou 111 Hz aurait « allumé » une zone du cerveau dont les scientifiques bio-behavioristes croient qu'elle est liée à l'humeur, à l'empathie et au comportement social. Délibérément ou non, les gens qui ont passé du temps dans un tel environnement dans des conditions qui pouvaient comprendre une voix masculine grave - dans un chant rituel ou même une simple communication - s'exposaient à des vibrations qui peuvent avoir réellement affecté leurs pensées.

Ici, nous avons des approches totalement différentes qui aboutissent relativement à la même conclusion. Ci-dessus, Don Robins spécule que les propriétés électriques des pierres des mégalithes comme Stonehenge peuvent inspirer des expériences visionnaires. Jeremy Narby suggère un lien entre les cristaux, les biophotons et les états visionnaires. David Lewis-Williams a écrit un livre entier sur l'imagerie induite par la transe, la disposition et le symbolisme des sites néolithiques, enraciné dans la psychologie cognitive. Rupert Till a montré que la structure de Stonehenge est parfaite pour induire un état de transe à cause de ses propriétés acoustiques (ce que Robins relie directement à la « mémoire lithique »), et Linda Eneix et al ont mesuré des changements réels dans le fonctionnement du cerveau en réponse à certains sons sur des sites néolithiques. Notez que les zones du cerveau activées sont liées à la créativité, à l'empathie et au comportement social. Dans la théorie polyvagale de Porges, ces fonctions et comportements sont intimement liés à la stimulation du nerf vague, ce qui est un des principaux effets des techniques de respiration dans Éiriú Eolas. Comme les pratiquants l'ont relaté sur notre forum, les expériences visionnaires sont une caractéristique commune de l'état de conscience relaxé, alerte et empathique qui résulte de la pratique régulière du programme.

David Lewis-Williams, toutefois, est prompt à réduire les visions néolithiques (et toutes les autres) à de simples hallucinations, sans aucun fondement réel et sans signification pour notre culture « scientifique » supérieure. (indice : c'est un matérialiste éhonté) J'ai eu une impression similaire avec Robins ci-dessus, surtout la dernière phrase citée du livre de Watson. Mais si vous avez lu mon article dans le numéro 14 de The Dot Connector, vous saurez ce que je pense du vieil oncle S.A.M. (naturalisme sensationniste-athée-matérialiste). Je pense que c'est une vision du monde grandement défectueuse et incohérente. Je suis donc ouvert à l'idée qu'il puisse y avoir une certaine objectivité dans les données des états de transe chamaniques. (Narby serait d'accord sur ce point, signalant l'information biomoléculaire incrustée dans leurs visions.) Et s'il y a d'autres formes d'intelligence dans l'univers, comme les Cs éventuellement, peut-être que les mégalithes comme Stonehenge pourraient avoir été utilisés de la manière suggérée par les Cs ?

Échos du passé ... Échos de l'avenir ?

Visions de Fumée !

Pendant que nous sommes sur le sujet du chamanisme, nous pourrions aussi bien finir cet épisode avec quelques mots sur le tabac. (Après tout, fumer du tabac est bien plus amusant que des débris cométaires fumants !) Le tabac a été utilisé traditionnellement par de nombreux « techniciens de l'extase » dans les Amériques pour aider leurs quêtes de visions. Dans Le Serpent Cosmique, Narby cite le travail de Johannes Wilbert, un expert pionnier sur le sujet, qui a écrit : « Le tabac est connu depuis longtemps pour avoir joué un rôle central dans le chamanisme d'Amérique du Nord et du Sud, tant pour l'atteinte d'états chamaniques de transe que dans la purification et la guérison surnaturelle » (p. 187). Narby raconte aussi une conversation qu'il a eue avec un de ces guérisseurs à Quirishari, au Pérou, où il lui demande comment opère le tabac qu'il fume :


« Je dis toujours, la propriété du tabac c'est qu'il me montre les choses réelles. Je peux voir les choses comme elles sont. Et il expulse toutes les douleurs. ... [Les âmes aiment le tabac] parce que le tabac a sa méthode, sa force. Il attire les maninkari [les êtres invisibles]. C'est le meilleur contact pour la vie d'un être humain. ... [Les âmes existent] dans l'air. Cela veut dire que tu ne les vois pas, mais elles sont là, comme les ondes radio. Une fois que tu allumes la radio, tu peux les capter. C'est comme pour les âmes, avec l'ayahuasca et le tabac, tu peux les voir et les entendre. » (p. 36-37)

Narby a certaines idées très intéressantes relatives au chamanisme et à l'ADN, aussi je vous suggère de lire son livre. Maintenant, voici certaines choses que les Cs avaient à dire à propos du tabac le 27 juin 1998 [avec commentaires insérés] :

Q : Comment fumer peut-il être un mécanisme équilibrant ?

R : Accélère le métabolisme, permettant donc une consommation de nourriture plus grande. [...]

[HK : Fumer non seulement diminue l'insuline dans le sang, ce qui réduit donc l'envie de sucreries des fumeurs ; mais les fumeurs ont aussi un métabolisme accru.]

Q : Donc, vous dites que la nicotine est réellement bonne pour moi ?

R : Oui. Sans elle, vous conserverez des problèmes de poids, parce que vous ne serez pas capable de diminuer la consommation de nourriture suffisamment pour compenser. Pourquoi pensez-vous que vous avez eu l'idée de commencer à fumer en premier lieu ?

[HK : Le tabac est un coupe-faim connu et agit sur une région de l'hypothalamus des souris pour ce faire, selon une recherche publiée dans Science en juin 2011]

Q : Eh bien, je pensais que je suivais juste mes amis.

R : Non.

Q : Quelles autres choses fait la nicotine ?

R : Augmente les défenses.

Q : De quel genre ?

R : Immunologiques.

[HK : En réalité, la nicotine semble supprimer la fonction immunitaire, « mais pourrait avoir un potentiel thérapeutique en tant qu'agent neuroprotecteur et anti-inflammatoire » selon Mohan Sopori, qui écrit dans Nature.]

Q : Autre chose ?

R : Excite les neurotransmetteurs. Vous avez besoin de moins de sommeil.

[HK : A part stimuler simplement la libération de plusieurs neurotransmetteurs, Narby écrit dans Le Serpent Cosmique (p. 119) : « Plus vous donnez de la nicotine à vos neurones, plus l'ADN contenu à l'intérieur de ceux-ci active la construction de récepteurs pour cette substance, dans certaines limites. » L'acétylcholine se lie aux récepteurs nicotiniques et, par pure coïncidence, est aussi augmentée par la pratique d'Éiriú Eolas. Narby voit une relation entre la croyance des chamanes que les êtres invisibles « réclament » du tabac et la réponse de l'ADN : « Plus vous leur en donnez, plus ils en veulent. »]

Q : Est-ce vrai pour tout le monde ?

R : Non.

Q : (A) Combien de nicotine est nécessaire ?
© Mehmet Ozgur
R : 100 mg par jour.

Q : (A) Ce peut être sous forme de pilule ?

R : Les cigarettes l'infuse aux tissus du cerveau le plus efficacement.

[HK : D'après cet article où nous lisons que « Les résultats de David Warburton ont été répétés plus tard dans de nombreux essais contrôlés de nicotine, y compris Parrott & Winder en 1989 : « Chewing gum à la nicotine et fumer des cigarettes : Effets comparatifs sur la vigilance et le rythme cardiaque ». Comme le montre le graphique, fumer est la méthode d'apport de nicotine la plus efficace... » ]

Q : Eh bien, je suis certainement soulagée ! Maintenant je sais que je n'ai pas un « démon fumeur » qui me possède ! Je commençais vraiment à m'inquiéter !

R : Ceux qui correspondent à ce profil trouvent qu'il est presque impossible d'« arrêter » complètement.

Q : Donc, il y a des gens qui tirent réellement avantage de fumer ?

R : La génétique en donnera des preuves.

Q : Vous voulez dire qu'on peut voir des changements dans l'ADN avant et après avoir fumé ?

R : Proche.

Et voilà :

De nouvelles études suggèrent que les antécédents génétiques pourraient être la cause des difficultés des fumeurs à arrêter ou à diminuer leur habitude.

Plusieurs gènes peuvent dicter à quel point vous êtes susceptibles de commencer à fumer ou de pouvoir facilement arrêter, en se basant sur les études.

Dans une étude financée par l'American Lung Association (Association américaine du poumon), des chercheurs ont étudié plusieurs centaines de métabolites chez 19 patients divisés en groupes de fumeurs et non-fumeurs. Ils ont trouvé une différence significative dans les métabolites chez les fumeurs et les non-fumeurs.

« Cela nous donne une idée sur la manière dont les gens produisent des métabolites différemment lorsqu'ils fument des cigarettes, ce qui se fonde sur leur profil génétique particulier et d'autres facteurs biologiques et environnementaux, » dit le chercheur Ping-Ching Hsu, doctorant et investigateur principal de l'étude.

En utilisant un scan pangénomique, des scientifiques ont analysé des échantillons de sang de fumeurs par rapport à des non-fumeurs et ont trouvé des modèles génétiques similaires chez les fumeurs ...

Dans cette dernière étude, publiée dans l'American Journal of Medical Genetics, Philibert et ses collègues ont analysé des échantillons d'ADN de 94 personnes, certaines fumeuses, les autres non-fumeuses. En utilisant une technique appelée profilage transcriptionnel, ils ont examiné tous les 30 000 gènes du génome humain, en étiquetant par fluorescence ceux qui étaient activés contrairement à ceux qui étaient désactivés dans les deux groupes. Ce qu'ils ont trouvé fut à la fois prometteur et terrible : 579 gènes étaient plus activés et 584 autres gènes étaient moins activés chez les fumeurs par rapport aux non-fumeurs.

Il y a aussi la question de savoir si, une fois qu'une personne commence à fumer, une consommation accrue de nicotine amène certains gènes à s'activer ou se désactiver.

Épisodes précédents :
Le Palmarès des Cassiopéens n°1 : Prophétie, Prédiction et Présages de Choses à Venir
Le Palmarès des Cassiopéens n°2 : la Science de l'Espace et du Climat s'est déchaînée
Le Palmarès des Cassiopéens n°3 : l'Histoire c'est des Foutaises
Le Palmarès des Cassiopéens n°4 : la Nature, l'Éducation et mes Gènes de Singe
Le Palmarès des Cassiopéens n°5 : le Dr Greenbaum et les Candidats Mandchous
Le Palmarès des Cassiopéens n°6 : Dansons le twist planétaire sur l'air des Frères Héliopolis

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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 18:23
http://www.pansernature.org/kervran.jpg
 
 
Grandes possibilités de la matière vivante
 
Les transmutations biologiques se produisent au sein de la matière vivante. Elles peuvent donc se réaliser chez l'être humain, chez les animaux, chez plantes et chez les microorganismes. Elles permettent à la matière vivante ou à des écosystèmes complets de s'auto-équilibrer en matière de minéraux et d'oligo-éléments. La matière vivante peut ainsi se " fabriquer " les minéraux qui pourraient lui manquer en utilisant d'autres minéraux qu'elle possède en surplus. Cette possibilité est fantastique. À la lumière des travaux de Kervran, on ne peut plus considérer les carences minéralogiques de la façon conventionnelle.

 
 
LES TRAVAUX DU PROFESSEUR C. LOUIS KERVRAN
 
En 1962, ce chercheur, hélas, dont les travaux sont restés dans l’ombre, redoutable dénicheur, esprit d’une grande curiosité, fin analyste, dont les déductions laissaient pantois plus d’un de ses pairs, publiait les premiers résultats de ses recherches.
 
Il démontrait ainsi que des transmutations biologiques, simplement dues à l’énergie provenant d’êtres vivants (microbes, plantes, animaux), sont dans la nature aussi nombreuses que variées. Ces transmutations à faible énergie intéressent beaucoup de secteurs, en particulier celui de l’agriculture. Elles apportent une intéressante explication à beaucoup de questions restées sans réponse notamment dans le domaine de la santé.
 
Comment se fait-il qu’une terre laissée au repos (jachère) reconstitue d’elle-même ses propres réserves épuisées par des récoltes récentes ?
 
Pourquoi les pâquerettes sont abondantes sur les terrains sableux, pauvres en calcium(calcaire) alors que l’analyse découvre qu’elles sont riches …en calcium ?
 
Pourquoi le sarrazin ayant une affinité très nette pour les terrains sableux puisse contenir autant de calcium ?
 
L’expérience de Prout (1822) montre que le poussin, fraîchement éclos, referme dans son squelette quatre à cinq fois plus de calcium que n’en contenait l’oeuf au moment de la ponte ?
 
Comment les poules élevées en région granitique, sans calcium, pondent-elles des oeufs avec une coquille calcaire ?
 
Pourquoi des graines qui germent voient-elles le poids de leur potassium diminuer pendant que le poids de calcium augment ?
 
 
 
Réponse du professeur Kervran
 
Les micro-organismes sont capables avec les enzymes qu’ils élaborent, d’opérer des remaniements au sein du noyau des atomes. Dans une réaction chimique ordinaire, l’intégrité des atomes est respectée. Par contre, quand il s’agit de transmutations biologiques, c’est la structure intime du noyau des atomes qui varie sous l’impulsion d’énergies relativement faibles par rapport à celles mises en œuvre dans la physique nucléaire. Ceci le plus naturellement du monde.

 
http://ecx.images-amazon.com/images/I/61FX3iZjORL._SL500_.jpg
 
 
Les phénomènes aberrants
 
La théorie de Kervran sur les transmutations biologiques a permis d'expliquer un grand nombre de phénomènes dits aberrants. Par exemple, on sait depuis très longtemps que la prêle est une plante qui favorise grandement la recalcification. Les Romains l'utilisaient pour traiter les fractures osseuses. Or la prêle ne contient pratiquement pas de calcium. Elle est cependant très riche en silicium organique. C'est ce silicium qui est transformé en calcium dans l'organisme, comme Kervran l'a démontré. La réaction est la suivante :  Si (28) = C (12) + O (16).
 
Personne ne pouvait expliquer pourquoi la prêle est recalcifiant. Avec la théorie de Kervran, l'explication est fournie. Ce phénomène n'est donc plus considéré comme étant aberrant!
 
Kervran a également pu expliquer pourquoi la pratique de la jachère redonne aux sols leur richesse minéralogique. Il a expliqué aussi pourquoi on voit des pâquerettes apparaître sur des gazons dont le sol est plus ou moins épuisé en calcium.  Or les pâquerettes sont riches en chaux (carbonate de calcium). D'où tirent-elles ce calcium? Ces plantes transmutent donc un autre élément en calcium. Ainsi en se décomposant, la pâquerette apportera au sol ce dont il manque pour son équilibre. (voir aussi à ce sujet les travaux de Claude Bourguignon)

 
Composition atomique des éléments.

 
La découverte de la structure des atomes a révélé qu’ils sont tous formés de particules élémentaires (protons, neutrons, électrons), ce nombre tenant lieu de pièce d’identité.
1. le n° d’ordre des éléments dans la classification est donné par le nombre de protons de leur noyau.
2. certains éléments, ayant le même nombre de neutrons, ne sont séparés que par un proton : c’est le cas :
 
du bore et du carbone,
du fluor et du néon,
du phosphore et du soufre,
du sodium et du magnésium,
de l’aluminium et du silicium,
du potassium et du calcium.
 
Or cette différence d’un proton correspond à la composition du noyau d’hydrogène…

 
Règles des transmutations biologiques
 
Pour comprendre les transmutations biologiques, il faut en expliquer le fonctionnement.. Les transmutations répondent à des règles précises, énoncées par Kervran. Ces règles sont faciles à comprendre. On en compte cinq.
 
1. Les transmutations biologiques se font avec équilibre exact des masses atomiques.
 
2. Elles se font aussi avec équilibre du nombre des électrons.
 
3. Elles impliquent des déplacements (en plus ou en moins) de l'hydrogène (H), de l'oxygène (O), du carbone (C) ou du lithium (Li).
 
4. Elles se font à partir d'éléments naturels stables pour aboutir à d'autres éléments naturels stables.
 
5. Elles se réalisent à faible énergie et impliquent la présence d'enzymes spécifiques.
 
 
 
Reprenons ces règles une à une pour fournir une explication plus nette. La première règle implique les masses atomiques :
 
On sait que chaque élément a sa propre masse atomique. L'hydrogène qui est le premier élément, a 1,0079 comme masse atomique. Le calcium qui est le 20ième élément, a 40,078 comme masse atomique. Dans le tableau périodique des éléments, les masses atomiques sont indiquées. Pour qu'une transmutation biologique puisse se réaliser, il faut que les masses atomiques s'équilibrent.
 
Exemple : Si (28) = C (12) + O (16) 
 
La deuxième règle porte sur le nombre des électrons. Ce nombre correspond dans le tableau périodique des éléments à leur rang. L'hydrogène qui est le premier élément, a donc un électron qui circule autour de son noyau. Le deuxième élément est l'hélium (He). Il a donc deux électrons qui circulent autour de son noyau. Le calcium est le vingtième élément.
 
Il a donc vingt électrons qui circulent autour de son noyau. Pour qu'une transmutation biologique puisse se réaliser, il faut un équilibre exact du nombre des électrons.
 
Exemple : Si (14) = C (6) + O (8)
 
La troisième règle dit qu'une réaction de transmutation biologique doit nécessairement impliquer au moins des déplacements (en plus ou en moins) de l'hydrogène (H), de l'oxygène (O), du carbone (C) ou du lithium (Li).
 
Dans les deux exemples donnés plus haut, la transmutation serait possible puisque au moins un de ces éléments y est impliqué.
 
La quatrième règle porte sur les éléments naturels stables. Le silicium, le carbone et l'oxygène impliqués dans nos exemples ne sont pas des isotopes instables, mais des éléments stables. Les isotopes instables ne permettent pas de réaliser une transmutation biologique.
 
Exemple : Si (28) + H (1) = P (29)
 
Cette transmutation n'est pas possible puisque la masse atomique du phosphore (P) est de 31 et non pas de 29. On obtiendrait ainsi un isotope instable du phosphore, ce qui nie la quatrième règle.
 
La cinquième règle suppose l'existence d'une enzyme spécifique pour réaliser la réaction. Si cette enzyme n'est pas présente, la transmutation ne se produira pas, même si les quatre autres conditions précédentes sont réunies.
 
 
 
Les travaux de Kervran permettent d'entrevoir d'énormes possibilités.
 
Il est certes important d'apporter à l'organisme une bonne variété d'aliments pour échapper aux carences minéralogiques. Mais l'organisme dispose d'un bon nombre d'enzymes capables de réaliser des transmutations biologiques. Il faut savoir aussi que l'organisme fait très probablement largement appel aux transmutations biologiques pour aller chercher les minéraux et oligo-éléments dont il pourrait avoir besoin.

 
Ci joint : A la découverte des transmutations biologiques. De C Louis Kervran.
 


Sources :
 
 
 
Aller plus loin :
 
 
 
 
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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 02:14

Si vous n'êtes pas encore familier avec le travail passionnant de Nassim Haramein, préparez-vous pour une odyssée exaltante dans l'hyperespace et au-delà. Haramein, qui a passé sa vie à la recherche des domaines de la physique de la théorie quantique des équations relativistes et de la cosmologie, vous mènera le long d'une discussion fascinante axés sur la compréhension laïc de la nature fondamentale de l'univers et de la création qui comprend des trous noirs, les forces de gravitation, les dimensions , et la structure même de l'espace lui-même - qui font tous parties intégrantes de la Théorie du Champ Unifié. La Théorie Haramein est actuellement en processus d'examen par les pairs pour publication dans des revues de physique, mais la présentation ne se termine pas avec l'introduction de sa théorie seulement, mais comprend l'examen de la voie qu'il a fallu pour arriver à son point de vue, qui tisse entre les textes et les monuments des civilisations anciennes, la biologie, la chimie et le rôle primordial de la conscience - ce qui donnerait plus de crédibilité encore à la science derrière la théorie.

 

 

 


 

Trouvé sur :

http://presselibreinternationale.com/ (NENKI)

 

Aller plus loin :

Klaus Dona : L"histoire cachée du genre humain (Diaporama commenté)[VOSTFR]

La théorie du champ unifié et son impact sur la conscience humaine: entretien avec Nassim Haramein (Interview)

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12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 01:14

Prévisions Webbot de mai 2012 (rapport FRH2020) par Vternet-TV.

- Traduction du 2ème chapitre
- L’élection présidentielle française
- L’association RBEHP (http://www.rbehpfr.org)
- Mon éditeur qui a reçu des pressions pour retirer mon livre du marché

http://www.vternet2.tv

 


 

Le Web Bot ou le Projet Web bot (en anglais : Web Bot Project), est un bot informatique dont ses concepteurs prétendent qu'il est capable de prédire des événements futurs en indexant les mots-clés employés sur l'Internet. Il fut créé en 1997, initialement dans le but de prédire les tendances boursières. Le créateur du Projet Web Bot, Clif High, ainsi que son associé George Ure, qui s'appellent eux-mêmes « Les Moines du Temps » (« The Time Monks ») gardent le secret sur la technologie et les algorithmes employés et vendent les prédictions sur leur site.

 


 

 

 


 

 

 

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 17:40

http://www.hatem.com/LRH_html_m39d8be5a.jpg

 

1934-35 : Léon-Raoul HATEM, 12 ans : Le Principe de NEWTON est une absurdité ; ça ne peut pas marcher - Équilibre impossible...Le Prof est fou. A 13 ans il apprend par le Comte de Saintilan, Horloger, que le Mouvement Perpétuel n'existe pas, et qu'il est impossible. Personne ne le réalisera jamais ; la Physique s'y oppose. LRH n'en est pas persuadé. Il se dit en lui-même : Moi je le ferai, ou je saurai pourquoi c'est impossible.

1935 : Le jour même, LRH se met au travail avec un mouvement de vieux réveille-matin qu'il transforme pour réaliser un Mouvement Perpétuel. Déboire ; mais rien n'est démontré. Il ne jette pas le manche après la cognée. Il veut créer de l'électricité pour les nomades du Désert qui se déplacent en permanence.

Système solaire magnétique

A partir de là, LRH travaille sans relâche sur les aimants qui semblent être le seul moyen de produire un Mouvement Perpétuel. Cette Force le subjugue. Il crée des centaines de modèles différents avec des aimants qu'il prend sur des dynamos de vélos et des bouts de ferraille. Mais aussitôt, en 1939 où il est entré à l'École d'Horlogerie de Paris, son esprit le torture pour réaliser un système de montre avec deux balanciers qui s'entre-aident mutuellement et qui devraient produire un Mouvement Perpétuel ininterrompu.
 

Jour et nuit, il invente de nouveaux systèmes, avec des balanciers d'horloges, des rouages, desHorlogerie magnétique leviers, des ressorts, et toujours avec des aimants se combinant de façon différentes. Il apprend des choses incroyables ; sans relâche, il passe des nuits blanches à inventer de nouveaux systèmes qui devraient fonctionner. Il passe ses journées devant un petit établi dans un coin de mur, à faire de nouvelles expériences ; des larmes, des désespoirs, des rêves, et de nouvelles découvertes sur cette incroyable force qui attire et qui repousse. Et entre temps, il s'est marié avec Odette Leroy.


Son épouse le suit avec attention, mais aussi avec un peu de désespoir devant ces journées à chercher implacablement à réaliser ce machin qui devrait marcher et qui ne marche pas, presque désespérément. Mais LRH n'est pas homme à se laisser abattre. Il continue désespérément la lutte, avec chaque jour, une nouvelle solution.

Odette lui dit : L'Univers, c'est bien un Mouvement Perpétuel ! ... Et il lui répondit : Oui, mais personne ne saura jamais comment ça marche ! C'était en 1950 ; il en était encore à la science classique qui dit que c'est impossible, continuant désespérément ses expériences tout en fabriquant des pièces d'horlogerie à l'aide d'une presse à balancier, rêvant sans cesse, manœuvrant le balancier de la presse qui, sur son axe de rotation faisait un aller et retour. Ininterrompu.

15 mai 1955 : Et puis à un moment donné, le ciel lui Rotation synchroniséetomba sur la tête ; en cinq minutes, il comprenait toute la Mécanique Universelle : Il venait de découvrir la dégravitation, imaginant deux pôles magnétiques qui se rapprochaient en s'accélérant, puis s'éloignant l'un de l'autre en supprimant leur freinage mutuel. C'était donc cela l'Univers ; toutes les masses, particules atomiques et étoiles sont des aimants qui tournent en rotation synchronisées symétriquement, produisant une Énergie fantastique capables de former autant de Mouvements Perpétuels.

Dieu se cachait donc là. C'était le grand Secret de la Création d'une simplicité déconcertante et il se mit à pleurer comme un gosse, mais comblé de cadeaux.





1955 : Quelques semaines plus tard. Il se présentait à l'Académie des Sciences. Sa déception ne se fit pas attendre : Votre théorie ne nous intéresse pas ! C'était un coup de masse. Il vous faudra attendre cinquante ans pour... (je ne sais quoi). Il déposa donc quelques jours plus tard, deux enveloppes cachetées avec un résumé de sa découverte, à l'Académie, et trois enveloppes SOLEAU à l'INPI.

1960 : Mais ce ne fut pas tout : Un premier Brevet d'invention pour un moteur magnétique fut déposé à l'INPI de Paris. "Votre Brevet s'assimile à un Mouvement Perpétuel vous devez le retirer". Et pourtant, il tourne ! Inquisition !

1985 : Il sort son livre "ET L'UNIVERS FUT", 550 pages de détails. Gros succès des lecteurs dont plusieurs le considèrent comme "Horloger de l'Univers". Un seul secret demeure sans réponse : La dualité magnétique : D'où sort-elle ? Mystère !

1986 : Plus de 150 livres offerts gracieusement à l'Académie des Sciences sans le moindre écho. Des centaines de livres offerts, ainsi que des centaines de lettres d'information à des physiciens, sans le moindre remerciement. (Sans importance !)

1992 : Son fils Frank découvre l'origine de la dualité magnétique. Enfin ! C'était le complémentTracteur magnétique indispensable pour comprendre la totalité de la Mécanique universelle depuis la plus lointaine origine.

1999 : LRH, 79 ans. Achète une fraiseuse démodée pour réaliser le petit tracteur magnétique (25 kg) qui peut transporter près de 100 kg de charge avec 12 à 15 Watts de consommation en montant une côte à 5 %.

2001 : Dépôt de Brevet à l'INPI après cinquante années d'interdiction illimitée depuis 1950.

2002 à 2007 : Discussions avec l'INPI jusqu’au remboursement "partiel" du Brevet, imposé d'office pour non conformité à la Physique, seule ayant droit de cité dans le monde entier pour les données scientifiques. Cela est ridicule ; elle n'est pas la connaissance.

2005 : Procès en "appel" avec reconnaissance du Jury, de la valeur scientifique de ses réalisations ; mais perdu par vice de forme pour omission de sa profession et de sa date de naissance.

2006 : Dépôt d'un Certificat d'Utilité au Brevet initial, refusé d'office pour le même motif de non conformité à la Physique.

2007 : Premiers essais réussis pour la production gratuite d'Électricité. Un plagiaire se jette dessus et vend ses Brevets sans son autorisation, sur eBay. Rejeté en 2008, il continue néanmoins sur internet.

2008 : Jean-Yves Bilien, cinéaste des Inventeurs avec son équipe, produisent le DVD sur Léon-Raoul Hatem "L'Horloger de L'Univers"(*).  Les présentations sont faites.

 Léon-Raoul Hatem et l'énergie libre

 

Monsieur Léon-Raoul Hatem a œuvré toute sa vie pour diffuser ses découvertes et la connaissance. Aujourd'hui il offre, aux chercheurs désireux d'approfondir ses travaux, l'ouvrage qui résume l'essentiel de ses découvertes : "Et l'univers fut". Pour le télécharger : "Et l'univers fut".pdf

La vision de Monsieur Léon-Raoul Hatem sur l'origine de l'univers est bouleversante. Il propose au monde une théorie magnétique claire et unificatrice de l'univers. Son seul handicap temporaire a été de remettre en cause la physique traditionnelle. Et, nous le savons, elle n'aime pas beaucoup cela.

Peut-être, Monsieur Léon-Raoul Hatem était juste un peu trop en avance...

 

 


 

 

 


 

 

Source :

http://www.magnetosynergie.com

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 19:14

La Terre vue depuis l'ISS, 4 minutes de spectacle cosmique à couper le souffle tirées des photographies de la 30ème mission à bord de la station orbitale, (re)bienvenue sur notre planète !

 

 





Trouvé sur :
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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 21:13

 

Conférence de Merhan Keshe à Eindhoven (Nov 2011) sur le générateur électrique à plasma (Extrait - VOST)


On voit à quel point la science "officieuse" à énormément d’avance sur la science "grand public"c’est tout un monde, un paradigme qui sépare les deux.

 

 


Trouvé sur :

http://mega-streaming.info


Un nouvel horizon

Gravitation between planets and starsGravitation between planets and stars 
Les scientifiques ont aspiré à comprendre l’intelligence et les mécanismes derrière le secret de la création et du maintien de l’énergie et de la gravité et du mouvement dans l’Univers. Grâce à de nouvelles connaissances, de nouvelles méthodes et de nouvelles technologies, une énorme quantité d’énergie et de force de gravité telle qu’elle existe dans l’ordre de l’Univers peut être générée au cœur même de réacteurs construits par l’homme. Ceci est notre but.

 

 

La technologie à développer est un système totalement intégré pour créer de l’énergie et de la gravité dans le centre du système. En utilisant les méthodes des interactions dans l’univers, l’homme sera capable de construire et d’utiliser de nouveaux systèmes pour se déplacer dans l’espace, sans carburants fabriqués par l’homme et sans être entravés par la gravité.

 

L’énergie produite par ces systèmes est similaire à celle produite naturellement dans l’univers, qui utilise des forces géomagnétiques et des éléments essentiels pour créer de l’énergie, des champs magnétiques et ensuite de la gravité. Ainsi il devient possible de créer une force ascensionnelle sans utiliser du carburant en créant l’anti-gravité, et d’utiliser dans l’espace la gravité créée directement dans le centre du système. Cette technologie va incorporer les théories des conditions de l’atmosphère géomagnétique pour se protéger de toutes interventions environnementales et physiques extérieures.

 

Nous espérons que les systèmes ainsi réalisés apportent le droit au plaisir pour l’homme d’une manière saine et non polluée.


UN NOUVEL HORIZON 

Par cette compréhension, un nouvel horizon s’ouvre dans l’avenir pour la création et le contrôle de la gravité.

 

Actuellement, la technologie du réacteur est totalement développée pour des centaines d’applications. Ceci ne représente que la pointe de l’iceberg des nouvelles opportunités générées par cette technologie. Grâce à ce nouveau développement et la conception de ce réacteur, beaucoup de découvertes ont été mises à jour au cours des derniers mois, et beaucoup d’autres sont en passe d’être réalisées. Ces réacteurs peuvent être aussi petits qu’une pile rechargeable ou mesurer plusieurs mètres pour produire de l’énergie à grande échelle ou pour des applications spatiales.

 

Le monde scientifique et industriel cherche depuis toujours un système efficace pour produire le mouvement. En réalité, produire ce mouvement à des coûts négligeables est accessible à l’homme depuis toujours. L‘homme doit simplement examiner sa planète pour trouver la réponse.


LA TERRE, LES PLANETES ET LES ETOILES 

La terre, comme toutes les planètes et les étoiles, possède un noyau de chaleur central. La création et le maintien de cette chaleur et le mouvement engendré ne sont pas du niveau des étoiles et ne relèvent pas des méthodes choisies jusqu’à présent par l’homme pour réaliser ces progrès techniques. Ces propriétés sont le résultat d’un équilibre entre les éléments impliqués.


Réacteur prêt à être testé


   Dans ce réacteur contenu dans cette simple bouteille de cola, nous créons un environnement clos avec son propre équilibre général interne, et aussi avec un nombre de déséquilibres localisés dans  le liquide.  Il faut cependant garder à l’esprit  que ces grands objets spatiaux sont composés de combinaisons d’éléments fondamentaux au niveau atomique et moléculaire, et que des processus variés de création et de décadence se produisent constamment entre les ces éléments.


Une planète possède et maintient de la chaleur, des forces magnétiques et de gravité grâce à un système intégré, et la plupart des planètes dans le système solaire ont comme élément commun la source de leur énergie.  Au centre des planètes la température atteinte est de l’ordre de milliers de degrés alors que dans les étoiles elle est de l’ordre de millions.

 

Cependant, le magnétisme et la gravité peuvent être obtenus à toutes les températures.

L’idée qu’une température et pression élevées soient nécessaires pour provoquer des interactions de base entre les éléments du tableau périodique est une conception scientifique erronée depuis la nuit des temps. Dans nos réacteurs prototypes basés sur cette nouvelle compréhension, nous créons aujourd’hui, même dans des prototypes de réacteurs statiques, des processus de base (comme la production d’hydrogène atomique) à température et pression atmosphérique ambiantes.

 

Nous avons prouvé que la puissance du champ magnétique et la gravité des planètes dépend davantage de la composition des éléments et de la vitesse du mouvement au centre du noyau de la planète plutôt que de la dimension ou de la chaleur ou de n’importe quel autre facteur dans la structure de la planète ou de l’étoile.

 

Pour avoir un système gravitationnel compréhensible, il faut appliquer à la lettre les lois universelles de physique pour concevoir quelque système viable ou réacteur, que ce soit pour créer de la chaleur, des champs de force magnétique et de la gravité.


En effet :

  •  Les planètes n’ont pas d’ailes mais ils volent pendant des millions d’années dans leurs systèmes. 
  •  Les planètes n’ont pas de salle de machines ou de moteurs à réaction fixes, mais elles créent de l’énergie et sont en mouvement  dans différentes dimensions en même temps. 
  •  Les planètes n’ont pas de pot d’échappement mais elles  brûlent du carburant et produisent de la chaleur, certaines de l’intérieur et d’autres à l’extérieur comme les étoiles.
  • Les planètes n’ont pas de salle de défense mais elles protègent leurs habitants grâce à un bouclier magnétique appelé atmosphère.
  • Les planètes n’ont pas de vannes ni de portes dans leur centre mais elles apportent l’élément dont elles ont besoin pour maintenir leur existence en appliquant les lois naturelles.
  • Les planètes n’ont pas besoin de s’attacher à la matière ni aux créatures en les attachant ou en les maintenant cachées, mais elles créent des forces gravitationnelles suffisamment faibles pour qu’elles soient libres, et en même temps suffisamment fortes pour qu’elles puissent s’attacher à elles. 
  • En appliquant les lois naturelles de la physique et des éléments, les planètes et les étoiles font tout cela en même temps, sans machinerie séparée, ni de sale de contrôle ni de carburant.   Elles accomplissent tout ceci en un processus totalement intégré.  

Donc, pour la première fois dans le monde de la technologie et de l’esprit, dans et par le concept de et en testant ce nouveau system, les principes fondamentaux sont mis de côté pour montrer comment tous ces effets cités ci-dessus pourraient être très facilement atteints, tous en même temps et de manière universelle naturelle en un seul system.

 


SOURCE :

http://keshefoundation.com

 

Aller plus loin :

Pierre Lance, "Savants maudits, Chercheurs exclus" (Docu+article) [VF]

L'énergie osmotique promise à un bel avenir pour la planification écologique ! (Article)

 

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 13:52

http://www.astronoo.com/images/images_Lunes/prometheeLuneDeSaturne.jpg

Prométhée au premier plan au dessus de l'anneau F et sous l'anneau F, on aperçoit Pandore.
Crédit : Cassini imaging team NASA.

 

 

Des observations réalisées par la sonde spatiale Cassini-Huygens, qui tourne autour de Saturne depuis 2004, ont permis de découvrir de drôles d'activités dans l'anneau F de la planète géante.

C'est une vrai bataille de boules de neige, à l'échelle spatiale bien entendu, qui se joue autour de Saturne, et plus exactement au niveau de ses anneaux F. Bien connu des scientifiques, ceux-ci sont en effet l'objet d'une particularité due à la présence en leur sein d'un satellite de la planète, Prométhée. Régulièrement, il s'approche du bord de ces anneaux F et attire à lui des particules de glace, ce qui crée des distorsions dans cette zone, qui ont été obervées par Cassini-Huygens. Pourtant, l'équipe du Professeur Murray de l'Université Queen Mary de Londres, qui a présenté ses travaux au Congrès de l'European Geosciences Union (EGU) de Vienne, a fait une étonnante découverte.

Il a en effet observé d'autres mouvements de distorsion de ces anneaux, sans que Prométhée ne se trouve pourtant dans la zone. Des distorsions, sous forme de jets de glaces, moins importantes que celles provoquées par le satellite mais bien observées par la sonde spatiale. En fait, ce sont les éléments de glace soulevés par Prométhée lors de son passage qui finissent, sous l'effet de l'attraction de ce dernier, par former des boules de matière glacée. Celles-ci finissent par revenir dans les anneaux à une vitesse de rotation bien moins importante que celle des blocs qui les composent, provoquant ainsi de nouveaux jets.

Une situation scrutée par les scientifiques qui voient dans le système d'anneaux de Saturne une sorte de mini-système solaire originel et qui pourraient créer un modèle prenant en compte ce type de phénomènes pour expliquer la formation du Soleil et de la Terre...

 

 


 

 

Source :

http://www.maxisciences.com

 

Aller plus loin :

SCIENCE-ESPACE

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 21:41

(Source : ESO News)

En mai 2012, selon l’Observatoire Astronomique Nationnal du Japon, le champ magnétique du soleil sera renversé et deviendrant à pôle quadruple. Cela signifie qu’il y aura des pôles positifs aux pôles sud et nord et qu’un champ négatif apparaîtra à l’équateur.

Un phénomène similaire est survenu il y a 300 ans, la Terre a expérimenté une légère baisse de température (environ 0,6 degré).


On ne sait pas pourquoi le renversement de pôle se produit mais on constate que c’est lié au cycle de 11 ans des tâches solaires. Exceptionnellement, le présent cycle s’allonge sur 13 ans comme il y a 300 ans.

 


 

 

http://choualbox.com/Img/20120206203925M.jpg

Lac Léman Hiver 2011/2012

 

Et quelle genre de météo l’Europe a-t-elle connu il y a 300 ans? en voici un aperçu :

 

hiver 1684                   hiver très dur, la mer gèle sur plusieurs milles en Angleterre, en Hollande et en France. Aucun bateau ne peut en sortir. Tamise gelée du 23 décembre au 7 février, des marchés s’y déroulent dessus. Famine  à Tours. Neige extraordinaire dans le midi. Garonne gelée grâce à la couche de neige les blés sont épargnés

 

15 janvier 1684              -14.9° à Paris

16 janvier 1684              -14.9° à Paris

3 février 1684                -16.3° à Paris (max. –10.9°)

4 février 1684                -16.8° à Paris

printemps 1684             printemps sec

 

été 1684                      été chaud, vendanges précoces, juin et juillet caniculaires dans l’Est très chaud très sec, « stérile en grains » (Seine et Marne)

 

10 juillet 1684               35° à Paris (selon les mesures de Cassini)

4 et 8 août 1684            35° à Paris (selon les mesures de Cassini)

24  août 1684                Grandes chaleurs, récoltes perdues (Deux Sèvres)l

automne 1684               froid et humide

23 septembre 1684        max. 12.1° à Paris

novembre 1684              très froid

hiver 1685                     hiver très froid (neige abondante dans l’Est)

printemps 1685             sec

 

été 1685                       été froid et humide, « rude » récoltes bonnes (Poitou). Toujours la sécheresse dans le midi « les cachots sont remplis de fermiers inolvables »

 

5 juin 1685                    pas plus de 12.9° à Paris

automne 1685               automne doux

hiver 1686                     hiver peu rigoureux (en janvier inondation dans l’Ouest)

 

printemps 1686            printemps très chaud et sec

été 1686                      été chaud, sécheresse, migration de sauterelles dans le midi, caniculaire dans le Nord, vendanges précoces


21 juin 1686                  Nuit chaude, min. 22.2° à Paris

automne 1686               Automne sec

 

1687-1690                    quatre printemps. Etés pourris redoutables fraîcheurs après des belles années


hiver 1687                     Hiver très froid et très neigeux,

printemps 1687             frais

11 mars 1687                23.7° à Paris

19 mai 1687                  29.8° à Paris

 

été 1687                       encore favorable, très bonnes (Poitou) à nouveau plus humide dans le midi, après 7 ans de sécheresse

 

automne 1687               frais et humide

12 septembre 1687        max. 11.8° à Paris

hiver 1688                     Hiver très froid   (ACS) ou pas rude du tout (Vareddes)

 

Printemps 1688             Très froid et sec. Toute l’année est froide.

 

Eté 1688                      Eté frais et humide (ACS) ou bon (Vareddes)

30 juillet au 1er août 1688           Gel nocturne, par temps clair (Indre et Loire)

automne 1688               frais et humide

2 septembre 1688         Neige et gel nocturne à Manthelan (Indre et Loire)

octobre 1688                 très froid

hiver 1689                     Hiver froid,

 

1er janvier 1689              Crues, inondations à Saumur (Maine et Loir)

13 janvier 1689              -14.9° à Paris

printemps 1689             froid

30 mai 1689                  pas plus de 12.1° à Paris

été 1689                       frais et très humide,

1er juin 1689                  pas plus de 11.1° à Paris

4 juin 1689                    pas plus de 12.1° à Paris

10 août 1689                 26.8° à Paris…et c’est le plus chaud de tout l’été !

16 août 1689                 max. 16.5° à Paris

automne 1689               humide (inondations en octobre en Seine et Loire)

1690-1701                    années catastrophiques En Suède décennie très humide, printemps froids

printemps 1690             Printemps glacé

été 1690                       humide

28 juin 1690                  Gros orage à Sceaux (Hauts de Seine). La Seine atteint 7 m 55 à Paris

hiver 1691                     hiver glacial et très sec.

27 janvier 1691              max. 4.2° à Paris, c’est le plus chaud de tout le mois

7 au 9 mai 1691            En mai fortes gelées (vignes centre – est + Deux Sèvres)

21 mai 1691                  Orage de grêle à Exoudun (Deux Sèvres)

été 1691                       été chaud, « rude »

automne 1691               frais

11 novembre 1691         max. 0.1°  à Paris

 

hiver 1692                   hiver très froid, glacial, neigeux

janvier 1692                  Neiges abondantes en Seine et Loire

février 1692                   Neiges abondantes dans le Centre et le Nord

 

Printemps 1692           très froid


24 avril 1692                très froid, « à peine une feuille sur les arbres »


mai 1692                      Gel des vignes

9 mai 1692                   pas plus de 9.6° à Paris

 

été 1692                      été pourri, glacé et très pluvieux saisons « renversées »

 

22 juin 1692                  Gros orage près de Ribeauvillé

juillet 1692                    Pluies continuelles dans le Nord, et l’Est

6 août 1692                  Le Furan déborde à St-Etienne

 

automne 1692             froid et humide, vendange le 12 novembre !


septembre 1692            Pluies abondantes dans le Nord

14 septembre 1692        max. 11.4° à Paris

11 octobre 1692            max. 4.2° et neige à Paris !

 

18 octobre 1692           le gel anéantit le peu de blé qui reste, grappes gelées avant maturité


27 octobre 1692           15 cm de neige à Paris ! 


novembre 1692              Glacial dans l’Ouest

1692-1693                    récoltes ratées, famine, disette apocalyptique, 


hiver 1693                     hiver froid. Meuse gelée à Namur

 

printemps 1693            printemps glacé, très humide


22 mars 1693                Pâques précoces

13 mai 1693                  pas plus de 8.2° à Paris

été 1693                       meilleur que 1692, orages coup de chaleur en août, échaudage très mauvaises récoltes. Famine

automne 1693               automne froid et pourri

 

hiver 1694                   hiver très froid, le lac de Constance gèle


janvier 1694                  Glacial dans le Centre. Neige abondante dans l’Est et Sud-Est

24 janvier 1694              -13.5° à Paris

février 1694                   Neige abondante dans le Centre

printemps 1694             frais et sec

28 avril 1694                 26.2° à Paris

été 1694                       humide « fort peu de vin » en Meurthe et Moselle

août 1694                     Tornade à Topsham (S.O. Angleterre)

3 août 1694                  Crue du Furan (rupture), St-Etienne inondée

automne 1694               frais et humide

octobre 1694                 très froid

 

hiver 1695                   hiver très froid, très sec,.Islande entièrement prise de glaces. D’octobre à mars. Jusqu’à –15° à Paris

 

6 février 1695                -18.1° à Paris

10 février 1695               -17.2° à Paris

 

Printemps 1695           Printemps glacé


Eté 1695                      été froid, cyclonique. Pluies « inquiétantes » en juillet et en août vendanges tardives (38)

27 octobre 1695            max. 5.7° à Paris

Hiver  1696                   sec et froid

15 janvier 1696              17.9° à Paris, record de douceur…

printemps 1696             froid

été 1696                       humide, récoltes acceptables

 

hiver 1697                     Hiver très froid, sec, Rhône gelé, famine nordique. Garonne gelée

 

5 février 1697                -15.8° à Paris

printemps 1697             froid

10 mai 1697                  29.8° à Paris

11 mai 1697                  30.1° à Paris….et c’est le plus chaud de toute l’année !

été 1697                       humide , récoltes acceptables

automne 1697               frais

9 octobre 1697              max. 7.5° à Paris

 

hiver 1698                   hiver très froid


janvier et fév.1698          Glacial, neige dans le Centre

février 1698                   Inondations en Seine, Loire, Ouest

1er février 1698               -12.6° à Paris

printemps 1698            printemps froid et humide (en mai vignes gelées)

mars et avril 1698          Début de printemps pourtant favorable

mai 1698                      Glacial, le plus froid entre 1676 et 1712

3 mai 1698                   Très fortes gelées, vignes durement touchées. -0.1° à Paris

 

8 mai 1698                   Neige à Valenciennes

14 mai 1698                  pas plus de 7.8° à Paris

 

été 1698                       été froid (chaud selon quid, « rude » selon parentele), vendanges extrêment tardives « l’année la plus froide de tous les temps » (Indre et Loire). Aucune vendange récoltée en Vendée

 

19 juin 1698                  Pluies. Crues, inondations à Puiseaux (Loiret) et à Aufferville (Seine et Marne)

 

Août-septembre 1698    Très frais

23 août 1698                 max. 16.1° à Paris

automne 1698               automne froid et très humide, en septembre fortes pluies Ouest + Sud-Ouest

3 septembre 1698         Orage de grêle à St-Flouvier (Indre et Loire)

hiver 1699                     Hiver froid, neigeuxMeuse gelée à Namur

 

Printemps 1699           Printemps glacial ! !


Automne 1699              sec

1700 à 1703                  vendanges tardives

hiver 1700                     Hiver très froid et sec

 

printemps 1700            Printemps glacial !

 

Source : http://www.meteoromandie.ch/de-lan-1681-a-lan-1700.php

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 17:23

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcR-lCcdJ2tsw2Cw6nx_LohcJVpyJ-sIvVH_SU2gn69By3B0eNMWayXhW31csA

 

Clemens Wirth, un jeune autrichien spécialiste en art multimédia est parvenu à filmer les micro organismes évoluant dans une simple goutte d’eau.


Âmes sensibles s’abstenir. Le court métrage réalisé par Clemens Wirth pourrait bien vous faire passer l’envie de boire l’eau de votre robinet. Ce jeune spécialiste, diplômé auprès de l'Université des Sciences Appliquées de Salzbourg, en Autriche, vient d’accomplir une véritable prouesse vidéographique.

 

Armé d’une caméra et d’un microscope, Clemens Wirth a filmé les organismes évoluant dans une simple goutte d’eau grâce à une technique baptisée "microscopie en champ sombre". Le résultat est à la fois captivant et effrayant. Une véritable colonie de micro créatures cauchemardesques défile sous l’objectif du caméraman. La réalisation, appelée "Micro Empire", peut être considéré selon son auteur comme une "époustouflante expérience subcellulaire".

 

"Passionné de petits organismes, j’ai voulu aller au delà de l'univers macro. C’est comme ça que je me suis retrouvé suspendu à l'oculaire d'un microscope" confie au Daily mail Clemens Wirth. Il conclut : "C'est vraiment fascinant d’observer en détail tout ce petit monde et de se rendre compte de ce qui se passe dans une seule goutte d’eau".

 

 

 

SOURCE : Maxiscience.com

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 00:12

Sur Google Earth : 43°04'51.75"N/92°48'26.85"E

 

Ce complexe se trouve dans une région reculée de la Chine. Les marquages au sol sont vraiment étranges pour des pistes de décollage / aterrissage.. Sans parler des ces "8" qui jonchent le sol !  Sur quelques sites on nous parle d'antennes radars.. Mais après tout, ceci ne peut être qu'une simple base de l'armée servant à des manoeuvres..  Dans tout les cas beaucoup aimerait avoir la même résolution d'image en survolant d'autres parties du globe avec google earth !!

 

    http://www.viewzone.com/cgrid/cgrid7.gif

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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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