Voici un exposé à l'attention des zozos qui n'ont toujours pas compris le lien entre les séismes et les alignements planétaires.
Il démontre entre autres que l'espace est un milieu transmetteur d'énergie (l'Ether) et que celle ci a une fonction créatrice puisque notre globe terrestre augmente constamment en masse et en
volume .
On comprend que les partisans de la science matérialiste aient voulu occulter cette notion puisqu'en prenant en compte le big bang, elle implique qu'il y aurait une source à l'origine de toute la
création, en d'autres termes elle impliquerait l'existence de Dieu.
C'est pourquoi les matérialistes mal à l'aise avec cette notion stoppent toute discussion à partir du "mur de planck" surnommé
également "mur de Dieu" situé à 10-43 seconde après le début du big bang et qui n'est rien d'autre que l'endroit où se fracassent toutes les théories physiques.
C'est au début du 20 ème siécle que fut enterrée cette notion d'Ether à l'occasion du duel Einstein/Tesla.
Dorénavant, toute théorie prenant en compte l'influence réciproque des astres autrement que par le biais de la gravité se heurtera à un mur d'incompréhension.
L'expansion terrestre est une théorie de tectonique globale. Elle fournit un cadre théorique permettant d'expliquer la formation des continents et des bassins océaniques basaltiques à la surface
de la Terre, leur évolution et changement de position relative par une croissance du manteau terrestre, se traduisant par une augmentation du rayon du globe terrestre de l'ordre d'environ 2 cm
par an, selon une moyenne calculée sur les 3 derniers millions d'années, à partir de la vitesse d'accrétion au niveau des dorsales océaniques, soit environ 3 km² par an en moyenne.
Cette théorie est l'application à la Terre d'une théorie plus universelle de croissance planétaire, recoupant les récentes observations des sondes spatiales faites sur les planètes et lunes
joviennes actives, montrant une activité tectonique d'extension de surface récente telles que pour Ganymède, Europe, Encelade...
Galilée, fut le premier à découvrir que la Terre tournait autour du soleil, et
Wegener, fut le premier à énoncer la mobilité des continents.
Dans les années 1960, l’argument expansionniste de la Terre naquit du physicien Paul Dirac, qui le formula en 1932. Pour lui, la valeur de la gravité a diminuée au cours du temps, ce qui implique
une augmentation du volume de la Terre alors que sa masse serait restée constante. Il y aurait eu ainsi, expansion de la Terre.
Des géologues affirment aujourd’hui que la Terre est en expansion car son diamètre augmenterait chaque année.
Selon certains géologues, la croûte terrestre recouvrait à l’origine l’ensemble du globe. Ceci n’est possible que si ,à cette époque, la valeur du diamètre terrestre était la moitié de sa valeur
actuelle, soit 3 635 km. Les continents, dès cette époque, auraient été réunis en une Pangée globale.
C’est le géologue S. Warren Carey, qui, après avoir été l’un des premiers à défendre la tectonique des plaques, va basculer du côté des expansionnistes. Il développa une série d’arguments qui le
conduisirent à reconstituer une géographie où le pacifique, au trias, était un océan pratiquement fermé, sur une Terre dont le diamètre était de 60% de sa valeur actuelle. L’exploration des fonds
sous-marins, à montré qu'ils étaient en extension.
L'origine de la croissance de notre planète, ne pourra s'expliquer que par une avancée scientifique majeure dans les domaines de la physique et des sciences de la Terre.
L'expansion terrestre est une
théorie selon laquelle tous les processus tectoniques, tel que le déplacement relatif des
continents, leur évolution et plus généralement celle de la
lithosphère, sont la
conséquence d'une augmentation importante et accélérée de la surface et donc du volume de la
Terre. La plus récente estimation de l'augmentation
de surface (basée sur la quantification et la datation des lithosphères océaniques et continentales et certaines suppositions) est un quadruplement depuis 250 millions d'années, soit un
doublement du rayon terrestre durant cette période, pour une croissance actuelle d'environ 20 mm/an
1.
Cette théorie fut une des premières théories mobilistes
2 qui ait été proposée en géosciences
3, avant même la
dérive des continents
d'Alfred Wegener (
voir historique). Les recherches scientifiques effectuées dans le cadre de ce
paradigme ont été progressivement abandonnées à partir de la fin des années 1960
4, notamment à la suite d'articles indiquant que le volume de la Terre n'a pas changé significativement au cours des temps
géologiques
5,
6,
7. Dès lors, cette théorie a progressivement été jugée obsolète et n'a donc jamais obtenu le statut de
consensus scientifique, laissant s'imposer la théorie concurrente de la
tectonique des plaques. Depuis les années 1970, le
consensus scientifique estime que la théorie d'expansion terrestre est erronée et obsolète. La majorité des rares
géologues et
géophysiciens qui soutiennent encore cette théorie au début du xxieme
siècle se reconnaissent comme les héritiers du géologue
australienSamuel
Carey.
Le caractère spectaculaire de la théorie de l'expansion terrestre, son abandon par la communauté scientifique et ses implications dans des domaines scientifiques aussi variés que la
physique ou la
paléontologie, sont à l'origine d'une forte attraction pour de nombreux
scientifiques, non scientifiques,
pseudo-scientifiques, voire certains mouvements
créationnistes8, alors que ces individus ne maîtrisent ni la
connaissance, ni la
méthodologie requises pour aborder objectivement cette théorie. Ils se présentent généralement en
militants de la théorie, souvent à tendance
conspirationiste, et même parfois comme auteurs à part entière de cette théorie
comme par exemple le célèbre dessinateur américain
Neal Adams. Le militantisme d'Adams se manifeste notamment par la confection de vidéos
explicatives accessibles via son site web personnel
9 ou via
Youtube. Bien que certaines de ces vidéos présentent des points intéressants, la grande majorité d'entres d'elles sont essentiellement basées sur des
concepts scientifiques incompris, ou des opinions, interprétations et spéculations personnelles dénuées de tout fondement scientifique
10. En conséquence, la théorie de l'expansion terrestre telle que présentée par Adams (et d'autres
pseudo-scientifiques n'est pas de nature scientifique. Contrairement aux théories pseudo-scientifiques, les
théories scientifiques (telle la
tectonique des plaques) sont basées sur des observations, et permettent de faire des prédictions vérifiables, respectant le critère de
réfutabilité de
Karl Popper. D'autre part,
Dunning et Kruger ont montré que les individus incompétents dans un domaine surestiment leur compétence dans ce domaine. Ansi, des
personnes avançant des théories géologique ou géophysique peuvent s'estimer à tort compétents en science. (vous voilà prévenu...)
histortique de la théorie
Ivan Osipovich Yarkovsky (en), en 1888, cherchant à reformuler la gravitation, fonda une théorie basée sur les flux d'éther. Selon ses hypothèses, il déduisit
que l'éther était absorbé par les corps célestes donc que leur masse devait s'accroître
11.
Roberto Mantovani (en) évoqua
l'hypothèse de l'expansion en 1889 puis en 1909
3,
12,
13. Dans la seconde
publication, il supposa qu'un seul et unique continent couvrait la surface d'une Terre plus petite. Sous l'effet de l'activité volcanique, la Terre grossit, puis ce continent se scinda en
plusieurs morceaux qui s'éloignèrent, laissant les océans emplir les rifts.
13
Alfred Wegener vit des similarités avec sa propre théorie (lui-même introduisit le nom de
Pangée), qui décrit une dérive des continents à la surface d'un globe terrestre au rayon supposé fixe
14 :
« Dans un court article, en 1909, Mantovani exposa certaines idées au sujet des déplacements continentaux et les expliqua d'une manière qui diffère en partie de la mienne, mais dont certains
point s'accordent étonnamment, notamment le groupement initial de tous les continents de l'hémisphère sud autour de l'Afrique
14. »
Dans les années 1920, l'idée que la Terre change de volume commença à se diffuser, avec notamment les ouvrages du russe Bogolepov et des géophysiciens allemands B. Lindemann, puis
Ott Christoph Hilgenberg (en)15,
16.

Par la suite, le concept fut exploré par plusieurs
scientifiques, mais c'est sans doute le géologue australien
Samuel Carey, un des pères de la tectonique des plaques
17,
18, qui fit la
plus importante contribution au xxeme siècle
19,
20. Carey fut un pionnier en géologie et fut un farouche défenseur du concept de la dérive des continents, s'opposant notamment
au physicien britannique
Harold Jeffreys21, et l'enseigna de
1946 à 1956 à l'université de Tasmanie
22, où il était professeur fondateur de la chaire de géologie
18. Il fut le premier
[réf.
nécessaire] à proposer le modèle de recyclage par
subduction de la lithosphère en 1953
19,
17,
23, basé sur ses travaux de thèse soutenus en 1938
24 et les travaux de Kiyoo Wadati
25 et Hugo
Benioff
26. Mais sa publication fut rejetée par le Journal of Geophysical Research, car jugée « naïve et non publiable »
par les
évaluateurs19. Il
re-proposa son manuscript de 1953 à titre historique en 1972 au même journal, qui le rejeta à nouveau sur le principe qu'un article refusé une fois ne pouvait plus être accepté
23. En 1956, il abandonna le concept de subduction au cours du symposium sur la dérive des continents
17 qu'il avait organisé à
Hobart, ce qui le conduisit
naturellement à la théorie de l'expansion terrestre. Il introduisit de nombreux nouveaux concepts en géologie propre à la théorie de l'expansion terrestre
19, comme l'
orogénèse par diapirisme
(orocline
27). Il défendit cette théorie (l'affinant progressivement
28,
29,
30) jusqu'à sa mort en 2002.
Le développement scientifique de la théorie au début du xxieme siècle est assuré entre autres par les géologues australiens James Maxlow
1,
31, Cliff Ollier
32 et Donald Findlay
33, le géophysicien Italien
Giancarlo Scalera
34, le géologue polonais Stefan Cwojdziñski
35, le biogéographe Dennis McCarthy
36, le géologue
américain Andrew Kugler
37, le géologue russe Yu Chudinov
38,
39. Un workshop réunissant les spécialistes de
cette théorie se tiendra à l'école internationale de géophysique d'Erice en Sicile du 4 au 9 octobre 2011
40.
Mécanismes Physiques
Modèles à masse constante
Variation de la constante gravitationnelle
Vers
1938, le physicien
Paul Dirac suggéra que la
constante gravitationnelle avait diminué depuis les milliards d'années d'existence de l'Univers. Cela conduisit le physicien allemand
Pascual Jordan à modifier la
relativité générale et à proposer en 1964 que toutes les planètes grossissent
lentement
41. Jordan pensait que la Terre aurait pu avoir doublé de rayon dans les dernières centaines de millions
d'années. Des mesures récentes de variation possible de la constante gravitationnelle montre une limite haute de 5×10-12
42, alors que la théorie de Jordan exige une variation au moins 10 fois plus importante.
Transition de phase
Cette hypothèse basée sur une
transition de phase de matériaux du manteau et/ou noyau de la terre, a été formulé plusieurs fois au
cours de l'histoire de la théorie, par Lindemann
43, Halm
44, Laszlo Egyed
45,
46, et Owen
47,
48. Les matériaux très denses passent sous une forme moins dense, et ce changement de densité fait augmenter le volume de la
terre.
Terre hydrurée
Cette hypothèse est en fait une variante des modèles à transition de phase. L'hypothèse de la
Terre hydrurée a été proposée par le
géologue russe
Vladimir Larin (en).
L'hypothèse en est que le noyau terrestre est composé d’
hydrures métalliques
49. Selon cette théorie les métaux contenant de l’hydrogène peuvent avoir une densité plus importante. Par conséquent, la
libération de l’hydrogène sous l’effet de la température et de la pression provoque la diminution de la densité du métal et donc l’augmentation du volume. De plus, l’apparition de l’eau sur la
surface de la Terre est expliquée dans ce cas par l’hydrogène qui s’échappe du noyau terrestre.
Décompression globale
Le physicien américain
J. Marvin Herdon (en) a proposé que la Terre avait été une géante gazeuse dont l'atmosphère aurait été soufflé lors d'un épisode d'activité solaire violent. Le
noyau solide de la géante gazeuse initiale se serait alors progressivement décompressé à partir d'un volume représentant 65% du volume actuel
50.
Réfutation des modèles à masse constante
Les modèles à masse constante impliquent que par le passé, la densité moyenne de la terre était très nettement supérieure à sa densité moyenne actuelle (5.5). Par exemple un doublement du rayon
terrestre en 250 millions d'années implique un octuplement du volume durant cette période, soit une densité moyenne de 44 alors que la densité du
noyau interne de la Terre est de 13. Si la
constante
gravitationnelle reste constante, ceci implique que l'accélération gravitationnelle en surface aurait été de 39 m/s² il y a 250 millions d'années, ce qui aurait nécessité des adaptations
physiologiques et morphologiques majeures de la faune et la flore du
Trias. Par comparaison, à densité constante et pour un rayon deux fois
inférieur au rayon actuel, la gravité de surface aurait été d'environ 4,9 m/s² ce qui ne nécessite que des adaptations mineures et favorise même le gigantisme
51 ou l'apparition du vol.
Modèles à masse croissante
Influx d'éther
Ce fut la toute première hypothèse avancée en 1988 par le physicien russe
Ivan Osipovich
Yarkovsky (en). L'
éther absorbé par la terre serait
transformé en éléments chimiques, forçant l'expansion de la planète. Cette hypothèse était en relation avec son explication mécanique de la gravitation
11. Cette hypothèse fut reprise plus tard par
Ott Christoph Hilgenberg (de) avec une transformation de l'ether-energie en matière normale
15,
52.
Influx de neutrinos
Konstantin Meyl a proposé en 2004 que l'absorption des
neutrinos par la Terre pourrait provoquer une expansion du globe
53. À partir de cette hypothèse Meyl prédit que les éclipses de Soleil accroissent la probabilité des séismes, dans les zones
ombragées. Mais jusqu'à présent, aucune corrélation n'a pu être établie entre éclipses et séismes.
Influx de monopoles magnétiques
Claude Deviau soumet également l'hypothèse que les
monopoles magnétiques théorisés par
Georges Lochak (ancien directeur de la
Fondation Louis-de-Broglie) sous forme de leptons magnétiquement excités, venant du Soleil et convergeant vers les pôles, devraient
produire au moins de l'hydrogène au cœur de la croute terrestre et dans le manteau
54. Cette hypothèse donne une piste
quant à une accumulation possible de matière dans la Terre. De plus, ces monopôles magnétiques ont la particularité de favoriser les fusions nucléaires via la force faible
55, et permettrait d'expliquer les transmutations nécessaires à l'obtention de la diversité observée en éléments chimiques au
sein de la Terre.
Réfutation des modèles à masse croissante
Les modèles à masse croissante impliquent l'apparition de matière au sein de la Terre, en contradiction avec les
lois physiques
connues. Par exemple, un doublement du rayon terrestre en 250 millions d'années avec densité constante implique un octuplement de la masse sur cette période, soit un gain d'environ 4,5×1024
kg.
Thierry Carel et le chercheur Mystérieux
Lors de ses nombreux travaux, à travers la recherche géologique, paléontologique, tectonique, géodésique, et chimique ; le chercheur
Thierry Carel a mis à jour et en évidence une explication pour
la théorie physique marginale appelée théorie expansionniste (expansion terrestre). Avant lui
Samuel Warren Carey,
Paul Dirac, avaient évoqué cette éventualité, en apportant chacun des éléments corroborant cette théorie. Le chercheur Thierry Carel vient à son tour
appuyer toutes ces études en apportant la solution sur la raison de cette expansion.
Résumé démonstratif de la théorie de l'expansion terrestre (les différentes constatations qui appuient et expliquent le raisonnement) :
1- Terre plus petite = apesanteur réduite. Ce qui explique enfin sérieusement la possible existence des animaux préhistoriques de grande taille.
2- Le ralentissement de la rotation du globe avéré et constaté avec l'horloge atomique. Ce résultat dynamique s'explique simplement par cette loi physique dite du "patineur sur glace". Lors de sa
rotation rapide sur lui même, plus le patineur ouvre ses bras plus il diminue sa vitesse de rotation.
3- Les corrélations géologiques des terres séparées par la tectonique, non seulement internes à la pangée mais également externes. La corrélation touche également la cohérence de simulation des
contours détachés intérieurement et extérieurement à la pangée.
Cette théorie de la pangée est un raisonnement simplifié et presque ramené à deux dimensions. Il fallait donc pousser le raisonnement plus loin en trois dimensions et arriver au résultat d'une
sphère complète et cohérente mais évidemment d'une autre taille.
Cette théorie est aussi le résultat d'un raisonnement nombriliste qui tend à penser que le chercheur rassemble les pièces du puzzle depuis son lieu d'origine qui devient ainsi le "centre du
monde". Le raisonnement est cohérent et convient très bien, n'allons pas chercher plus loin. De plus la tectonique de séparation des plaques dans le modèle classique impliquerait des répercutions
globales opposées importantes dont on ne constate aucune trace.
La théorie classique peut être également remise en cause par l'incohérence d'un schéma avec une protubérance isolée qui vient à l'encontre des lois physiques d'équilibre auxquelles obéissent les
planètes massives.
Maintenant quel est le phénomène qui engendre cette expansion ?
Pour l'instant la seule théorie connue avance l'éventualité d'absorption des neutrinos par le coeur de la matière du noyau terrestre en fusion. Aucune expérience scientifique à ce jour n'a pu le
démontrer.
Thierry Carel a trouvé une hypothèse sérieuse. Elle est évidente, sous les yeux de tout un chacun.