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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 08:57
samedi 28 avril 2012
par  Docteur Eric OQUINARENA


Les métaux couramment utilisés en prothèse dentaire sont loin d’être aussi inoffensif qu’on le dit. Fortement règlementés notamment en bijouterie, certains sont présents en quantité dans les bouches de la grande majorité des gens.

De la boucle d’oreille, au pivot des dents, le nickel, un métal allergisant est partout : dans l’alliage des bijoux de fantaisie, des boutons de jeans, des bracelets de montre, des pièces de monnaie, dans les oligo-éléments…

 

 Métaux de prothèse dentaire : danger !


De la boucle d’oreille, au pivot des dents, le nickel, un métal allergisant est partout : dans l’alliage des bijoux de fantaisie, des boutons de jeans, des bracelets de montre, des pièces de monnaie, dans les oligo-éléments… Ce métal produit, à lui seul, plus de réactions allergiques que l’ensemble des autres métaux. Or, il est allié avec le chrome, le cobalt, les métaux semi-précieux dans la plupart des prothèses dentaires fixes ou amovibles telles que dents à pivots, couronnes et bridges, prothèses squelettées sur lesquelles on monte les fausses dents, etc...sans parler encore des problèmes de corrosion.

 Métaux et allergies


Actuellement, dans nos pays industrialisés, une personne sur deux doit avoir du nickel en bouche, ce qui provoquerait, chez bon nombre d’entre elles, sans qu’elles en identifient la cause, des réactions allergiques telles que des démangeaisons, des rougeurs des gencives, sécheresse ou brulure dans la bouche et, à distance, des eczémas et dermatites.

Il est encore difficile de prouver la toxicité ou la réactivité éventuelle de certains métaux présents dans la bouche. On sait cependant que l’on retrouve des concentrations de nickel dans les os et les tissus avoisinant les dents remplacées en partie avec celui-ci. Lorsque l’on teste le comportement de certains alliages dentaires dans un autoclave, dans un bain de salive humaine, on constate bel et bien que le nickel se dilue…

 

 Métaux et cancérogénicité

Depuis quelques années, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) établit une classification des métaux en 2 grandes catégories : premièrement, les métaux ayant des propriétés cancérogènes, démontrées ou possibles chez l’homme et, deuxièmement, les métaux non classés pour leurs propriétés cancérogènes.

Les métaux classés dans la première catégorie présentent un risque potentiel lors de leur utilisation en tant que biomatériaux, particulièrement lorsqu’ils sont placés dans des alliages à usages dentaires peu stables chimiquement.

Dans la première catégorie, nous trouvons les métaux mutagènes tel que le nickel (et ses dérivés) et le cobalt.

L’or, le cuivre, l’argent, le zinc le platine sont non-classés ou sans risque évident .

Personne ne réagit de la même manière face à une agression de son organisme. Chacun peut, un jour ou l’autre, souffrir d’une réaction pouvant s’avérer dangereuse pour son état de santé. Les effets d’un produit ou d’une substance dans l’organisme peuvent n’apparaître que très tardivement après son absorption.

 Aujourd’hui, nous savons qu’un grand nombre de maladies a pour cause principale la pollution de l’organisme

  • • Le mercure peut entraîner des tremblements importants, son organe de prédilection est le rein.
  • -* • Le nickel, en s’accumulant dans l’intracellulaire peut conduire à une altération chromosomique et à une oxydation de l’ADN.

 -* • Le titane et le palladium sont impliqués dans la carcinogenèse.

 -* • L’aluminium, semblerait avoir des incidences sur l’étiologie de la maladie d’Alzheimer ainsi que dans certaines formes de cancers, telles que les lymphomes et les réticulosarcomes

-* • Bimétallisme et courants galvaniques

  • Lorsque l’on plonge deux métaux dont le potentiel électrique est différent dans un bain galvanique, une attaque électrochimique se produit sur l’un d’eux. Celui-ci se dissout et les ions métalliques migrent vers l’autre.

C’est exactement le même phénomène que l’on constate dans la bouche de patient appareillé avec plusieurs types de métaux. Le milieu buccal (salive, température, ) fait office de bain galvanique, la prothèse squelettée en alliage non précieux ou pire encore, un amalgame, par exemple, fera office d’anode et une couronne en or jouera le rôle de cathode. Une pile est ainsi créée dans la bouche du patient qui ne se rend pas compte qu’il produit de l’énergie perdue au dépend de son appareil dentaire.

Non seulement la prothèse toute entière est mise en péril par la corrosion du métal mais aussi la santé globale du patient peut se dégrader, allant du simple picotement ou goût métallique jusque d’autres désagréments insoupçonnés peut-être.

Docteur Éric OQUINARENA

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 13:15

Une étude scientifique démontre les dangers de ce produit chimique, Acrylamide, qui est retrouvé dans nos aliments, surtout ceux qui contiennent des amidons.

 

 

 


 

Source :

http://www.amessi.org

 

Aller plus loin :

Codex Alimentarius (article+conférence+vidéos)

Aluminium, notre poison quotidien. [Docu VF]

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 18:20

cancerok.jpg

 

 

Natural News, Jonathan Landsman, 16 avril 2012

 

      L'Organisation mondiale de la Santé a admis ceci : « Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. » Depuis près de 40 ans, la Zunie a dépensé 200 milliards de dollars à « essayer » sans succès de trouver un remède. Mais, la plupart des médecins ne sont même pas capables de vous dire pourquoi la médecine (du cancer) est un pareil fiasco. (Suggestion : il y a un dessein caché.)

 

Vérités sur le business médical de l'industrie du cancer

 

      Saviez-vous que le coût moyen du traitement conventionnel pour le cancer dépasse 300.000 dollars ? Or, les remèdes anti-cancer les plus naturels coûtent quelques milliers de dollars ou moins. Dans ces conditions, si les patients cancéreux peuvent être soignés efficacement à un prix bien moindre, pourquoi ne le font-ils pas ?

 

      Le Dr Robert Atkins, l’un des pionniers en médecine douce en Zunie, disait autrefois : « Il n'y a pas un, mais de nombreux remèdes anti-cancer disponibles, mais ils sont tous systématiquement étouffés par l'American Chemical Society (ACS), le National Cancer Institute (NCI) et les grands centres d'oncologie. Ils ont beaucoup trop d’intérêt dans le statu quo. »

 

      Linus Pauling, l’un des plus grands scientifiques du 20ème siècle et nobélisé deux fois [nobel de chimie, en 1954, et de la Paix, en 1962, ndt], nous a donné du grain à moudre quand il a déclaré : « Tout le monde devrait savoir que la "lutte contre le cancer" est en grande partie une supercherie, et que le NCI et l’ACS ont laissé tomber leurs devoirs envers la population qui les sponsorise. »



Informations sur le cancer que vous n'entendrez pas à la télévision

 

      Selon le Dr Nicholas Gonzalez et de nombreux autres spécialistes du cancer, le « monde de la médecine conventionnelle » n'a vraiment AUCUN intérêt dans les remèdes naturels (nutritionnels) du cancer. Le courant médiatique boiteux est une entreprise contrôlée par ses annonceurs (par exemple, [par la publicité de] Big Pharma) et la recherche médicale est financée UNIQUEMENT par des compagnies pharmaceutiques. Mais les nouvelles sont pires !

 

      Selon le Dr Gonzalez, l'oncologie conventionnelle a l’habitude de conseiller la greffe de moelle osseuse en tant que puissant traitement de pointe aux femmes atteintes d'un cancer du sein, diagnostiqué avancé ou mauvais [poor]. En fait, au milieu des années 1990, la communauté médicale était très excitée – elle appela cette thérapie « soin standard » – sans aucune preuve réelle de son efficacité ! Une démarche coordonnée par des oncologues, des médias et des avocats, força les compagnies d'assurance à rembourser cette procédure, qui coûtait jusqu'à 450.000 dollars la greffe.

 

      Il y avait juste un GROS problème : 10 à 30 pour cent de ceux qui étaient volontaires pour subir ce traitement rendaient l’âme ! (et ce n'est pas tout).



Le truquage scientifique dans l'industrie du cancer

 

      Merci à certains oncologues peu honnêtes : les études réelles visant à déterminer si les greffes de moelle osseuse aidaient réellement les femmes ayant un cancer du sein furent préconçues. Finalement, malgré beaucoup de résistance, cinq études furent achevées : Quatre montraient que cette thérapie n'était pas plus efficace que la chimiothérapie standard contre le cancer du sein et une étude (« très positive ») s’avéra en fin de compte complètement frauduleuse !

 

      Le Dr Gonzalez a été lui-même témoin de manœuvres sournoises de la part d’organismes contre le cancer, comme le National Cancer Institute qui a torpillé ses méthodes efficaces, sans radiothérapie ni chimiothérapie, pour le traitement du cancer du pancréas. Mais il faudra raconter cette histoire un autre jour.



      Ne soyez pas victime d’une mauvaise idéologie ou d'un manque de connaissances.

 

 


Trouvé sur :

Alterinfo

 

Aller plus loin :

Pierre Lance, "Savants maudits, Chercheurs exclus" (Docu+article) [VF]

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 17:00
Psychopaths
L'État totalitaire moderne se prend pour le psychothérapeute de la société tout entière. Il se base sur le principe élitiste selon lequel il est omniscient, et que les gens méritent d'être contrôlés mentalement et endoctrinés « pour leur bien ». Les défenseurs du système totalitaire diabolisent les démocrates qui les critiquent en les qualifiant de fous, et atomisent le discours politique avec les armes mentales que leur fournissent l'expertise psychologique et les recherches actuelles dans le domaine de la santé mentale.

Peu importe la nature de l'idéologie pervertie derrière laquelle se cachent les obsédés du pouvoir. Ça pourrait aussi bien être le communisme que le nazisme, l'islamisme, le néoconservatisme ou l'environnementalisme. Tout mot se terminant par « isme » est une prison fondée sur le contrôle mental. Les citoyens sont réprimés de la même façon, peu importe la nature de l'enfer totalitaire auquel les soumettent leurs géôliers mentaux.



Les élites anti-démocratiques de toutes les prisons totalitaires du monde utilisent le langage de la santé mentale pour écarter les dissidents et imposer leurs croyances dogmatiques et leurs politiques totalitaires à un public récalcitrant. En 2009, Brendan O'Neill du site Spiked.com a écrit un essai percutant intitulé "The Psychologisation of Dissent: The Global Warming Skepticism Mental Disorder" (La psychologisation de la dissidence : le trouble mental que constitue le scepticisme à l'égard du réchauffement climatique), qui décrit de quelle façon l'Occident suit les traces de l'Union soviétique. O'Neill écrit :
L'idée selon laquelle la « négation du changement climatique » serait un trouble mental - le produit d'une incapacité neuronale malveillante, délibérée ou simplement innée à faire face à la catastrophe du réchauffement climatique - devient de plus en plus populaire parmi les activistes et les universitaires de tendance « écolo ». Et rien ne résume mieux l'élitisme et l'autoritarisme du lobby environnementaliste que sa psychologisation de la dissidence. Le fait de qualifier la moindre critique à l'égard de la politique du réchauffement climatique de « déni », et maintenant de preuve d'une grave instabilité psychologique, reflète une tentative de balayer toutes les critiques et tous les sceptiques en les qualifiant d'individus dérangés, et de poser les bases de solutions autoritaristes inévitables au problème du changement climatique. Historiquement, seuls les régimes les plus antilibéraux et misanthropes considéraient la contestation et le débat comme des signes de maladie mentale.
En Occident, l'étiquetage erroné de la dissidence comme « paranoïa » et « folie » a atteint un degré extrême. Ceux qui croient en la nécessité d'une transparence au niveau du gouvernement et d'une responsabilisation des médias ont été rayés de la communauté politique mainstream.

Quand on voit que ceux-là mêmes qui parlent au nom du système totalitaire en Amérique et qui accusent leur contestataires démocratiques de souffrir de troubles psychologiques et de retard mental sont à moitié demeurés, il y a de quoi rire. On citera comme exemples l'ex-Président George W. Bush et la secrétaire au Département de l'esclavage humain, Janet Napolitano. Être accusé par ces demeurés de souffrir de retard mental parce qu'on ne croit pas à la propagande gouvernementale officielle est trop drôle. Je pense qu'il vaut mieux en rire plutôt que fulminer contre ces bouffons mal dégrossis.

Mais ça devient plus grave quand on apprend que ces acharnés du pouvoir qui balancent des termes comme « maladie mentale », « théoricien du complot » et « attardé » pour décrire leurs opposants politiques mettent secrètement au point des programmes gouvernementaux visant à exterminer non seulement ceux qui les critiquent mais aussi la population dans son ensemble. À la manière d'Hitler, ils veulent se débarrasser des « malades mentaux » au sein de la société. Et qui est défini comme malade mental ? Les gens qui remettent en question la pseudo-science du changement climatique et le conte de fées officiel sur les attentats du 11/9 qui a été utilisé pour détruire les libertés civiques et la justice.

Les voix qui au sein de la communauté universitaire, médiatique et politique défendent la science du changement climatique et la validité de la version officielle du 11/9 se considèrent comme les leaders de l'évolution humaine. Mais très souvent, ces individus sont les plus attardés mentalement et les plus dérangés psychologiquement, avec leurs têtes de demeurés. Un de ces individus est le professeur Norgaard, de l'Université de l'Oregon.

Le professeur Norgaard, démoulée trop chaude
Paul Joseph Watson a écrit un article intitulé "Climate Change Skepticism a Sickness That Must be 'Treated' Says Professor" (Le scepticisme à l'égard du changement climatique est une maladie qui doit être « traitée », selon un professeur), à propos de l'idée insensée et méprisable du professeur Norgaard de faire taire les critiques de l'hystérie du réchauffement climatique en les accusant de souffrir de maladie mentale, de dégénérescence psychologique et de régression sociale. Watson écrit :
Comparant le scepticisme à l'égard du réchauffement climatique d'origine humaine à des croyances racistes, un professeur de sociologie et d'études environnementales basé dans l'Oregon a qualifié les doutes sur le changement climatique d'origine anthropogénique de « maladie » pour laquelle les individus devaient être « traités ».

Le professeur Kari Norgaard, qui participe actuellement à la conférence "Planet Under Pressure" (Planète sous pression) à Londres, a soumis un article dans lequel elle soutient que la « résistance culturelle » à accepter l'hypothèse de la responsabilité des hommes dans le changement climatique « devait être reconnue et traitée » comme un comportement sociologique aberrant.

Norgaard assimile le scepticisme à l'égard des alarmistes du changement climatique - dont les données s'avèrent constamment politisées, partiales et totalement inexactes - au racisme, remarquant que ce genre de points de vue posaient un défi similaire à celui du « racisme ou de l'esclavage dans les États du Sud ».
John Aziz a également critiqué les croyances dérangées, anti-humaines et totalitaires du Professeur Norgaard dans son article éclairant, "The Face of Authoritarian Environmentalism" (Le visage de l'environnementalisme autoritaire), dont voici un extrait :
Le fait de pathologiser les dissidents n'est-il pas la marque de l'autoritarisme ? Les dissidents sous l'Union soviétique n'étaient-ils pas envoyés à l'hôpital psychiatrique pour y être « traités » pour leurs comportements ? Norgaard n'a-t-elle donc pas lu L'Archipel du Goulag de Soljenitsyne ?

Et franchement, le terme « sceptique » peut désigner un tas de choses. Est-ce qu'il désigne exclusivement ceux qui croient qu'il n'y a pas de changement climatique en cours ? Qu'en est-il est des agnostiques climatiques ? Est-ce qu'il désigne ceux qui croient qu'il y a bien un changement climatique mais qu'il n'est pas d'origine humaine ? Est-ce qu'il désigne ceux qui croient qu'il y a bien un changement climatique mais qui contestent les solutions proposées par Norgaard ?
Si on reprend la logique de Norgaard, alors les gens qui doutent de l'analyse selon laquelle le 11/9 était un acte de terrorisme d'État de la part des États-Unis et d'Israël sont mentalement dérangés et racistes.

Le fait de qualifier une opinion différence de « mentalement dérangée » et « d'anti-rationnelle » est très dangereux, pour des raisons évidentes. Les abus de pouvoir se manifestent quand une société accepte que des étiquettes empruntées au vocabulaire de la santé mentale posent les limites du débat sur tout sujet donné, mais surtout sur ceux qui ont des conséquences sociales et politiques fatales.

Dans une société collectivisée et totalitaire comme celle de l'Amérique, les membres du gouvernement peuvent assassiner en toute impunité des milliers d'innocents et commettre des atrocités et des crimes horribles contre leur propre population en reléguant leurs contestataires au rang de fous et en délimitant la frontière entre le discours politique légitime et le discours politique illégitime et insensé.

Ceux qui au sein du pouvoir veulent faire croire aux gens que le fait de douter de la version officielle sur le 11/9 et de critiquer les propagandistes du changement climatique sont des exemples de maladie mentale cachent de toute évidence des intentions maléfiques. Ils ne veulent pas que les gens soient informés et éduqués, mais endoctrinés et stupides, afin de leur faire gober n'importe quoi.

Je suis étonné qu'ils n'aient pas accusé les truth tellers du 11/9 de sorcellerie, afin de les envoyer au bûcher. Les psychothérapeutes hystériques du gouvernement et des médias pourraient bien décider un jour de passer à la vitesse supérieure et d'écraser les cerveaux avec la bonne vieille méthode : la force brute.

La situation a empiré au point que les esclaves noirs de 1776 étaient plus libres que les Américains d'aujourd'hui. Si George Washington, John Adams, Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient en vie aujourd'hui, on les accuserait d'être des théoriciens du complot souffrant de maladie mentale et de dangereux extrémistes. Thomas Jefferson rédigerait une déclaration d'indépendance mentale vis-à-vis de la tyrannie totalitaire. Et Washington se battrait pour légaliser toutes les drogues en Amérique.
Saman Mohammadi - The Excavator - sam., 07 avr. 2012 15:48 CDT - Traduction : SOTT

Trouvé sur :
http://fr.sott.net/
Aller plus loin : 
Profits macabres - L'histoire cachée des drogues psychiatriques [DOCU VF]
LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (article+vidéo)
16 AVRIL 2012 : OUVERTURE DE LA SPECULATION SUR LA DETTE FRANCAISE !! [ITW VF]
Etienne CHOUARD : 10 raisons de sortir de l’Union Européenne [Interview VF]
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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 00:49

http://www4.dr-rath-foundation.org/THE_FOUNDATION/Events/codex2004rathlecture01.jpg

 

Le dr Rath fait un appel aux populations Allemande et Européenne, les invitant à prendre leur responsabilité face au cartel chimique et pharmaceutique déjà responsables de 2 grandes guerres, invitant également le peuple à construire une europe démocratique pour le peuple et par le peuple, un nouveau monde basé sur un système de santé et de soins ayant pour objectif la prévention et l'éradication des maladies.

 

 

 

 

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 13:06

http://s3.e-monsite.com/2011/02/20/2190169fatkids-311155840-std-jpg.jpg

 

On savait depuis longtemps que « l’alimentation rapide » était source de problèmes de santé pour les consommateurs réguliers. Ce type d’alimentation venant souvent d’outre-atlantique associe le plus souvent hamburger-frites (fréquemment agrémenté d’un fromage fondu) ou une Pizza de type américaine, avec une pâte bien gonflée, sucrée et grasse, à la boisson planétaire, le Coca-Cola.

 

Sur un plan nutritionnel, ce type de nourriture apporte un mélange détonant, entraînant à terme, entre autres, des problèmes de surpoids, de diabète, de pathologies cardio-vasculaires (coronaropathie, hypertension etc.) et même quelques troubles psychologiques.

 

Ainsi selon une étude assez récente, la consommation d'acides gras trans et de graisses saturées, tels que contenus dans les frites par exemple, accroîtraient le risque de dépression.

Sans vouloir rentrer dans des détails fastidieux, disons que, dans une première approche, cette alimentation fast food est particulièrement riche :

 

- En graisses saturées et graisses trans, athérogènes dans les viandes, frites, panures, fritures

 

- En sucres à assimilation rapide, sources de diabète et favorisant les pathologies cardio-vasculaires dans les boissons gazeuses, les desserts, dans plusieurs sauces.

 

- En sel, responsable d’hypertension artérielle dans les frites, la viande, etc.,

 

- En produits chimiques de toutes sortes utilisés comme conservateurs, comme édulcorants, ou comme exhausteurs de goût aux conséquences toxiques parfois très sous-évaluées.

 

Nous donnerons une mention toute particulière au Coca-Cola dont une canette (33 cl) contient 35 g de sucre soit l’équivalent de 7 morceaux de sucre !

Il contient aussi de l’acide phosphorique dont le taux élevé favorise les calculs rénaux et l’insuffisance rénale.

La Caféine contenue dans une canette (33 cl) varie entre 33 mg (Coca-Cola classique) et 42 mg (coca-cola Light). Les effets indésirables de la caféine se situent entre 100 et 160 mg par jour, à vos calculettes !

En ce qui concerne le Coca-Cola sans sucre, il contient des édulcorants :

 

L’aspartame classé dans les édulcorants à éviter et l’acésulfame K (E950) 200 fois plus sucrant que le sucre, qui serait plus dangereux que l’aspartame. Cerise sur le gâteau, si l’on peut dire, Coca-Cola (et Pepsi) utilisent un caramel, pour colorer leurs boissons, qui serait cancérigène.

 

Les grands absents de cette nourriture sont :

 

Les fibres, en particulier sous forme de légumes ou de fruits frais et de saison.

Les vitamines pour les mêmes raisons.

L’eau qui, rappelons le est la seule boisson indispensable.

 

En fait cette réalité est bien connue de tous et pourtant, la consommation de cette alimentation potentiellement dangereuse ne se ralentit pas.

 

Pourquoi cela ?

La réponse nous vient peut-être des rats.

 

Il y a quelques années une expérimentation originale avait démontré qu’une population de rats bénéficiant d’une alimentation de type restauration rapide développait des pathologies lourdes, à commencer par l’obésité et toutes les pathologies « de civilisation » : diabète et pathologies cardio-vasculaires. Par contre leurs congénères, ne consommant qu’une nourriture variée (le rat est omnivore), restaient sveltes et en parfaite santé.

 

Jusqu’ici rien que du prévisible mais, là ou les choses se compliquent, c’est que les « rats fast-food », mis par la suite devant le choix entre une nourriture normale pour un rat ou une alimentation fast food, se retournaient invariablement vers cette dernière. Pire, confrontés par la suite à une alimentation naturelle, ils la boudaient systématiquement quitte à se sous-alimenter, sans que pour autant que leur santé ne s’améliore notablement.

Voilà un comportement qui s’apparente à s’y méprendre à celui d’une véritable addiction, telle que nous l’avions décrite, dans de précédents articles.

Si l’on tient compte des prix relativement modestes de cette alimentation, il n’y a rien d’étonnant à constater que les populations les plus défavorisées, dans les pays occidentaux, souffrent de cette épidémie majeure d’obésité.

La vieille Europe est ce qu’elle est, mais il n’est pas certain que la diététique d’outre-atlantique apporte, du moins sur le plan nutritionnel, le bien-être espéré grâce à « l’Américan Way of Life », ni aux humains... ni aux rats !

 

JMH

 


SOURCE : http://www.carevox.fr/nutrition-regimes/article/les-nefastes-foods

 

Aller plus loin : Super Size Me (Docu 2004) [VOST FR]

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 12:51

http://www.notre-planete.info/actualites/images/agriculture/pesticides_helicoptere.jpg

Epandage de pesticides par hélicoptère © Générations Futures

 

 

Générations Futures a fait une analyse toxicologique des pesticides mentionnés dans la lettre 'à diffusion limitée' (et confidentielle) émanant de la DGAL[1] (Ministère de l'agriculture) listant les pesticides autorisés ou en cours d'évaluation spécifiques pour les traitements aériens. Les résultats sont édifiants !


Rappel des faits. Le 23 mars Le Monde, dans un article titré « La France assouplit l'interdiction de pulvériser des pesticides par voie aérienne » faisait état d'une « circulaire » (une lettre à diffusion limitée) datée du 5 mars listant 7 pesticides autorisés pour les traitements aériens et 16 autres en cours d'évaluation. Alors que la mission sénatoriale sur « pesticides et santé » tenait hier des auditions sur ce sujet, Générations Futures s'est procuré cette lettre à diffusion limitée et rend public ce jour son analyse de la dangerosité des substances actives de ces pesticides autorisés ou en cours d'évaluation.

Résultats ?
  • Sur les 7 produits autorisés toutes les substances actives contenues dans les produits présentent un risque pour la faune et la flore (phrase de risque R50/53), 3 sont classées comme cancérigènes possibles par l'Agence de protection de l'environnement des USA (US EPA) (le Fenpropidine, le Difénoconazole et le Propiconazole), une autre classée toxique du développement aux USA (Propiconazole).
  • Autre inquiétude concernant les 16 produits en cours d'évaluation - certains de ces produits contiennent des molécules reconnues comme perturbateurs endocriniens (classées comme tel selon l'UE). Il s'agit de la fameuse Deltamethrine (très utilisée dans les produits pour lutter contre la chrysomèle du maïs), du Mancozèbe (un fongicide très courant en vigne) ou encore du Métirame.
  • D'autres molécules sont considérées comme cancérigènes probables (Iprovalicarbe, Mancozèbe et Métirame) ou possibles (le Penoxsulame, le Folpel et Tébuconazole) ou encore toxiques du développement (Tébuconazole et de nouveau le Métirame) en Europe ou aux USA.
  • Comme pour les substances autorisées, nombre de ces molécules (10 sur 15 substances) présentent un risque avéré pour l'environnement (R51/53 ou 50/53 ou 50).

« Au vu de ces analyses, nous demandons expressément au Ministre de l'Agriculture d'interdire l'usage de pesticides en traitement aérien pouvant présenter un risque pour l'environnement ou pour la santé. Il faut en particulier ne pas autoriser toutes les substances suspectées d'être cancérigènes ou perturbateurs endocriniens, d'après les classifications européennes et américaines. Plus généralement il faut réviser l'arrêté du 31 mai portant sur ce mode d'épandage des pesticides afin de réduire le recours aux dérogations ». déclare François Veillerette Porte parole de Générations Futures
« En effet, Alors que la Directive européenne 2009/128 CE sur les pesticides stipule très clairement l'interdiction des pulvérisations aériennes dans son paragraphe 1 de l'article 9, l'arrêté du 31 mai 2011 relatif aux conditions d'épandage des pesticides par voie aérienne ne l'interdit pas expressément et octroie un grand nombre de dérogations d'usage (maïs, vigne, banane notamment) qui fait de ce mode de pulvérisation une technique usuelle d'épandage alors même que ce type de technique n'incite pas aux changements des pratiques et expose les populations à des pesticides dangereux (dérive importante)[2]. » conclut-il.

Notes
  1. Direction Générale de l'Alimentation
  2. Cf. cahier de doléances et de propositions sur les pesticides

Trouvé sur : http://spread-the-truth777.blogspot.fr/2012/04/pesticides-cancerigenes-et.html


 

 

"Les perturbateurs endocriniens affectent le futur de la population"

 

http://s2.lemde.fr/image/2005/07/02/540x270/668654_3_b1f7_l-equipe-de-shanna-swann-a-demontre-l-impact_671557887912f656f65f9ff9a3ec61c8.jpg

 

Professeure au département de médecine préventive de la faculté de médecine Mount Sinai à New York, Shanna Swan fait autorité en matière de perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques qui altèrent le fonctionnement hormonal. Elle a notamment été la première à utiliser la mesure de la distance ano-génitale comme marqueur de la sécrétion d'androgènes. Elle était invitée au colloque organisé à Paris, mardi 10 avril, par le Réseau environnement santé et par WECF-France ("Femmes en Europe pour un futur commun").

 

Aujourd'hui, le public a-t-il pris conscience du danger des perturbateurs endocriniens ?


Il y a vingt ans, seuls les spécialistes le prenaient en compte. Par la suite, il a émergé comme un problème de santé publique sans que nous sachions véritablement à quel point les perturbateurs sont une menace pour la population. Nous ne disposions pas encore d'une technique mesurant leur présence dans les tissus humains.

 

Quel a été le pas décisif ?


Un changement brutal s'est produit vers 2000, lorsqu'il est devenu possible d'effectuer des mesures chez un grand nombre de personnes. C'est là qu'a été révélée l'ampleur de la présence des perturbateurs endocriniens chez les individus. Ce sont des "produits chimiques furtifs", comme on le dit d'un avion : personne ne se rend compte de leur présence, mais ils font des dégâts.

Nous ne pouvions pas réaliser d'études précises simplement en interrogeant des patients. Grâce aux mesures, nous avons démontré que les perturbateurs ont un impact cumulatif : pris isolément rien n'est mis en évidence, mais ensemble ils produisent des effets nocifs. C'est ce que le professeur Andreas Kortenkamp (Brunel University, à Londres) a résumé dans un article marquant: "Something from nothing" ["Quelque chose à partir de rien"].
En dehors de cet impact cumulatif, il est apparu que les perturbations hormonales étaient durables... Nous avons constaté que l'on retrouvait ces perturbateurs endocriniens dans la descendance, sur plusieurs générations. Ils affectent le futur de la population.

 

Comment avez-vous été amenée à travailler sur cette question ?


Au sein de l'Académie nationale des sciences, aux Etats-Unis, j'ai été chargée, en 1994, d'analyser l'étude de l'équipe de Niels Skakkebaek montrant un déclin du nombre de spermatozoïdes chez les hommes au Danemark. Je l'ai confrontée à toute la littérature scientifique disponible sur le sujet pendant six mois. Les résultats concordaient. J'ai tout recommencé en 2000, la courbe avait la même allure. Le déclin significatif de la production de spermatozoïdes est bien une réalité en Europe. Il est trop rapide pour résulter d'une cause génétique.

 

Quelles réactions ont suscité vos travaux ?


Nous avons rencontré des résistances tant chez les médecins que de la part des industriels. J'ai été violemment attaquée ainsi que d'autres collègues, comme Ana Soto (Université Tufts, à Boston). On nous appelait les "pleurnichards des perturbateurs endocriniens".

 

Qu'est-ce qui vous a fait vous intéresser aux phtalates ?


Vers 2000, dans un avion qui m'emmenait au Japon, je voyageais à côté d'un collègue américain, John Brock, chimiste aux Centres de contrôle des maladies. Il m'a dit : "Tu devrais t'intéresser aux phtalates", dont nous savions qu'ils sont des antiandrogènes. J'avais à ma disposition des prélèvements d'urine anciens réalisés chez des femmes au cours de leur grossesse et je pouvais savoir si leurs enfants présentaient des anomalies. Nous avons pu ainsi démontrer l'impact des phtalates avec une féminisation des garçons exposés in utero. C'est pour cela qu'ils font partie, avec le bisphénol A, des perturbateurs endocriniens les plus préoccupants.

 

Estimez-vous que les connaissances scientifiques sur les perturbateurs endocriniens ont progressé ces dernières années ?


Il y a eu beaucoup d'avancées, notamment sur les mécanismes par lesquels le fonctionnement hormonal est altéré. Nous avons aussi modifié notre approche. Nous avons appliqué des concepts, inconnus jusque-là en toxicologie. C'est contre-intuitif mais un composé qui n'a pas d'effet nocif à forte dose... peut en avoir à faible dose.
C'est ce qui se produit avec des perturbateurs endocriniens. Nous prenons également en compte l'"effet cocktail" : cumulées, des substances n'ayant pas d'effet séparément vont produire une action. Il nous manque encore des marqueurs d'une exposition précoce aux phtalates - in utero ou dans l'enfance - décelables des dizaines d'années après.

 

Propos recueillis par Paul Benkimoun

 

SOURCE : http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/04/11/les-perturbateurs-endocriniens-menacent-la-population_1683620_1650684.html

 


 

Aller plus loin : La qualité de l’eau distribuée serait plus inquiétante qu’on ne le dit !

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 15:47

http://cache.20minutes.fr/img/photos/jdn/2012-03/2012-03-07/article_photo_1331143137216-1-HD.jpg

 

Le "Round Up" est un produit mis au point par "Monsanto"


Cette compagnie qui cherche à posséder tous les droits sur les semences est aussi à la source de plusieurs problèmes écologique et de problèmes de santé! Monsanto achète la vie, achète le droit de la modifier, et ensuite se donne le droit nuire à l'ordre de la nature et de nuire à tous c qui vit!

Au sujet du fameux "Round Up", il faut savoir que cet herbicide pénètre nos cellules et les éclatent. On retrouve désormais du "Round Up" dans nos rivières, dans nos terres, dans nos légumes et nos fruits ogm. La toxicité du "Round Up" induit des enzimes qui détruisent les cellules et qui perturbe la santé de tous ce qui vit!!!

 

 

 

 

 


 

Aller plus loin :

Le monde selon MONSANTO / Monsantoland (Docu+article) [VF]

 

Trouvé sur :

http://agentssanssecret.blogspot.fr/

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 16:25

 

 

 

La première apparition de l'aspartame date de la publication de sa synthèse en 1967. Mais il aurait été découvert en 1965 par J. Schlatter, chimiste de la société G. D. Searle & Company, lors de la synthèse d'un tétrapeptide devant être testé comme médicament anti-ulcères8,9,10. L'aspartame était alors un intermédiaire de synthèse et Schlatter aurait goûté le produit tombé sur son doigt. Le goût sucré fut une découverte inattendue, l'acide aspartique et la phénylalanine n'étant pas sucrés. Le dipeptide non méthylé se révéla avoir une saveur amère. Schlatter synthétisa des composés de structure voisine, mais le produit original fut conservé et commercialisé sous le nom d'aspartame.
Une première autorisation de mise sur le marché fut accordée à l'aspartame par la FDA (États-Unis) en juillet 197411. Cette autorisation fut l'objet d'une polémique, car Donald Rumsfeld, qui était alors secrétaire général de la Maison Blanche, devint ensuite directeur général de G. D. Searle & Company, qui fabrique et vend l'aspartame sous le nom de NutraSweet.

Selon une étude de chercheurs italiens, cet ersatz du sucre pourrait être cancérigène et serait par ailleurs peu efficace pour la perte de poids. L'aspartame a pris une part importante dans notre alimentation. Entre sucrettes, poudres à cuisiner, yaourts allégés et boissons light, plus de 3,6 millions de Français préfèrent systématiquement l'un des 6 000 produits contenant de l'aspartame à son équivalent naturel. Mais cet édulcorant chimique, au pouvoir deux cents fois plus sucrant que le sucre, est-il mauvais pour la santé ? Au cours de l'été, l'Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) s'est saisi du dossier .

 


Aller plus loin : Aluminium, notre poison quotidien. [Docu VF]

Profits macabres - L'histoire cachée des drogues psychiatriques [DOCU VF]

La pillule de Göring - La fabuleuse histoire de la pervitine (Wiki+Docu) [VF]

Codex Alimentarius (article+conférence+vidéos)

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 01:02

 

http://storage.canalblog.com/14/02/843415/72349162_p.jpg

 

L'aluminium envahit discrètement notre vie quotidienne. Tout le monde en consomme chaque jour sans s'en rendre compte.

Il est pourtant toxique. Dans l'alimentation, dans les produits cosmétiques, dans les vaccins et même dans les laits pour bébés, les fabricants utilisent de l'aluminium : agent levant dans les pains et les viennoiseries, conservateur dans les charcuteries et les plats préparés, antiagglomérant dans le sel ou pour les crèmes cosmétiques, colorant dans les confiseries, blanchisseur dans les dentifrices, anti-transpirant dans les déodorants...

A doses répétées, il est ingurgité, injecte, pose, bref... le consommateur s'intoxique.

Le métal multiplierait par deux les risques d'Alzheimer et les chercheurs decouvrent peu à peu qu'il provoque d'autres maladies graves.

Il y a trois ans, l'Europe a tiré la sonnette d'alarme et conseille à chacun de ne pas absorber plus d'un milligramme d'aluminium par semaine.

Mais comment éviter la surdose ? Impossible de le savoir car les fabricants ne signalent pas les quantites utilisées dans leurs produits.

 

 

 

 

 

 

 


 

La pillule de Göring - La fabuleuse histoire de la pervitine (Wiki+Docu) [VF]

Profits macabres - L'histoire cachée des drogues psychiatriques [DOCU VF]

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (article+vidéo)

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 21:41

http://www.ccdhbretagne.org/FR/ProfitsMacabres.jpg

 

 

« La psychiatrie est probablement la force la plus destructive qui ait affecté la société les soixante dernières années. »

 
Thomas Szasz , Professeur honoraire en psychiatrie


Un tissu de mensonge… Les drogues psychiatriques ce sont  une histoire de gros sous: des psychotropes qui alimentent une industrie psychiatrique de 330 milliards de dollars, sans le moindre traitement efficace. Le coût en vies humaines est encore plus dévastateur: ces drogues psychiatriques tuent à l’heure actuelle près de 42,000 personnes par an. Et le bilan ne cesse de grimper.

Ce documentaire prenant, qui contient plus de 175 interviews avec des avocats, des experts de la santé mentale, des familles de victimes et d’anciens patients rescapés, révèle l’horreur des drogues psychiatriques et dénonce une entreprise commerciale très lucrative, sans pitié et bien huilée.


PARTIE 1: INTRODUCTION

Les psychiatres voudraient vous faire croire à une épidémie de maladies mentales, et que les psychotropes sont le remède… Pendant des décennies, ils se sont efforcés de convaincre le public que leurs drogues psychiatriques étaient indispensables pour résoudre les problèmes de la vie courante. Mais demandez à n’importe quel psychiatre – comme nous l’avons fait – et il reconnaîtra qu’il ne connaît aucun remède pour soigner la maladie mentale. Pourtant, les traitements qu’il inflige à ses patients – qui ne reposent sur aucune science – ont des conséquences désastreuses sur la société.

PARTIE 2: LES PRESCRIPTIONS ABUSIVES DE PSYCHOTROPES

Depuis 1952, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) – la bible qui permet à la psychiatrie d’encaisser tant d’argent – est passé d’un petit livret énumérant 112 « troubles mentaux » à un volume épais de 886 pages énumérant 374 troubles…

PARTIE 3: L’INVENTION DE NOUVELLES MALADIES

Chaque jour voit son lot de nouvelles maladies mentales. D’où viennent-elles? Des psychiatres, dont le DSM permet de coller aujourd’hui une étiquette de « malade mental » à n’importe qui sur Terre…Il existe une pilule pour chaque maladie, et l’on ne dit ni au grand public ni aux patients à quel point ces psychotropes sont dangereux.

PARTIE 4: LES FAUSSES EXPÉRIMENTATIONS

Aucun test de laboratoire ne permet de vérifier ou en mesurer le moindre trouble mental. C’est une histoire de gros sous. La recherche sur les drogues psychiatriques est très subjective et abonde en résultats manipulés… FAIT: Vu les sommes énormes en jeu, les expérimentations que les psychiatres mènent sur des enfants se multiplient à une vitesse infernale, avec 323 études terminées ou en cours.

PARTIE 5: L’ALLIANCE DES DEALERS

Comme les psychotropes ne peuvent pas être vendus légalement sans ordonnance, les firmes pharmaceutiques  embauchent des psychiatres pour promouvoir les psychotropes dans le milieu psychiatrique et médical… Un professeur en psychiatrie réputé peut recevoir plus d’un demi-million de dollars par an de la part des firmes pharmaceutiques. C’est pourquoi les psychiatres font une promotion énergique des psychotropes dans le milieu universitaire…

PARTIE 6: LA CRÉATION D’UNE CLIENTÈLE

Aujourd’hui, les firmes pharmaceutiques dépensent plus de 5,3 milliards de dollars par an pour le marketing de psychotropes – presque neuf fois plus qu’il y a dix ans. Résultat: les ventes mondiales de psychotropes ont atteint 80 milliards de dollars par an. Pendant ce temps, les psychiatres refusent de considérer l’étendue des tragédies qu’ils laissent dans leur sillage.

PARTIE 7: DES EFFETS PAS SI SECONDAIRES

Pourquoi les psychiatres ne peuvent-ils pas prédire les effets secondaires que vous pourriez ressentir? Parce qu’aucun d’eux n’a la moindre idée de la façon dont leurs médicaments agissent. FAIT: Les psychotropes tuent environ 42 000 personnes par an.

PARTIE 8: LES FAITS

Les psychiatres veulent vous faire croire que leurs psychotropes sont « efficaces et sans danger » vu qu’ils sont « experts en matière de santé mentale » et que vous ne l’êtes pas. Mais de nombreux cas montrent qu’il peut s’avérer désastreux d’avoir confiance en eux.

 

 

 

 

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 11:39

 

 

 

Aspartame, glutamate monosodique, acésulfame K, édulcorants, colorants et autres additifs addictifs, excitotoxique, Corinne lutte depuis de longues années contre ces poisons dans nos assiettes qui ne subsistent que grâce à l'avidité exponentielle des lobbies et des gouvernements corrompus qui nous mentent.


http://santeendanger.net/

 

SOURCE : link

 

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 17:25
Le Codex Alimentarius :
Des dangers bien réels

 

 

 

 

L'aguicheuse présentation officielle


La commission de Codex Alimentarius a été crée en 1963 par l'Organisation Mondiale de la Santé afin d'élaborer des normes alimentaires, et des Codes d'usages.

Les buts principaux de ce programme sont la protection de la santé des consommateurs, la promotion de pratiques loyales dans le commerce des aliments, et la coordination de tous les travaux de normalisation ayant trait aux aliments entrepris par des organisations aussi bien gouvernementales que non gouvernementales.

Les responsables et les experts qui ont jeté les bases et défini les orientations des activités de la Commission du Codex Alimentarius étaient d'avis que si tous les pays harmonisaient leurs législations alimentaires et adoptaient des normes approuvées à l'échelle internationale, ces questions trouveraient une solution naturelle. Grâce à l'harmonisation, ils prévoyaient une réduction des obstacles au commerce et la libération des échanges entre les pays, dont tireraient profit les agriculteurs et leurs familles et qui aideraient à atténuer la faim et la pauvreté (voir le résultat 40 ans après !). Ils concluaient que le Codex Alimentarius serait la panacée pour certaines des difficultés qui entravaient la liberté d'échange.

Le volume du commerce mondial des denrées alimentaires est considérable et sa valeur est de 300 à 400 milliards de dollars. Les gouvernements nationaux se préoccupent surtout de l'innocuité des aliments importés d'autres pays, afin qu'ils ne menacent ni la santé des consommateurs, ni la santé et la sécurité de leurs populations animales et végétales. En conséquence, les gouvernements des pays importateurs ont institué des lois et des règlementations contraignantes pour éliminer ou réduire au minimum ces périls. Mais dans le domaine du contrôle des denrées alimentaires, des animaux et des végétaux, ces mesures risquent de créer des obstacles au commerce des denrées alimentaires entre les pays (business d'abord !)

 

La réalité cachée


Derrière des atours séducteurs d'apparence philanthropique, le Codex n'est que le bras séculier d'une organisation occulte (made in U.S.A), dont la vocation secrète n'est que l'exploitation à outrance, quelles qu'en soient les conséquences et la mise en esclavage de l'humanité. D'ailleurs, il est clair que la mise en place de cet organisme mondial n'a fait que créer ou aggraver les disparités socio-économiques, contrairement à ce qui était promis au départ. Il s'agit en fait, d'une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernements eux-mêmes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale. Par exemple, l'Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116.8 millions de dollars pour son refus d'importation de veau aux hormones.

Les vrais objectifs du Codex

Le Codex Alimentarius entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. Cet état d'esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires... Nous sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais des procédés de désinformation puissants sont en place pour cacher ces vérités au grand public. La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l'éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profit à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s'attaquer aux causes.
Le docteur Rath, dénonce cette situation en ces termes : « la vraie nature de l'industrie pharmaceutique (mondiale) est de gagner de l'argent avec les maladies chroniques, et non point de s'occuper de la prévention ou de l'éradication des maladies... L'industrie pharmaceutique a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d'assurer la croissance du marché des médicaments. C'est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et NON pour traiter les causes des maladies... les trusts pharmaceutiques sont responsables d'un génocide disséminé permanent, tuant des millions de personnes... »

Une insulte à la démocratie

Le 13 mars 2002, nos euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l'industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires. Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés, à tel point que les communications internes en furent bloquées. Malgré près d'un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées. Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l'Europe.
En fait, une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée en permanence pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l'éducation.
L'information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d'effets secondaires dangereux en les reniant publiquement.
Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d'une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d'accusation pour crime contre l'humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye en juin 2003.

La directive que le Codex voulait mettre en application dès 2005

A partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius, nommées Directives Européennes sur les Suppléments Alimentaires, devront être appliquées sous peine de sanctions financières. En quoi consistent-elles ?

  1. Il s'agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.
  2. Les médecines alternatives telles que l'acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine... se verront progressivement interdites.
  3. L'agriculture et l'alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l'agriculture dite bio-dynamique.
  4. L'alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt - le terme technique employé pour rassurer la population étant « ionisé ».)

Le Codex Alimentarius contrôlera l'accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et minéraux. L'élargissement des contrôles opérera progressivement, mettant à mal toutes les médecines alternatives ancestrales ou naturelles.

ATTENTION : L'ECHEC PROVISOIRE DE CE PROJET N'EST QUE PARTIE REMISE - VIGILANCE OBLIGE !


L'histoire secrète du trust pharmaco-chimique


Le trust de la pharmaco chimie tel que nous le connaissons actuellement fut conçu par une association de la Rockefeller avec l'IG Farben de l'Allemagne nazie. D'ailleurs, l'industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée, pour préserver les intérêts de la Rockefeller. Depuis 1932, l'industrie pharmaco-chimique IG Farben finançait Adolph Hitler. Sans ce soutien, selon le tribunal de Nuremberg, le deuxième guerre mondiale n'aurait pas pu avoir lieu...
En 1941, l'IG Farben a établi la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d'½uvre du camp de concentration. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d'esclavage, de pillage et d'autres crimes. Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952, avec l'aide de Nelson Rockefeller, leur ancien partenaire commercial. Il était alors ministre des Affaires étrangères des U.S.A.
Une fois libérés, les dirigeants d'IG Farben infiltrèrent les plus hauts fonctions de l'économie allemande ; jusque dans les années 70, les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi.
Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl.
Avec le support politique de ce dernier, les trois filiales issues d'IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941.
L'organisation nazie de mondialisation, associée à Rockefeller, est une réussite totale. Depuis longtemps, la planète est quadrillée, organisée et gérée pour assurer une expansion mondiale de la pharmaco-chimie.
Puis, la « tradition » du cartel de la IG Farben s'est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l'Industrie Chimique.
En 1955, l'industrie chimique pharmaceutique mondiale s'est regroupée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code Codex Alimentarius.
Un grand nombre de partis politiques européens, dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer son hégémonie économique mondiale.

L'origine de la dynastie Rockefeller

Aux environs de 1860, « Old Bill » Rockefeller, marchand forain de spécialités pharmaceutiques, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c'était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole brut en flacon : « Nujol (New Oil : nouvelle huile) ».
L'affaire était prospère, il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars. Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s'imposer. Le Nujol fut baptisé « cure contre la constipation » et fut largement commercialisé.
Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps. La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol.
L'empire Rockefeller s'est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut, enrichi au carotène, aux populations. C'est ainsi que les fondations de l'industrie pharmaco-chimique furent posées. Nous sommes bien loin des fondements des médecines chinoises, tibétaines ou perses...
Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d'atteindre des sommets en terme de bénéfices. En 1948, le chiffre d'affaire annuel de la Rockefeller s'élevait à 10 millions de dollars. Le médicament Nujol existe toujours sous forme de paraffine pure, classé comme laxatif doux : il est recommandé pour la constipation chronique rebelle. Il est fabriqué par le laboratoire Fumouze. Hélas, il capitonne l'intestin et entraîne rapidement des carences graves.

L'heure de vérité

Dans l'idéologie Rockefeller, l'unique objectif est de vendre sans scrupule, d'asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules chimiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c'est l'idée de progrès affichée par tous les Trusts. Cette politique n'a rien de démocratique et vise à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles).
Le Codex Alimentarius croit pouvoir faire fi de l'opinion des peuples.
Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même, selon des normes qui causeront votre perte.
Pendant ce temps, 800 000 personnes meurent tous les ans, dans la seule Amérique du Nord, sur ordonnances allopathiques.
Un rapport de l'ONU affirme d'ailleurs que sur 205 000 médicaments de ces industries, seuls 26 seraient indispensables.


Une résistance internationale s'organise

L'Afrique du Sud a affirmé qu'elle ne se conformerait pas aux directives du Codex Alimentarius. Le Ministre de la Santé Manto Tshabalata-Msimang a déclaré que son pays est en désaccord avec cette dichotomie entre médecine naturelle et médecine allopathique.
Selon ses conclusions, ces dispositions ne visent qu'à faire de l'argent à partir de remèdes brevetés et à discréditer l'usage des produits naturels.

L'Inde ne se conformera pas non plus aux directives du Codes Alimentarius, car il a fait la promotion de formules pour bébés contenant des ingrédients chimiques, causant une inflammation destructrice du cerveau chez les bébés sensibles. Le délégué indien chargé de plaider l'affaire auprès du Codex a été ignoré, et lorsqu'il insista pour un débat, il fut expulsé de la chambre.

Aux Etats-Unis, l'association des médecins et des chirurgiens américains a exprimé son opposition au Codex afin d'avoir recours à des remèdes naturels.

Au Royaume Uni, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par les Membres de la Chambre des Lords, se sont fermement opposés à la politique pro-Codex de Tony Blair. Ce dernier est taxé d'hypocrisie, puisqu'il à été révélé publiquement qu'il utilise pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l'homéopathie. Tony Blair sera président de l'Union Européenne précisément à partir du premier juillet 2005, jour d'application des directives du Codex.

Le réveil des consciences est amorcé

Fort heureusement, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs souvent violentés par l'arrogance des Cartels pharmaco-chimiques. Ils ont établi le concept de la bio-individualité fondé sur la liberté du choix thérapeutique des patients.
Cette conception suscite chez le patient l'esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner.
Cette approche s'adapte au patient plutôt que d'imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé.
La maladie a une connotation spécifique dans la vie d'un individu, ne pas en tenir compte c'est ramener l'homme au rand de machine sophistiquée. Or l'homme est bien plus qu'une machine mécanico-chimique.
Sans que la plupart des électeurs en ait conscience, le non massif à la Constitution européenne a été aussi par chance, un non au Codex Alimentarius. Les grands retards dont nous avaient menacés les marionnettes politiques vendues à la cause du « oui » concerneront surtout le camp des exploiteurs et en particulier, celui du Codex.

(source : OnNousCacheTout.com)

 

 


 

 

CODEX ALIMENTARIUS :
LE CONTRÔLE ET LE DÉNI DE LA SCIENCE

Par Paul Anthony Taylor

Nous ne voulons pas changer. Chaque changement constitue une menace à la stabilité. C'est une autre des raisons pour lesquelles nous sommes si circonspects quant à l'application de nouvelles inventions. Toute découverte de la science pure est subversive en puissance ; même la science doit parfois être traitée comme un ennemi potentiel. - Aldous Huxley, Le meilleur des mondes.


La 29ème session du Comité du Codex sur la nutrition et les aliments diététiques ou de régime s'est tenue à Bad Neuenahr-Ahrweiler en Allemagne, du 12 au 16 novembre 2007. Il s'agit d'un organe subsidiaire de la Commission du Codex Alimentarius sponsorisée par la FAO/l'OMS. Les activités de ce Comité sont de plus en plus perçues par les partisans de la santé naturelle comme l'une des menaces mondiales les plus importantes pesant sur la future disponibilité des compléments alimentaires en vitamines thérapeutiques et autres thérapies de santé naturelle basées sur les micronutriments. Paul Anthony Taylor, directeur des relations extérieures de la Dr. Rath Health Foundation, a participé à cette réunion en qualité de délégué de la Fédération Nationale de la Santé , la seule organisation en faveur de la santé naturelle et orientée vers les consommateurs au monde qui bénéficie du statut d'observateur officiel lors des réunions du Codex. Le rapport-témoignage de Paul présenté ci-dessous décrit comment le Codex continue à réfuter les bienfaits des vitamines, des micronutriments et de la nutrition dans la lutte contre les maladies actuelles les plus courantes et explique la façon dont ses principaux bénéficiaires sont les grandes multinationales des secteurs de l'alimentation et des biotechnologies, ainsi que l'industrie pharmaceutique.


L'abandon flagrant des préoccupations des consommateurs concernant les aliments génétiquement modifiés


Il ne fait pratiquement aucun doute que les consommateurs sont largement opposés à la consommation d'aliments génétiquement modifiés. À maintes occasions, les enquêtes et les sondages entrepris dans des pays du monde entier ont révélé cet état de fait qui va bien au-delà de tout doute raisonnable. Néanmoins, le fait que les graines génétiquement modifiées puissent être brevetées – parce que, contrairement aux graines normales, elles sont créées dans des laboratoires et n'existent pas dans la nature – continue à en faire une proposition d'investissement extrêmement attrayante aux yeux des sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques qui les produisent. Les brevets relatifs aux graines génétiquement modifiées et les milliards de dollars de bénéfices potentiels ainsi que le contrôle du marché qui peuvent en résulter représentent de puissantes sources de motivation permettant à ces fabricants de trouver des moyens d'amener ces aliments dans les assiettes des consommateurs, quels que soient les dangers potentiels pour la santé humaine.

Ainsi, on trouve parmi les participants à la réunion du Comité de cette année le Dr. H. Yoshikura, Président du Groupe Spécial Intergouvernemental du Codex sur les aliments dérivés des biotechnologies, un groupe qui a déjà publié plusieurs directives mondiales sur les aliments génétiquement modifiés. La création de ces directives par le Groupe Spécial s'est avérée par la suite être prépondérante aux États-Unis, au Canada et en Argentine, dans le cadre de l'instigation et de la victoire d'un litige commercial au niveau de l'Organisation Mondiale du Commerce contre l'Union Européenne (UE). Il a soutenu avec succès que l'UE avait appliqué un moratoire sur l'homologation et l'importation d'aliments contenant des matières génétiquement modifiées et que ceci était contraire aux règles de l'OMS.

Yoshikura a été invité à participer à cette réunion du Codex car le Groupe Spécial a récemment travaillé sur l'annexe d'une directive mondiale relative aux aliments qui ont été génétiquement modifiés afin de (soi-disant) procurer des bienfaits nutritionnels ou pour la santé. Étant donné que le texte de cette annexe contient des références à des concepts ayant trait à la nutrition, le Comité a été invité à examiner l'ébauche de l'annexe et à donner ses commentaires à ce sujet.

Outre quelques commentaires mineurs, le Comité a toutefois décidé d'approuver le texte de l'annexe sans y apporter aucune modification.

En réponse à cela et en remarquant qu'aucun pays ne s'était déclaré en faveur des intérêts des consommateurs concernant ce problème, la Fédération Nationale de la Santé a fait la déclaration suivante:

"Monsieur le Président, la NHF aimerait consigner que, alors que la question de l'évaluation des risques liés aux aliments dérivés des biotechnologies est en cours de discussion, 95% des consommateurs européens et des millions de consommateurs venant d'autres parties du monde ont continué à manifester leur refus à l'égard de ce genre d'aliments. Nous voudrions donc savoir comment le Groupe Spécial compte justifier le besoin de mener des études d'exposition sur des populations humaines représentatives alors que tellement de personnes rejettent d'emblée ces aliments ?"

Autrement dit, la Fédération demandait comment le Groupe Spécial prévoyait de réaliser des études de sécurité humaine sur des aliments génétiquement modifiés alors que rares sont les personnes qui sont prêtes à les manger.

Le Dr. Rolf Grossklaus, Président du Comité, a donné une réponse incroyablement dédaigneuse à cette question et, refusant d'admettre que les études d'exposition humaine complètes ne seraient pas réalisées avant que ces aliments soient commercialisés, il a indiqué que ces aspects ne pouvaient pas être évoqués lors de cette réunion. Pourtant, de façon assez stupéfiante, il a ensuite déclaré que les consommateurs ne réalisent pas les bienfaits procurés par ces aliments et qu'il est persuadé que les consommateurs finiront par changer d'avis à leur sujet.

Plus tard, à la fin de la semaine, pendant la réunion visant à adopter le rapport officiel du Comité, j'ai demandé, au nom de la Fédération Nationale de la Santé, que le rapport mentionne la déclaration de la Fédération concernant cette affaire. Le Dr. Grossklaus a toutefois refusé, soutenant que la question ne faisait pas l'objet de discussions et que la mention de toutes les questions qui n'étaient pas évoquées rendrait le rapport trop long.

L'un dans l'autre, il s'agissait donc incontestablement de l'exemple le plus flagrant d'abandon des préoccupations des consommateurs que j'aie jamais vu lors d'une réunion du Codex.

 

Recommandations sur la base scientifique des allégations sanitaires - destinées aux grandes multinationales


Autre question fondamentale qui a été évoquée lors de la réunion de cette année : un texte traitant des Recommandations sur la base scientifique des allégations sanitaires.

Ces dernières années, le Comité a accordé très peu de temps et aucun débat important à cet élément de l'ordre du jour de ses réunions. Cependant, bien qu'une discussion plus approfondie ait eu lieu lors de la réunion de cette année, l'idée générale du débat était la suivante: sans un changement de direction drastique, les principaux bénéficiaires de ces Recommandations seront les grandes multinationales des secteurs de l'alimentation et des biotechnologies, ainsi que l'industrie pharmaceutique, qui pourront plus facilement faire face aux coûts financiers importants qu'ils doivent supporter en contournant les différents obstacles scientifiques et réglementaires érigés par le Comité.

Par conséquent, il semble fort probable que nous voyions de plus en plus de céréales pour le petit déjeuner, d'aliments génétiquement modifiés et de produits vitaminés d'apports journaliers recommandés fabriqués par les sociétés pharmaceutiques et présentant des allégations sanitaires, par exemple, alors que les compléments produits par de petits fabricants de vitamines novateurs – en supposant que leur existence ne soit pas compromise par les réglementations – n'en feront probablement pas de même.

Cela dit cependant, et malgré un débat plus long consacré à cet élément de l'ordre du jour lors de la réunion de cette année, seuls des progrès minimes ont été réalisés et plusieurs questions fondamentales - notamment la définition du niveau nécessaire de preuves scientifiques pour la justification des allégations sanitaires – demeurent en suspens. Si le Comité insistait sur les études humaines et les essais cliniques par exemple, même certaines allégations sanitaires courantes pour les aliments tels que les fruits et les légumes devraient être interdites pour la bonne et simple raison qu'elles étaient basées sur des études d'observation et des recherches épidémiologiques, ce qui créerait de toute évidence une situation absurde.

Les discussions étant pour la majeure partie dans l'impasse, le Comité a donc convenu que le texte devait être renvoyé à la 2ème étape du processus d'homologation en 8 étapes du Codex, afin d'être rédigé à nouveau par la délégation française à la lumière des discussions qui avaient eu lieu. Par conséquent, il semble peu probable que les Recommandations sur les allégations sanitaires soient approuvées et finalisées par la Commission du Codex Alimentarius avant au moins juillet 2010.

 

Analyse des risques nutritionnels – constitution des règles au fur et à mesure


Un autre thème qui a fait l'objet de très peu de discussions lors des récentes réunions de ce Comité du Codex est celui de l'analyse des risques nutritionnels. Tout comme les observateurs réguliers du Codex le savent d'ores et déjà, cette question est fortement pertinente pour le futur développement des Directives du Codex sur les compléments alimentaires en vitamines et sels minéraux restrictives, étant donné que les directives indiquent que les niveaux de sécurité supérieurs des vitamines et sels minéraux dans les compléments seront établis par une évaluation scientifique des risques.

Alors que le lobby pro-pharmaceutique – comprenant notamment les extrémistes anti-compléments alimentaires de la Commission Européenne – tente désespérément de rassurer tout le monde sur le fait que l'utilisation d'une évaluation des risques garantira le calcul scientifique des niveaux de sécurité supérieurs pour les vitamines et les sels minéraux, la réalité est que la plupart des méthodologies actuelles pour l'évaluation du soi-disant "risque" lié à la consommation de compléments nutritionnels sont tout sauf scientifiques, et sont en fait profondément imparfaites.

Il est donc intéressant de noter que, pendant les discussions de cette année, le représentant de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a indiqué que l'OMS et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ne doivent pas être la source principale, sinon l'unique source de conseils scientifiques au Comité, soutenant que les groupes d'experts internationaux ne pourraient peut-être pas fournir de conseils scientifiques indépendants et impartiaux. En mettant de côté la question de savoir si l'OMS et la FAO peuvent elles-mêmes être considérées comme des organisations indépendantes et impartiales, au fur et à mesure de la progression des discussions, il est devenu de plus en plus évident que la vaste majorité des membres du Comité n'étaient pas le moins du monde intéressés par l'obtention de conseils scientifiques indépendants et impartiaux dans ce domaine.

Par exemple, à un moment donné pendant les discussions, la Fédération Nationale de la Santé a demandé à ce qu'une section clé du texte se réfère à des "sources indépendantes de conseils scientifiques" sur l'évaluation des risques. Il est important de noter cependant que Basil Mathioudakis, de la Commission Européenne, a déclaré qu'il était opposé à l'utilisation du mot "indépendant" dans le texte et, par conséquent, il n'a pas été inclus.

Dans une autre intervention clé, la Fédération Nationale de la Santé a souhaité qu'une phrase soit insérée pour reconnaître l'appauvrissement en nutriments des sols et des aliments auquel on assiste depuis cinquante ans environ. En entendant cela cependant, le Président, le Dr. Grossklaus, a répondu en disant que l'institut pour lequel il travaille, l'Institut Fédéral allemand pour l'évaluation des risques, a fait une déclaration sur cette question en affirmant qu'il n'existe aucune preuve scientifique qui puisse étayer cette revendication. Selon la coutume, il a ensuite tenté de poursuivre et n'a pas vraiment donné au Comité l'occasion de faire des commentaires.

La Fédération Nationale de la Santé a ensuite fait une intervention supplémentaire, en demandant à ce que ses commentaires soient notés dans le rapport et, dans l'idéal, soient considérés par le Comité pour que le dossier puisse être précis et complet. Le Dr. Grossklaus a toutefois décliné cette demande, déclarant que puisque la Fédération est une organisation non-gouvernementale et qu'aucun état-membre n'a soutenu sa position, ses commentaires ne pourraient pas être intégrés dans le rapport.

Tout comme il l'a fait au cours des années précédentes, le Dr. Grossklaus constituait encore une fois les règles au fur et à mesure. Ceci est particulièrement bien illustré par le fait que le paragraphe 131 du rapport officiel du Comité pour cette réunion mentionne une autre intervention de la Fédération Nationale de la Santé et que celle-ci n'a pas non plus été soutenue par les états-membres.

Au terme de ces discussions, le Comité a décidé qu'il avait fait des progrès considérables et qu'il devait recommander à la Commission du Codex Alimentarius que le texte (l'ébauche de proposition de principes d'analyse des risques nutritionnels et de directives à appliquer au travail du Comité sur la nutrition et les aliments diététiques ou de régime) passe à la 5ème étape. Ainsi, seuls des changements relativement mineurs seront désormais possibles à la réunion du Comité de l'an prochain, et il pourrait éventuellement être approuvé et finalisé par la Commission du Codex Alimentarius en juillet 2009.

 

Propositions pour les valeurs de référence des nutriments – déphasées par rapport aux dernières découvertes scientifiques


À la lumière des dernières recherches les plus actuelles dans le domaine de la nutrition, il semble prudent de prédire que l'approche actuelle du Comité pour l'établissement de valeurs de référence des nutriments à des fins d'étiquetage pourrait être jugée par les futurs historiens en nutrition comme ridiculement ridiculeusement anachronique.

Par exemple, la science de la génétique nous a déjà appris que nous sommes tous génétiquement uniques et nous disposons désormais de preuves convaincantes que les facteurs tels que l'âge, le sexe, l'utilisation de moyens de contraception, la race, le code vestimentaire, la situation géographique, les dons de sang réguliers, l'utilisation de médicaments médicinaux, les mutations génétiques ou l'individualité biochimique peuvent affecter les besoins et/ou le statut en nutriments d'une personne, parfois même de façon considérable.

Cependant, plutôt que de protéger la santé des consommateurs, qui est après tout l'un des motifs précisés du Codex, le Comité propose d'établir simplement une seule valeur de référence pour chaque vitamine et chaque sel minéral, et de les appliquer à toute la population mondiale à partir de l'âge de trois ans. Ensuite, une fois ce travail terminé, un autre ensemble de valeurs de référence pour les vitamines et les sels minéraux, à appliquer aux enfants âgés de six mois à trois ans, serait développé.

Ainsi, il semblerait que l'intention du Comité soit principalement de fournir une approbation retentissante du concept existant d'apports journaliers recommandés qui est démodé et scientifiquement non valable.

Il convient donc de noter que, bien que la Fédération Nationale de la Santé ait essayé d'intervenir au niveau de cette erreur myope monumentale, en proposant l'établissement d'une valeur de référence supplémentaire pour chaque vitamine et chaque sel minéral, afin de représenter la tranche de population en ayant le plus besoin, le Président a rejeté cette proposition, mais sans donner de raison scientifique valable.

Donc de toute évidence, même s'il est reconnu que les propositions du Comité sur les valeurs de référence des nutriments sont encore en phase initiale, il est actuellement conseillé à toutes les personnes espérant un résultat qui reflète les dernières découvertes scientifiques ou qui favorise une nutrition optimale de ne pas retenir leur souffle.

 

Vous attendez toujours la "victoire écrasante" au Codex? Vous n'êtes pas les seuls...


Les partisans de la santé naturelle qui ont une bonne mémoire se souviennent peut-être de la prétendue Fondation des Solutions Naturelles qui, dans son rapport sur une réunion du Comité du Codex sur l'étiquetage alimentaire qui a eu lieu en mai 2006, revendiquait que le résultat des discussions concernant le rôle proposé du Codex dans la mise en œuvre de la stratégie mondiale de l'Organisation Mondiale de la Santé sur le régime alimentaire, l'activité physique et la santé était une "victoire écrasante" pour la liberté de la santé.

Et bien, ceci n'était certainement pas vrai à l'époque et ne l'est toujours pas aujourd'hui, surtout si le résultat des discussions lors de cette réunion ne peut pas servir de base pour fonder quelque chose. Dix-huit mois après la soi-disant "victoire écrasante", bien que le Codex parle toujours de la stratégie mondiale, il n'y a aucun signe d'une action importante.

Par exemple, bien que le Dr. Anne MacKenzie, Présidente du Comité du Codex sur l'étiquetage alimentaire, ait donné une présentation PowerPoint sur le thème de la stratégie mondiale, demandant quels mécanismes étaient disponibles pour la communication et la coopération inter-comités, et proposant d'obtenir des conseils auprès de l'OMS et de la FAO, sa vaillante contribution a été reléguée à une position relativement mineure dans l'ordre du jour du Comité, sous la rubrique "Autres affaires et futur travail".

À l'issue de la discussion quelque peu floue et confuse qui a suivi, au cours de laquelle un représentant du Secrétariat du Codex, le Dr. Jeronimas Maskeliunas, a même admis être "complètement embrouillé" au sujet de ce qu'évoquait le Comité, il a été finalement convenu qu'un groupe de travail se réunirait pour discuter de la stratégie mondiale juste avant la réunion du Comité de l'an prochain et, qu'après ses discussions, il rende des comptes au Comité. Autrement dit, encore des paroles et toujours aucun signe d'action.

Dans la conjoncture actuelle, les discussions du Codex concernant la stratégie mondiale de l'Organisation Mondiale de la Santé sur le régime alimentaire, l'activité physique et la santé semblent donc à des années-lumière de se transformer en une sorte de victoire, encore moins en une victoire écrasante.

 

Conclusion


Tout comme les contrôleurs du monde que l'on retrouve dans "Le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, la Commission du Codex Alimentarius ne veut pas changer. De son point de vue, le changement – sous forme d'un nouveau système de soins de santé mondial basé sur des découvertes scientifiques dans les domaines de la recherche sur les vitamines et la santé cellulaire – constitue une menace à la stabilité financière de l'industrie pharmaceutique. Par conséquent, les découvertes révolutionnaires en thérapie nutritionnelle sont de plus en plus considérées comme subversives et sont traitées en tant qu'ennemi pour le "commerce avec la maladie".

Cependant, les mensonges et les duperies qui sont nécessaires au maintien de cette situation ne sont pas durables à long terme. Que cela plaise ou non au Codex, le changement finira par arriver et, lorsqu'il le fera, les consommateurs exigeront en masse que ceux qui avaient essayé de les empêcher d'avoir accès aux compléments en vitamines thérapeutiques et aux autres thérapies naturelles soient tenus de répondre de leurs actes.

Dans l'intervalle cependant, même si les maladies cardiovasculaires, le cancer, le SIDA et les autres maladies courantes seront sans aucun doute, pour la plupart, inconnues des générations futures, nous avons la responsabilité de nous assurer que cela se produise plus tôt que plus tard.

Le traitement des maladies par des médicaments chimiques synthétiques, alors que des traitements naturels plus efficaces et plus sûrs sont déjà disponibles, frôle la folie et ne doit plus être toléré dans toute société civilisée digne de ce nom. Ainsi, plus tôt le "commerce avec la maladie" de l'industrie pharmaceutique sera jeté dans les poubelles de l'histoire médicale, là où il devrait être, mieux ce sera pour toute l'humanité.

(source : The Dr. Rath Health Foundation)

 


 

PLAYLIST à voir sur le sujet du Codex Alimentarus : link

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Citation

« Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité.

 

Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait.

 

Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité. »

 

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