Source : 911.nwo

Alors que le programme de fichage à très grande échelle Maçoni-chip, pour le moment non RFID comme son nom ne l’indique pas, est développé par les Francs-Maçons aux Etats-Unis pour soit-disant protéger les enfants scolarisés dans ce pays (et bientôt d’autre), ce sont plusieurs centaines d’étudiants au Texas (USA) qui se rebellent contre leur puçage RFID cette fois :

Vidéo (VO en anglais) – Des étudiants du Texas (USA) se rebellent contre le puçage RFID et le « spychipping » des élèves - Youtube

<< Le « tracking » des 4000 étudiants devait être effectif à partir du 27 août dernier. Des élèves et parents s’insurgent contre le plan du district de San Antonio de munir les étudiants d’une carte à puce RFID pour surveiller leur emplacement exact en tout temps.

Des sources rapportent que les parents et les étudiants se sont confrontés à la commission scolaire en exposant leurs préoccupations au sujet de la vie privée et d’autres questions.

Selon un rapport déposé dans cette affaire, les systèmes RFID peuvent être développés pour une utilisation dans une école et les étiquettes RFID peuvent être lues par n’importe qui n’importe où et ce, secrètement. Comme les appareils de lecture RFID fonctionnent sans émettre de bruit, les ondes radio invisibles et les appareils de lecture peuvent être cachés, clandestins, les rendant presque impossibles à détecter ». Ceci signifie que le pistage via la puce RFID ne se limite pas à une école, mais à toutes personnes ou organismes gouvernementaux qui possèdent un dispositif de lecture.

Ce qui est proposé par la commission scolaire est l’installation d’une puce à radio-fréquences intégrée à l’intérieur de la carte d’identité obligatoire des étudiants. Un district scolaire au Brésil a intégré les balises de suivi sur les uniformes. Dans les deux cas, le but est de garder les étudiants, les enseignants et le personnel sous surveillance constante », ajoute le rapport.

Une coalition des droits civils et des organisations militent pour la préservation de la vie privée ont publiquement manifesté leur opposition au « spychipping » des élèves. >>

Source : Pleins Feux Sur l’Heure Juste (http://s.tt/1r90J)