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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 23:25
Joe Quinn
Sott.net
lun., 18 fév. 2013 08:42 CST

Traduction SOTT

 

 

Le futur directeur de la CIA, John Brennan et l'un des drones de la CIA qu‘il veut vous faire découvrir

Le futur directeur de la CIA, John Brennan et l'un des drones de la CIA qu‘il veut vous faire découvrir. © Inconnu
 

Combien d'Américains sont au courant que leur gouvernement a revendiqué le droit de tuer arbitrairement leurs concitoyens quand il le veut, et qu'il peut le faire « légalement », sans aucune preuve que le citoyen en question ait été une menace pour quiconque, et encore moins pour le gouvernement des États-Unis ou ses « intérêts » ?

Combien d'Américains sont au courant que le gouvernement des États-Unis a répondu aux procès intentés par l'ACLU [American Civil Liberties Union - Union des libertés civiles américaines - NdT], contestant de droit du gouvernement des États-Unis à s'adonner à des assassinats ciblés de citoyens américains, en prétextant que c'est une question politique et que les tribunaux et les juges américains n'ont rien à dire à ce sujet (« Il n'existe aucune tribune judiciaire appropriée pour évaluer ces considérations d'ordre constitutionnel ») ? Je ne parierais pas sur beaucoup. Mais c'est précisément ce que le gouvernement américain a fait, selon la divulgation d'un « livre blanc » du ministère de la Justice, non daté et non signé, obtenu par NBC News. Vous pouvez lire ce document ici.

La justification juridique réelle, telle que définie par les avocats du ministère de la justice en 2010, est gardée secrète par le gouvernement, mais le « livre blanc » explique que, non seulement le gouvernement a décidé que les assassinats ciblés sans procédure régulière sont légaux, mais qu'aucune preuve de menace imminente de la part d'une cible n'est nécessaire pour que celle-ci soit considérée comme une menace imminente. (Allez comprendre.)

Dans un véritable double langage orwellien, le « livre blanc » explique :

« La condition selon laquelle un chef de file présente une « menace imminente » à l'encontre des États-Unis n'exige pas des États-Unis d'avoir des preuves manifestes qu'une attaque spécifique envers les personnes et les intérêts des États-Unis aura lieu dans un avenir immédiat. »

Avez-vous compris ça ? Un « chef de file » (c.-à-d., n'importe quel citoyen américain pour lequel le gouvernement décide qu'il constitue une menace pour les personnes ou les intérêts des États-Unis) n'a pas besoin d'avoir l'intention de faire quoi que ce soit pour se retrouver sur la « liste des personnes à assassiner », également connue sous le terme euphémique (et absurde) de « matrice de disposition ». Pour être juste, le « livre blanc » reconnaît qu'en poursuivant cette politique de ciblage des citoyens américains pour assassinat, il existe « un risque de privation erronée de la vie d'un citoyen » mais regardez le bon côté, s'il vous arrive d'être à tort privé de votre vie par un drone de la CIA, votre famille peut toujours intenter un procès.

 

[.............]

 

La suite sur SOTT.NET

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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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