Le roman "1984" de Georges Orwell est devenu réalité dans des Etats-Unis devenus « l’état le plus oppressant du monde ». Alex Jones donne la preuve de l’existence de « camps FEMA », destinés à parquer les insoumis au futur Etat-policier.
« Le complexe militaro-industriel a transformé notre nation libre en un gigantesque camp pénitenciaire. » Alex Jones
Big Brother, Tazer, flash-ball, canon sonique, scanners corporels, milices privées, lois sécuritaires, mesures d’exception autoritaires, régimes à connotation totalitaire, la post-démocratie oblige, nous assistons depuis le début des années 1990 à une transformation visible des décadentes nations occidentales en purs et durs États policiers. La contestation des manifestants aux sommets des grandes puissances est brutalement réprimée à coups de matraque et gaz lacrymogène lancés au visage. Dans certains cas, les forces de l’ordre assassinent comme cela a été le cas pour le jeune activiste de 23 ans, Carlo Guiliani, abattu d’une balle dans la tête, le 20 juillet 2001 durant les émeutes anti-G8 de Gènes, et roulé dessus par deux fois par la Jeep des carabiniers.
Évidemment, les mass médias et quatrième pouvoir sous contrôle oligarchique ne montrent que les casseurs et autres Black Blocks dans le but de discréditer les mouvements alter/anti-mondialistes. Sur Internet, de nombreuses vidéos dévoilent l’envers du décor et les derniers grands sommets OTAN/G20 de Strasbourg, de Londres et de Pittsburgh ont montré le vrai visage de la violence policière autorisée par l’étatisme occidental. Est-ce un prémice au néo-fascisme ou sommes-nous d’ores et déjà entrés dans une ère néo-fasciste ?