Source : AGoravoxTV
En 2011, une coalition armée emmenée par la France a attaqué la Libye du colonel Kadhafi. Officiellement, il s'agissait d'intervenir au nom des Droits de l'Homme. Mais un document a circulé, stipulant que Total pourrait exploiter 35% du pétrole libyen, en cas de changement de régime. L'accès aux hydrocarbures était-il, au fond, la véritable raison de cette guerre ? Déjà en 2003, quand les Etats-Unis ont envahi l'Irak de Saddam Hussein, le doute a plané.
"En 2011, une coalition armée emmenée par la France a attaqué la Libye du colonel Kadhafi. Officiellement, il s’agissait d’intervenir au nom des Droits de l’Homme. Mais un document a
circulé, stipulant que Total pourrait exploiter 35% du pétrole libyen, en cas de changement de régime. L’accès aux hydrocarbures était-il, au fond, la véritable raison de cette guerre ?
Déjà en 2003, quand les Etats-Unis ont envahi l’Irak de Saddam Hussein, le doute a plané.
Au début des années 2000, c’est l’Espagne qui aurait fermé les yeux sur un projet de coup d’Etat en Guinée équatoriale, dans l’espoir de retrouver un accès aux précieuses réserves off-shore de
son ancienne colonie, quatrième producteur africain. Souvent menées sous couvert de défense de la démocratie, ces guerres secrètes pour le gaz ou le pétrole sont riches en coups tordus, en
enjeux industriels et en arrière-pensées politiques.
Pour SPECIAL INVESTIGATION, Patrick-Charles Messance a rencontré des hommes de l’ombre qui témoignent pour la première fois devant une caméra, et lèvent un coin du voile sur ces opérations à
hauts risques."
Pour en savoir plus : http://teleobs.nouvelobs.com/rubriq...