Source :
Bistro Bar Blog
23 janvier2013, par Marco Torres
Le génome humain contient des millions de gènes qui résident dans des brins d'ADN qu'on considérait autrefois comme ''sans valeur'',
mais il s'avère que l'ADN soi-disant ''sans valeur'' joue un rôle très important dans le comportement des cellules, des organes et autres tissus. Des chercheurs de Cambridge ont publié un article
prouvant que des structures d'ADN à quatre brins, en quadruple hélice – connues comme G-quadruplex – existent aussi dans le génome humain. La question est, combien de brins d'ADN les êtres
humains peuvent-ils posséder ? Certains généticiens prétendent que les humains auront un jour 12 brins.
Il y a seulement quelques années, la médecine moderne a reconnu officiellement le premier cas d'un enfant avec 3 brins d'ADN. Un petit
garçon de deux ans, Alfie Clamp est devenu la seule personne au monde à être diagnostiquée avec un brin supplémentaire dans son ADN. Il est né aveugle et affecté de handicaps sévères, qui ont
conduit les médecins à pratiquer divers tests. Ils ont révélé que son septième chromosome possédait un brin supplémentaire de matériel ce qui n'avait jamais été documenté nulle part auparavant
dans le monde. Les médecins ont été déconcertés par cette situation, qui est si rare qu'elle n'a même pas de nom.
Le Dr Berrenda Fox a dit ''Nous découvrons qu'il y a d'autres hélices qui se sont formées. Dans une double hélice il y a deux brins
d'ADN enroulés en spirale.'' Le Dr Fox dit qu'il se passe des changements et mutations majeurs dans notre ADN. Nous évoluons. ''Nous sommes en train de développer douze hélices. Durant cette
période, qui semble avoir démarré peut-être il y a 20 ans, nous avons muté. C'est l'explication scientifique. C'est une mutation de notre espèce vers quelque chose dont le résultat final n'est
pas encore connu,'' a-t-elle exposé.
La découverte du G-quadruplex marque la culmination de 10 ans d'investigation par des scientifiques pour pouvoir montrer ces
structures complexes in vivo – dans des cellules humaines vivantes – en partant d'un modèle hypothétique par informatique suivi d'expériences de laboratoire pour finir par leur
identification dans des cellules cancéreuses humaines par utilisation de biomarqueurs fluorescents.
La recherche, publiée dans Nature Chemistry et financée par la recherche sur le cancer en Grande-Bretagne, continue à montrer
des relations claires entre les concentrations de quadruplex à quatre brins et le processus de réplication de l'ADN, qui est essentiel à la division et à la production de cellules.
Des études physiques depuis une quarantaine d'années avaient montré que l'ADN quadruplex peut se former in vitro – dans un
tube à essai – mais la structure était considérée comme une curiosité plutôt qu'une particularité trouvée dans la nature. Les chercheurs découvrent aujourd'hui pour la première fois leur
formation dans l'ADN de cellules humaines. On trouve en fait régulièrement de l'ADN quadruplex dans le génome de cellules humaines et dans leurs cycles de division.
Une étude a montré que si on utilise un inhibiteur qui bloque la réplication de l'ADN, les niveaux de quadruplex baissent – prouvant
l'idée que l'ADN est dynamique, avec des structures se formant et se défaisant en permanence. Les chercheurs ont découvert auparavant qu'un gène suractif avec de hauts niveaux d'ADN quadruplex
est plus vulnérable à une interférence extérieure.
La recherche scientifique a aujourd'hui prouvé que notre ADN contient des codes génétiques pour notre évolution physique et
émotionnelle grâce à une fréquence contenue dans les langues que nous parlons.
C'est l'indication d'un tout nouveau type de médecine dans laquelle l'ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des
fréquences SANS couper ni remplacer un seul gène.
Les découvertes et conclusions des chercheurs russes sont simplement révolutionnaires ! Selon eux, notre ADN n'est pas seulement
responsable de la construction de notre corps, il sert aussi de stockage de données et dans la communication. Des linguistes russes ont découvert que le code génétique, surtout dans l'ADN
apparemment sans valeur et inutile, suit les mêmes règles que tous nos langages humains. À cette fin ils ont comparé les règles de syntaxe (la manière dont les mots sont assemblés pour former des
phrases), la sémantique (l'étude de la signification des formes de langage) et les règles de grammaire de base. Ils ont découvert que les alcalins de notre ADN suivent une grammaire régulière et
possèdent bien des lois, juste comme nos langues. Donc les langages humains ne sont pas apparus par coïncidence mais sont le reflet de notre ADN intrinsèque. Le biophysicien et biologiste
moléculaire russe Pjotr Garjajev et ses collègues ont aussi exploré le comportement vibratoire de l'ADN. En résumé, ''les chromosomes vivants fonctionnent exactement comme des ordinateurs
solitoniques/holographiques en utilisant un rayon laser d'ADN endogène.'' Cela veut dire qu'ils ont réussi par exemple à moduler certains schémas de fréquences sur un rayon laser et ont influencé
la fréquence de l'ADN avec et donc l'information génétique elle-même. Comme la structure de base des paires alcalines de l'ADN et celle du langage (comme expliqué plus haut) proviennent de la
même structure, aucun décodage de l'ADN n'est nécessaire.
Ceci explique finalement et scientifiquement pourquoi des affirmations, le training autogène (relaxation auto-dirigée), l'hypnose et
toutes ces choses ont de si puissants effets sur les humains et leur corps. Il est entièrement normal et naturel que notre ADN réagisse à notre langage. Alors que les chercheurs occidentaux
coupent les gènes simples des brins d'ADN et les insèrent ailleurs, les russes ont travaillé avec enthousiasme sur des appareillages qui peuvent influencer le métabolisme cellulaire par des ondes
radio modulées appropriées et des fréquences lumineuses qui peuvent donc réparer des malformations génétiques.
Grâce à une investigation scientifique, la recherche a exposé que seuls 3 % de notre ADN sont contenus dans un brin d'une double
hélice en spirale. Pendant le cycle de 75.000 ans où nous avons été très exposés à la torsion de vagues d'énergie et à son action sur notre ADN par la réorganisation des 97 % d'ADN
''inutile'' en passant d'une double hélice à 2 brins à une hélice à 12 brins, l'homme aura accompli un grand saut d'évolution.
Traduit par Hélios pour le BBB.